Dan Burisch : ...Pas de dispositif d'anneaux en rotation où des hommes avec un équipement militaire passent au travers et rencontrent Ra de l'autre coté et emportent leurs armes nucléaires avec eux… Non.
... Elles étaient utilisées pour passer des informations et recevoir des habitants dans cette direction.
Kerry : Oh, par d'autres cultures qui venaient ici mais pas nous allant…
Dan : Par les P-45 et les P-52, les orions et les J-rods.
... Les traités nous ont été infligés par les orions. Ils nous a été imposés par les orions de faire ce que nous avions besoin de faire quand ils ont compris que nous n'étions pas capables de gérer l'affaire nous-mêmes. Ils ont étudié leur propre histoire et se sont dit : " Ha, regarde ces hommes et femmes des cavernes "
... Et après ça j'ai découvert que parce qu'il avait été de l'attitude du genre « le Magi ne surveille rien de près », qu'ils ne surveillaient pas les NEO, les astéroïdes en orbite proche de la terre, ou quoi que ce soit, ils n'étaient pas concernés. Eh bien, par la suite durant une conversation j'ai découvert qu'en fait ils l'étaient.
... Les renseignements venant de son parent établissaient qu'ils étaient conscients d'une attaque islamique sur les États-Unis dès le milieu des années 90 et que ça aurait lieu quelque temps dans le nouveau millénaire. Eh bien, pile poil, en plein dans le mille.
... Les orions nous ont fait une telle confiance qu'ils nous ont donné le cube et nous l'avons utilisé pour le mal à tel point, qu'ils nous ont infligé un système de traités.
Kerry : Mais la lune n'est pas, vous savez, la planète la plus habitable…
Dan : Non, mais c'est la planète où nous avons le droit d'aller… Maintenant. Est-ce que vous entendez le poids de mes mots ?
... nos émotions changent notre état, notre état physique… notre orientation aux énergies qui sont disponibles dans le cosmos, si vous voulez, change l'état de notre ADN, change notre état de santé et ils appliquent ça comme un protocole expérimental, une rubrique si vous voulez, pour changer l'état des personnes à bord pour pouvoir prélever des échantillons de matière biologique.
Suite de l'entretien
Bill Ryan : J'ai une question sur les éventualités, Dan… La faible éventualité.
Dan Burisch: Quand vous me posez une question, j'ai vraiment... [Rires]
BR : ... La faible éventualité, si j'ai bien compris ce que vous avez dit, est de 19%. Est-ce toujours valable ? Parce que c'est quand même jouer à la roulette russe avec une balle dans un baril de cinq.
DB : N'est-ce pas. En fait, c'est légèrement pire que ça. En toute franchise, c'est légèrement pire que ça parce que le niveau de confiance pour ce 19% est de 85%.
BR : Ça ne me donne pas l'impression qu'on peut se détendre.
DB : Je ne crois pas que c'est... Non, je ne crois pas que c'est une question. Je crois qu'il y a des choix à faire et il faut faire les bons. Il y avait une corrélation entre un dénouement positif ou négatif et le peuple uni dans le but de survivre et de prendre soin de notre monde. C'est pour ça que nous avons fait ce truc cinglé.
Et vous savez, ça sonnait dingue, ça ressemblait à un truc de dingues, mais nous l'avons fait parce que c'était le bon choix et j'ai fini par envoyer une équipe de personnes prospecter des gens normaux partout dans le monde, à distribuer des circulaires, annonçant le moment venu pour nous de prier pour qu'on s'unisse. Et je l'encourage sérieusement et sincèrement encore aujourd'hui. Vous savez, j'ai perdu des gens. J'étais chargé d'une équipe et quelques-uns d'entre eux sont morts en conséquence, euh, deux d'entre eux ont eu des accidents, et ça, vous savez ça peut arriver n'importe où, mais deux d'entre eux ont été mis à mort pour prosélytisme. Et c'est un fardeau sur mon âme.
Kerry : Ont été mis à mort pour prosélytisme…
DB : Dans un pays où...
KC : Vous voulez dire Chine.
DB : Ah… En fait, il y a eu deux morts en Chine et nous avons aussi perdu des gens en Arabie Saoudite et quelques autres endroits. Je n'ai pas annoncé au public combien - ni tout ce que nous avons perdu ni combien - nous avions, mais ils ont fait leur travail et l'information a été disséminée et nous avons fait de notre mieux. Bon, vous posiez des questions sur la porte des étoiles, les sites éventuels et tout ça.
[Il lit d'un document] Le 16 juin 2003, dans la VD numéro 0403, Déborah a reçu une requête pour procéder à un exercice de vision à distance, en solitaire, une série en fait, et elle a trouvé plusieurs sites, dont Volochanka et elle a même dit : « Vers le nord, du coté de la toundra » en Russie et dans le sud-ouest des montagnes tibétaines… Montagnes tibétaines (désolé, je suis encore un peu secoué… je pense encore à mes hommes et femmes). Euh, je ne sais pas comment ça se prononce. En… M-o-s-j-o-e-n… en Norvège et ça a fait un très gros esclandre. Il y en avait un en fait… L'équipement a été en fait enlevé de là. Syrie, Turquie.
KC : Vous nous dites qu'elle a vu les sites des portes des étoiles par vision à distance.
DB : Oui, elle l'a fait, et la raison pour laquelle j'ai voulu extraire ceci… Dans votre question #9 il est marqué : « Combien de miroirs y a-t-il / y avait-il ? Combien de portes des étoiles artificielles ? Où étaient-elles ? » Et vous avez donné une liste de pays éventuels. Dans cette liste vous parlez de la Bulgarie.
KC : En effet.
DB : Eh bien, sur la deuxième page elle a noté les montagnes Pirin en Bulgarie, je voulais que vous le sachiez.
KC : Merci.
DB : Et quelques endroits en Egypte, et elle n'a pas en fait mis l'Iraq dans la liste parce qu'elle travaillait séparément sur l'Iraq. Le 4 Février 2003 elle a procédé à une vision à distance spéciale, c'est marqué : « J'ai trouvé le suivant dans mon exercice : Je vois un endroit à 10 miles sud/sud-est de Bagdad ».
Ceci, au fait, est l'endroit où nous avons fini par faire un raid pour enlever ce qu'ils croyaient être des anneaux pour ce qu'ils appelaient les « armes à destruction massives ». Il y avait bien des anneaux mais c'était une différente forme d'arme à destruction massive. « Je vois un grand arbre à la surface de ce site ». Maintenant, souvenez-vous comment Saddam a fini par être trouvé.
KC : Oui.
DB : « Derrière l'arbre il y a un trou dans le sol et une planche de bois par dessus. Je vois un homme qui ressemble et que je ressens comme Saddam. Un garde soulève la planche. Saddam prends les escaliers en ajustant la planche pour faire comme une plateforme par-dessus. » Dans la vision à distance (je ne fais pas de vision à distance), mais dans la vision à distance, de ce qu'elle m'a fait comprendre, le temps se mélange, se superpose et parfois se décale, et elle l'a clairement vu entrer dans ce trou d'araignée. Elle a aussi indiqué qu'elle y voyait un espace de travail qu'elle a dessiné dans lequel ils ont fini par trouver la seule porte en Iraq. Intéressant, non ?
KC : Oui, absolument. Nous sortons un peu du sujet…
DB : C'est bien. [Rires]
KC : ... des portes des étoiles et tout ça.
DB : C'est moi qui cause ça ?
KC : Pardon ?
DB : J'ai dit, c'est moi qui cause ça ? J'espère que non.
KC : Nous savons que Chi'el'ah a pu s'échapper par une porte des étoiles, avec votre aide, parce qu'on en parle dans une de nos dernières vidéos.
DB : ET est rentré.
KC : Oui, ET est rentré.
DB : Oui.
KC : Et je… ce qui est intéressant c'est que vous avez aussi eu une expérience quand vous êtes en quelque sorte tombé dans une porte des étoiles mais pas jusqu'au bout, vous êtes resté dans cette réalité.
DB : Un peu comme ça.
KC : Un peu comme ça ?
DB : J'ai été expulsé plusieurs mètres plus loin sur une plaque de… c'était ni du calcaire ni du granite, je ne sais pas vraiment, du grès. Tout ce que je sais c'est que c'était dur [rires] quand j'ai atterri dessus et c'était de l'autre coté de la bâche du coté… L'espace était divisé, cotés humain/ET, pour la mise en scène autour de la porte des étoiles. C'était une opération militaire. J'ai fini de l'autre coté de la barrière, similaire à des rideaux levés pour que les gens des alentours, les habitants de la région, ne puissent rien voir. Et j'ai atterri là-dessus et j'ai gémi ou j'ai grogné ou je me demandais où j'étais et c'est à ce moment que des hommes armés très fâchés m'ont approché. Mais…
KC : OK, mais vous avez vu l'intérieur d'un trou de ver, n'est-ce pas ? Momentanément ?
DB : Oh ... Je ne peux pas vraiment dire ça. Il y avait un rideau gris, presque comme un rideau de brume très similaire à ce dont je me souviens quand j'étais dans un coma dans les années 70. Et j'ai vu certaines choses de l'autre coté, mais c'était un flash, et c'est à peu près tout, rien de vraiment remarquable à raconter.
KC : OK. Donc vous n'êtes jamais vraiment passé de l'autre coté. Je veux dire, je pose la question… Est-ce que vous êtes…
DB : Non. J'étais juste… Non. Je n'ai pas fini... Je ne me souviens pas d'avoir atterri ailleurs.
KC : Est-ce que vous avez une fois traversé une porte des étoiles ?
DB : Non. Non. Non. Non. Non. Non. Non, et il n'y a pas de dispositif d'anneaux en rotation où des hommes avec un équipement militaire passent au travers et rencontrent Ra de l'autre coté et emportent leurs armes nucléaires avec eux, non. Non. Il y a… Oui, je suis désobligeant envers Serpo.
KC : Je croyais que nous parlions des portes des étoiles.
DB : Eh bien, c'est de là que vient Serpo... Je veux dire, la liste de, « Nous avons nos armes nucléaires avec nous », et toute cette affaire. Et ils auraient pu choisir un meilleur nom que Serpo s'ils allaient jouer le jeu, mais… Serpo, c'est un parc à reptiles en, où ça ? Argentine ? Ou est-ce aux Pays Bas ? C'est le nom d'un parc à reptiles.
KC : Uh huh.
DB : Et je crois que le nom a été choisi par les opérateurs d'avant qui rassemblaient la désinfo et ils ont simplement pris un nom et l'ont inversé. C'était OPRES, un code K-4.
(note du traducteur: le son stressé par Dan Bursich d'OPRES peut aussi faire allusion à « opprimer »).
KC : Il n'y a pas de portes des étoiles dans Serpo, dans l'histoire de Serpo, comme elle est racontée.
DB : OK.
KC : OK. Mais… [Dans une direction hors caméra : c'est ce que j'ai dit] La question que je pose… Nous avons des portes des étoiles, OK, qui ont été démantelées qui accèdent à une technologie de voyage dans le temps.
DB : Oui.
KC : OK. Ces portes des étoiles, avant d'être démantelées, nous devons supposer qu'elles ont été utilisées.
DB : Elles ont été utilisées pour passer des informations et passer des habitants dans cette direction.
KC : Oh, par d'autres cultures qui venaient dans cette direction mais pas par nous allant…
DB : Par… Par les P-45 et les P-52, les orions et les J-rods.
KC : Et qu'est-ce qu'il en est de toutes les autres... ? Je veux dire, je ne sais pas si vous détenez ces informations, mais combien de races extra-terrestres y a-t-il ?
DB : Je connais une espèce inter-dimensionnelle qui refuse de nous parler directement et qui communiquait en passant par les orions, les P-52 orions. C'est tout. Vous savez j'ai passé 20 ans… C'est déroutant pour moi parce que j'ai tellement de personnes qui sont si absolus, et j'ai passé 20 ans en compagnie de ces personnes et ou ils sont les meilleurs cachotiers du monde, même saoul, et certains d'entre eux buvaient beaucoup, (et ça c'est la façon de le dire... C'est ce qui vient avec de grosses sommes d'argent. Quelquefois ils payent pour des consommations qui leur donnent un sentiment de bien-être, ou je ne sais quoi…)
Je n'ai jamais… C'était une histoire drôle. Je déteste tourner ça comme ça, mais beaucoup dans la communauté OVNI, c'est comme, les histoires pour eux sont des blagues et beaucoup d'entre eux ont reçu des propositions de l'unité folklorique du Majestic. Ils ont promulgué beaucoup de ces histoires et maintenant ils me passent le bâton pour venir ici et faire « Hou ». Vous savez : « Désolé, le monstre des cauchemars n'est pas réel ».
Les seules races dont je suis au courant sont les P-45 et les P-52. On ne peut pas contacter les grades entre eux sur 7 000 ans, par traité, les P-52 J-rods et les orions je connais, et les P-45 J-rods. A l'époque des P-45, ils ne sont pas au courant de l'existence des P-52 orions, qui sont donc les P-45 orions de la même époque, ils ne savent même pas qu'ils ont survécu. Ils ne l'ont appris qu'après être venu ici et les négociations des traités.
KC : OK, qu'est-ce qu'il en est de... Vous me dites que les portes des étoiles étaient uniquement utilisées en cette direction par…
DB : Utilisées dans deux directions, mais pour le transport des délégués seulement dans une direction.
KC : OK. Et ça c'était...
DB : Et ça c'était seulement en circonstances extrêmes avec protestations internationales quand il y a eu des problèmes avec les traités. A part ça, des produits étaient échangés, des informations aussi mais il était estimé trop dangereux de passer des personnes d'un coté à l'autre régulièrement. Ces choses s'effondrent, de ce que j'ai compris, spontanément. Et si ça s'effondre et vous n'êtes pas d'un coté ou de l'autre, vous n'êtes nulle part.
KC : OK. Vous me dites que ces personnes avaient une telle conscience qu'ils ne sacrifiaient pas d'américains ou autre, vous savez, ou des militaires, pour tester la porte des étoiles ?
DB : Non. Les traités nous ont été infligés par les orions. Ils nous a été imposés par les orions de faire ce que nous avions besoin de faire quand ils ont compris que nous n'étions pas capables de gérer l'affaire nous-mêmes. Ils ont regardé leur propre histoire et se sont dit : « Haha, regarde ces hommes et femmes des cavernes ». OK ? Après avoir agi comme nous l'avions fait avec le cube et toute cette affaire. Ils ont infligé le système de traités et ils ont dit : « vous agirez comme ça ». Nous n'avons pas les moyens de prendre une porte des étoiles et de passer au travers sans violer le traité. Ils ne nous veulent pas là dehors. Nous sommes un danger pour nous-mêmes, alors pourquoi ne serions nous pas dangereux pour une autre culture ? Ils feront tout pour ne pas nous laisser quitter cette planète.
KC : OK. Est-ce que je peux vous demander…
Bill [hors-caméra]: Tu devrais lui poser la question sur Montauk et l'expérience d'Henri.
KC : Eh bien, oui.
DB : Je n'ai toujours pas, croyez moi, je n'ai toujours rien lu à propos de Montauk. Assis ici maintenant, j'ai zéro idée de ce que c'est.
KC : OK. C'est cool. Qu'est-ce que vous savez de l'Expérience de Philadelphie ? Ça vous dit quelque chose ?
DB : Je suis au courant des rapports de l'USS Eldridge.
KC : OK.
DB : Je connais l'expérimentation en théorie de champs unifiés qui s'y pratiquait. En fait, l'expérimentation était en cours mais a créé quelque chose qui était, de ce que j'ai compris, invisible au radar mais qui ne comprenait pas tout ce que j'ai entendu… Tous ces films de personnes qui sont retournées en 1941 et avant Pearl Harbour et tout ça, et marcher dans le tunnel du temps et tout cela. Les informations que j'ai obtenues de sources militaires - je leur ai demandé quand j'y étais parce que j'avais entendu parler de l'expérience de Philadelphie bien avant - que c'était une expérience légitime, qu'il y avait une expérience légitime qui était en cours qui rendait invisible au radar et c'était un système de masquage balbutiant. Et que c'était un masquage électromagnétique.
KC : OK. Maintenant je me demande... C'est certain que Chi'el'ah vous a donné des atouts pour vous permettre d'obtenir des renseignements de Majestic, ou d'échanger des renseignements avec Majestic tels que vous pouviez apprendre ce qui ce passait vis-à-vis des portes des étoiles et tout.
DB : En effet. Et si je vous raconte, ça veut dire que je raconte cette histoire devant cette caméra ici. [Il pointe la caméra].
KC : OK. Et mais si... Récemment... Vous savez, je ne sais pas si c'est dans le domaine public, mais récemment vous avez découvert que MJ-1 ne vous a pas tout raconté sur un certain incident.
DB : Oui. Vrai.
KC : OK, c'était une météorite, des météorites approchants…
DB : Oui. C'était Apophis et le plus important c'est l'affidavit que j'ai écris. Et le désaccord qui a eu lieu entre lui et moi est basé sur le fait qu'il a dit… Et je lui ai dit de ne plus jamais me raconter des mensonges et la raison pour laquelle je le lui ai dit…C'était à l'époque ou on m'avait ordonné de me taire à cause des chronologies.
J'ai ensuite découvert que c'était du n'importe quoi pour me manipuler, pour que je garde la bouche close. Et après ça, il y a eu plus de votes et on m'a ensuite dit de parler. On m'a ordonné de parler. Yo-yo, OK ? Quand on en est venu à ça je lui ai dit : « ne me raconte plus de mensonges. Dis-moi: « ce ne sont pas tes affaires », si tu le dois. Je préfère ça aux mensonges ». C'est plus honnête. Il a dit 'bien'.
Puis j'ai découvert, parce qu'il avait l'attitude du genre « le Magi ne surveillait pas les NEO de près », les astéroïdes en orbite proche de la terre, ou autres choses, ils n'étaient pas concernés. Eh bien, par la suite lors d'une conversation j'ai découvert qu'en fait ils l'étaient. Ça a créé un léger désaccord qui est devenu plus grave à cause de renseignements venant de son parent [il indique Marcia hors caméra]. Les renseignements venant de son parent établissaient qu'ils étaient conscients d'une attaque islamique sur les États-Unis dès le milieu des années 90 que ça aurait lieu quelques temps après nouveau millénaire. Eh bien, pile poil, en plein dans le mille.
Ça a empiré les choses. Je lui ai dit que si jamais il me racontait de nouveaux bobards je le lui ferais payer. Le prix serait de le démasquer.
KC : OK, mais...
DB : Et après ça, vous savez… nous avons envoyé… Il y a eu une conversation avec un individu en particulier depuis et tout le monde est OK avec tout le monde. Je veux dire, vous savez, 20 ans, plus de 20 ans…Je l'ai rencontré pour la première fois au fond du LAMS, le musée, plus de 20 ans, depuis les années 70. Notre relation ne va pas se terminer sur un désaccord.
Note transcrite de Marci McDowell :
LAMS: Los Angeles Microscopical Society.
KC : C'est certain. Je comprends. Mais ce que je... La raison pour laquelle j'y fais référence c'est qu'il y a ici un cas…
DB : Je sais à quoi vous faites référence.
KC : OK. Mais vous ne savez pas tout...
DB : Non. C'est vrai.
KC : ... sur ce qui se passe.
DB : Dieu merci.
KC : Et on ne vous a sûrement pas tout dit sur les enjeux.
DB : Non, je n'ai pas tout.
KC : Et donc vous me dites que nous n'allons pas dans les deux directions avec les portes des étoiles et c'est ce qu'on vous a dit.
DB : Uh huh.
KC : OK ? Et vous me dites qu'il n'y a que deux races, peut-être une troisième, mais vous savez…
DB : Il y a trois races et nous, peut-être une quatrième.
KC : OK. Tout ce je peux dire ici c'est que... C'est intéressant parce que nous avons la déposition de beaucoup de témoins, des personnes avec des capacités différentes, qui sont de l'intérieur, des Ops Noires, comme notre Henry Deacon, qui nous disent que nous accédons aux portes des étoiles constamment et que nous allons entre Terre et Mars, Terre et la lune et peut-être d'autres planètes aussi. En d'autres mots, pas que nous restons hors de l'espace ou des portes des étoiles parce que les orions nous l'ont dit.
DB : Elles étaient utilisées. Elles étaient utilisées dans la chronologie numéro deux pour progressivement accéder à la lune et Mars. C'est possible qu'il ait, ou avait, des informations concernant une chronologie future. Ca me semble logique à ce niveau mais pas au niveau : « Hé chérie, et si on emmenait les enfants à Olympus Mons aujourd'hui ».
KC : Non, mais qu'est ce qu'il en serait si les forces armées envoyaient des équipements dans les deux sens, etc. ?
DB : Ok, d'accord. Les orions nous ont fait une telle confiance qu'ils nous ont donné le cube et nous l'avons utilisé pour le mal au point où ils ont dû nous infliger un système de traités.
KC : Est-ce qu'ils dirigent notre pays ? Est-ce qu'ils dirigent notre monde ?
DB : Non, non. Ils limitent simplement ce que nous pouvons faire. Non. Nous dirigeons notre bateau ici-bas. Ce que je veux dire quand je dis nous, c'est que je ne parle pas du public en général qui sont, vous savez, en train de mourir de faim tous les jours. Nous menons notre propre jeu politique ici bas. Les annonces sur… bien, ce sont des machins manipulés du mental, vous savez, des automates qui travaillent pour les ET et le gouvernement… Non, non, non, non, non. Ce sont des gens de cœur blanc ou noir - les deux - tous se battant pour prendre le dessus du scénario géopolitique. C'est mon honnête appréciation de ce que j'ai vu. Mais nous sommes limités par ce que nous avons le droit de faire. Inclus où nous pouvons allez hors-terre en ce moment.
KC : Je comprends.
DB : Vous savez... Très bien, très cool, nous avons mis nos mains sur nos hanches et l'Opprimé a planté le drapeau américain sur la lune et nous nous sommes montrés si merveilleux face aux soviets mais ça ne veut pas dire que nous pouvons y camper très longtemps encore.
KC : OK, alors maintenant vous me dites pourquoi nous ne sommes pas, théoriquement… que nous ne sommes pas retournés sur la lune. Au moins nous…
DB : C'est exact, nous sommes occupés à nous balancer des branches et des pierres. Et une autre raison pour laquelle nous ne pouvons y retourner, c'est qu'une partie du traité nous permet d'avoir un dépôt placé quelque part sur la lune et ce dépôt y est déjà.
KC : OK.
DB : Et c'est au cas où la chronologie T2 venait à se manifester ou qu'il y ait une catastrophe géologique ou globale de la même envergure.
KC : OK. C'est ce que vous appelez l'Arche ?
DB : Oui, oui.
KC : OK. Qui, si j'ai bien compris, existait ici sur la planète.
DB : Eh bien, en plusieurs morceaux.
KC : D'accord. OK. Et ils l'ont transportée sur la lune d'une façon.
DB : Oui, elle a été assemblée et elle....
KC : Ils ont utilisé une porte des étoiles ?
DB : Non. Non. Ca allait être...En fait ils construisaient de l'équipement au nord d'ici et ils ont fini les trois quarts. J'ai raconté ceci à Bill Hamilton quand nous étions sur la route du Jeep sur Frenchman Mountain un soir. « Ben, où va cet engin ? » J'ai fais une tête comme [Il tire un visage] et j'ai comme pointé vers le haut et là il voit l'orbe couchante. Et il dit : « Ah ».
KC : OK. Mais vous appelez ça une arche. Est-ce que c'est quelque chose…
DB : Eh bien, c'est son surnom.
KC : Mais j'ai l'impression que ça va sauver des animaux.
DB : Elle contient du matériel génétique et des prélèvements et d'autres produits.
KC : De nous ?
DB : Oui.
KC : OK. D'autres créatures de la planète comme...?
DB : Oh oui, oui. Une très grande biodiversité, oui.
KC : Je vois. Et elle est plantée sur la lune au cas où quelque chose de très grave nous arrive ici. C'est ça l'idée ?
DB : Oui.
KC : OK. Depuis la lune où est-ce qu'elle va ?
DB : Elle ne va pas.
KC : Oh vraiment ? Mais la lune n'est pas, vous savez, la planète la plus habitable…
DB : Non, mais c'est l'endroit où nous avons le droit d'aller… Maintenant. Est-ce que vous entendez le poids de mes mots ?
KC : [Rires] Oui. Oui. Ok, bien… Je veux dire…
DB : C'est votre travail de poser des questions. C'est le mien de répondre aussi honnêtement et franchement que je peux tout en étant honorable et bénéfique.
KC : OK. Et nous vous remercions pour ça, vous savez, quoiqu'en pensent d'autres personnes.
DB : Bien vous savez, je veux dire, je... [Grand soupir]
KC : Il y a beaucoup...
DB : Je connais le point exact du site de cette chose. D'accord ? Je sais à quoi ça ressemble. Je sais combien de morceaux elle comporte. J'étais impliqué dans la recherche et l'assistance sur ses biosphériques. Je sais exactement où elle est située et qu'est-ce je fais si je vous dis où elle est située exactement et quelque chose lui arrive ?
KC : Certes.
DB : Je ne peux pas porter ça sur mon cœur.
KC : Je comprends.
DB : Retournons aux années 50 un instant.
KC : D'accord.
DB : Il y a eu un développement intéressant… Souvenez-vous, nous parlions du cube et des réunions avec Eisenhower et les orions, les délégués… Un développement intéressant… [Ramasse un document] Je me réfère à ceci, bien sûr parce que c'est une référence provenant des services de renseignements, l'événement en question, bien qu'elle soit dite dans un contexte différent à l'époque.
Je fais référence à une audience du 'Senate Select Committee on Intelligence', la nomination de Mike McConnell pour le poste de directeur de National Intelligence à 14h30 EST le jeudi 1er février, 2007. Et Monsieur McConnell, l'honorable vice-amiral dit ceci :
Je cite: « Sénateur, il y a quelques années, 1950, 60 je crois, il y a eu une lutte entre les services pour prendre le contrôle des renseignements d'origine électromagnétique », [bien sur… Renseignements d'origine électromagnétique… Communication, et… vous pouvez lire entre les lignes, je crois] « et la décision a été prise finalement de passer les renseignements d'origine électromagnétique, ROEM (SIGINT) comme nous le surnommons, sous l'autorité du directeur de la National Security Agency, avec pour but d'établir les priorités de supervision de la technologie, d'assurer le bon déroulement, que les niveaux de formations soient les bons et que les investissements soient corrects, et ainsi de suite. »
J'ai un petit rapport ici, publié le 17 février 2003. Ce rapport m'a été envoyé par… Bill Hamilton ! Et l'auteur se nomme Matt Guza. Je ne le connais pas sauf pour dire qu'il est Directeur IC USUFOIC. Et il écrit dans son rapport :
Note transcrite de Marci McDowell :
Matt Guza est/était Directeur I.C., USOFOIC. L'identification du ficher que Bill Hamilton a envoyé et que Dan utilise comme référence est AQPR17FEB0301-03.
« Renseignements complémentaires sur Aquarius (Verseau), Aquarius et autres informations » Il est écrit : « Les résultats des recherches Aquarius sont brièvement décrits ci-dessous. » Parce qu'il était… Pour une raison, le projet Aquarius était sous le microscope à cette époque :
« Numéro 1 : Depuis nos recherches, nous pensons que ça a commencé en 1953 en parallèle avec le Projet Livre Bleu ou Deal. »
Alors... '53... Qu'est-ce qui c'est passé en '53 ? C'est à peu près au même moment… dans les environs de l'époque du machin Eisenhower… à un an près ? '53 c'est aussi l'époque où un certain véhicule s'est planté en Arizona, si je me souviens bien, tout près de Kingman, concernant deux P-45 J-rods et un P-52. Le P-45 est celui que Bill Uhouse a rencontré et bien sûr le P-45 était le P-52…dont j'ai eu l'honneur.
Mais... [Dan reprend sa lecture] « La théorie sur la planche à dessin ce jour est que ça aurait démarré comme un projet noir de l'USAF puis la mainmise est passée aux services de renseignements à cause du contenu et le besoin du secret. Dans l'enquête sur l'intérêt que portait l'USAF envers les OVNI, il semble que l'USAF mette trop de poids sur les données non-scientifiques de leurs enquêtes. Ceci explique le besoin d'une enquête par les services de renseignements. » (Nous pouvons lire entre les lignes ici.) Après avoir vu ou découvert les résultats ci-dessus ou à cause d'autres problèmes, les services de renseignements ont mis Aquarius hors de la portée de l'USAF.
C'est bizarre non comment ces deux choses s'entremêlent ?
KC : Eh bien qu'est-ce que vous êtes... OK. Qu'est-ce que vous essayez de dire ? Est-ce que vous êtes en train de dire que…
DB : Qu'il y a une allusion évidente… une allusion évidente ici, dans le témoignage qu'a reçu l'honorable amiral McConnell, deux situations qui se déroulaient dans les années 1950 concernant la relation courante entre nous et les races extra-terrestres. Oui.
KC : OK.
DB : Il semble y avoir une corrélation directe ici. Et puis le fait plus tard dans l'entretien des services de renseignements avec Mr McConnell, il y a une allusion directe à des changements dans les chronologies.
[Reprenant la lecture] « Sénateur Rockefeller : » [Il sourit et fait un geste: Ça me fait chaud au cœur de dire son nom…] « J'ai le regret de vous annoncer que mon temps est écoulé et je crois que quelqu'un manipule cette horloge. Parce qu'autant de temps ne s'est pas écoulé. » Oh grand ciel !
Et puis une femme d'un autre comité est entrée dans la salle, je crois que c'était Susan Collins. Mais, le fait qu'il y a un commentaire sur la manipulation d'une horloge et…il y a plusieurs… J'ai mis des marqueurs [Il parle du document entre ses mains] quant aux relations ici mais ce que j'essaye de, je crois, montrer aux gens c'est comment les choses sont dites en public.
KC : Oui, absolument. Alors, mais ce qui est intéressant c'est combien du congrès savent ce qui est dit vraiment ?
DB : Eh bien, la tête du comité ici… Ce comité avait pour président [Il regarde le document] John D. Rockefeller IV. Démocrate, Virginie Ouest et il y a un…
KC : Je ne suis pas surprise qu'un Rockefeller soit dans la boucle.
DB : Eh bien j'ai... J'ai peu de doutes aussi qu'il soit dans la boucle et peut-être même dans la boucle plus large qui pourrait être ou ne pas être la boucle du Majestic-12… De toute façon...
KC : Il est membre de l'Illuminati ?
DB : Oh, Non. Non, non, non, non, non. Il y avait un groupe plus large qui existait entre '63…'67 en vrai, et approximativement 2002 qui s'appelait le Comité de la Majorité.
KC : Oh, OK, eh bien alors...
DB : Je veux dire que vous avez des personnes comme Rockefeller qui peuvent appeler la guerre de 1991 la Procédure du Golfe Perse. [Sourire] Et oui, il l'a vraiment appelé la Procédure du Golfe Perse.
KC : Fascinant.
DB : Ce n'était pas une procédure dans laquelle j'étais impliqué, mais bon…
KC : Eh bien, OK. Mais nous avons entendu que depuis ça s'appelle...Il y a 40 membres et ça s'appelle… Ce n'est pas le PI-40 ?
DB : C'est un vieux nom.
KC : C'est un vieux nom ?
DB : C'est l'ancien nom de ce groupe.
KC : Alors ce que vous êtes en train de nous dire, ou les nouvelles ici sont, qu'il va y avoir un événement catastrophique mais qui a été quelque peu mitigé, nous l'espérons, par une certaine unité sur la planète et un certain effort pour être positif. Et je suppose que…
DB : Et l'équipement ôté, oui.
KC : OK, Mais ils ont enlevé l'équipement parce que l'équipement leur a dit de l'enlever ? En d'autres termes…
DB : Ils ont ôté l'équipement parce que l'histoire indiquait que l'équipement était en utilisation lors de la catastrophe et une cause proche de la catastrophe pour avoir monté en puissance l'énergie dans notre asthénosphère et créant une catastrophe globale géo…
KC : Mais, ça, dans un sens c'est l'équipement qui dit… Vous savez, c'est presque comme…
DB : Eh bien, c'était l'équipement et les délégués. C'était aussi les délégués des traités et les représentants, dont Chi'el'ah.
KC : Les orions disaient : « Eh, les gars, c'est l'équipement. Débranchez tout et vous aurez meilleur chance » ?
DB : Ils étaient… La force meneuse en ça, oui.
KC : Vraiment. OK. Maintenant je vais vous demander quelque chose qui pourrait sembler un peu controversé, mais…
DB : [en blaguant] Noooon! Nous avons passé la soirée à parler de choses si prosaïques… Je ne suis pas certain que je pourrais…
KC : Qu'est-ce qui vous fait croire qu'ils avaient notre meilleur futur en tête quand ils nous ont dit d'éteindre l'équipement ? En d'autres mots, pourquoi devrions-nous les croire ?
DB : Eh bien, nous devrions les croire simplement parce qu'il y a l'éventualité et parce que nous parlons de 4 et demi, jusqu'à 5 milliards de personnes ici, d'accord ? Réfléchissons-y un instant. Si nous laissons l'équipement en place et rien ne se passe. Et alors ? Où est le mal à l'enlever ?
KC : D'accord.
DB : Maintenant nous avons la question corollaire à la question que vous avez posée. S'ils n'ont pas nos meilleurs intérêts à cœur, comment est-ce que le démantèlement de l'équipement prévient la catastrophe dont nous entendons parler depuis trois cultures différentes ? … en parlant des orions, des J-rods et des J-rods d'une époque plus récente. Comment est-ce que le démantèlement de l'équipement entraine la catastrophe ? La seule manœuvre dangereuse serait de laisser l'équipement en place. Donc il n'y a pas de mal à éteindre…à désarmer un fusil, mais un risque de mal s'il est chargé.
KC : Certes. C'est la blague de qui croit en Dieu. C'est comme la blague des années 60 s'il faut croire en Dieu ou pas. Si vous croyez en Dieu et il n'y a pas de Dieu, il n'y a pas de mal. Mais si vous croyez en Dieu et il y a un Dieu, ça doit être une bonne chose à la fin, c'est ça ?
DB : Eh bien, ça pourrait vous prendre quelques voyages en arrière de plus, mais…
KC : [Rires] OK. Alors...
DB : Je ne sais pas, c'est à Dieu de décider. [Rires]
KC : Mais, dans un sens c'est ce que vous êtes en train de dire.
DB : Vous savez, c'est un problème pratique. Vous savez, si nous avons un équipement qui peut nous faire du mal. Disons qu'ils ont tort et que ça ne nous fera rien. Vous avez intérêt quand même à le démanteler. Nous parlons, vous savez, de conséquences pour presque cinq milliards de personnes. Ce serait folie de ne pas le faire, en d'autres mots.
KC : OK. Qu'est-ce qu'il advient des portes des étoiles naturelles sur la planète ?
DB : Ce que nous avons compris dans notre cercle concernant les problèmes de la porte des étoiles naturelle c'est ce qui se passait à Frenchman Mountain et pour y accéder il fallait qu'ils utilisent un des dispositifs de la porte des étoiles. Ils ont du y apporter un dispositif.
KC : OK. Je veux dire, par exemple, Sedona a plusieurs vortex.
DB : Oh sûr, ils sont partout.
KC : Oui. Et il y a plusieurs vortex naturels, vous savez… Même un cyclone ou un ouragan créent des types de vortex.
DB : Certes.
KC : OK. Au travers duquel, certaines races peuvent voyager avec leurs vaisseaux, dit-on. OK ?
DB : OK.
KC : Avez-vous quelque chose à dire là dessus ?
DB : Non ...
KC : Ce sont des portes des étoiles naturelles ...
DB : Vous voulez dire un portail qui n'a pas besoin de matériel ?
KC : Certes.
DB : Je ne sais pas.
KC : OK.
DB : Je ne sais pas. Eh bien, j'imagine que je pourrais faire un commentaire en quelque sorte relatif à Lotus. Il y a la possibilité que les portails que nous voyons dans le projet Lotus soient des micro-trous de ver. Et il est certain que des informations passent au travers de ces portails depuis quelque part et créent un effet dans notre environnement ici. Peut-être.
KC : OK.
DB : Je veux dire, vous savez, vous pourriez dire qu'un voyage dans le temps est une déformation créée par un dispositif gravimétrique d'un vaisseau et qui peut se déplacer sur de grandes distances en peu ou pas de temps. Je ne suis pas certain de la différence physique ou mathématique entre ça et ce qui s'appelle le Pont d'Einstein-Rosen. Vous avez besoin d'un physicien pour ça. J'ai l'habitude de travailler avec les cellules et...
KC : D'accord, mais, vous savez... dans un sens si Lotus est en train de créer un effet de type porte des étoiles…
DB : C'est merveilleux.
KC : ... ou un micro-trou de ver...
DB : C'est merveilleux si c'est vrai.
KC : C'est merveilleux mais dans un sens vous devriez peut-être aussi laisser tomber Lotus s'il y a un impact…
DB : Oh, je l'ai fait. Je l'ai fait en effet. Mais pour des raisons plus tangibles. Nous avons fait une science de l'art de la production de ces portails pour démonstration. Nous savions exactement ce qu'il fallait faire… exactement ce qu'il faut faire… Pour les propager avec presque 100% d'efficacité.
Ils varient en taille, jusqu'ici de ce que nous avons vu, entre à peu près 0.2 microns à un millimètre. Quand nous les formons maintenant sur le terrain ils ont peu près un millimètre de diamètre et ça c'est avec beaucoup d'énergie, 50 fois plus d'énergie que si nous le faisions sous le microscope. Mais nous sommes arrivés à en faire quelque chose de très beau, où je pouvais brancher les bons optiques, viser le scope, propager avec l'utilisation d'un laser, de l'électricité… et avoir un résultat immédiat sur la surface de la silice.
Et puis des choses ont commencé à passer de ce coté, ou du moins les résultats dans le médium autour du cristal ou de la matière en silice que nous utilisions, n'étaient pas normaux. Des cellules d'origine anormale, des cellules qui semblaient s'auto-arranger. Dans un cas nous avions fait une variante de l'ancienne expérience Lazaro Spallanzani - une expérience historique - en utilisant du bouillon de bœuf, pour éliminer toute production spontanée.
Et nous avions un très joli modèle de type neuronal AB/AB formé par les cellules qui s'auto-arrangeaient et qui étaient clairement... Morphologiquement elles ressemblaient à des neurones dans la soupe que nous avions. Nous avions une vraie situation qui se développait. Nous avions eu deux autres occurrences quand nous avions eu une production de cellules anormales de qualité inconnue et…
KC : ... qui passaient de…
DB : Eh bien, ce que nous avions c'était une organisation, je crois, qui se faisait de ce coté. Nous approchons maintenant de très près et j'en dirais plus dans un an à peu près, mais nous sommes très proche de comprendre le mécanisme et on dirait à cette date qu'il y a… une ouverture quelque part qui s'est ensuite mise en communication avec notre environnement acoustiquement et ensuite une série de réactions avec des micro-brisures de matière en silice ou des micro-brisures de quartz dans notre environnement qui deviennent ensuite spontanément, ou presque, enrobées avec de la matière de notre environnement. Ensuite elles se déplacent et semblent avoir un effet sur les cellules visées de notre environnement. Et donc, il semblerait que ce soit acoustique à la base.
KC : C'est compréhensible, bien que ce soit compliqué, je ne suis pas biologiste donc je ne prétends pas tout comprendre. Mais je vois la direction dans laquelle vous allez. Mais vous êtes encore… Pour revenir au sujet des portes des étoiles…
DB : Vraiment ! Est-ce que je suis encore...
KC : Non, vous y êtes, mais je suis curieuse de…
DB : Je suis en train de déverrouiller la caméra pour qu'elle tire… [Rires]
KC : ... de… Je suis curieuse de savoir si oui ou non ces portes des étoiles naturelles qui se produisent dans la nature sont utilisées par des êtres, qu'ils soient orions ou quoique, à volonté, pour entrer dans cette dimension.
DB : Eh bien, je n'ai aucune information qui m'indique que les P-52 orions ou les P-52 J-rods ou les P-45 J-rods utilisaient un tel système sauf l'utilisation de la technologie pour voyager dans le temps, des portes qui déplacent d'un lieu à un autre et puis l'utilisation de vaisseaux pour se déplacer d'un endroit à un autre…voulant dire… d'un endroit dans Réticulum, par exemple, à un endroit dans le système de Verseau, Gliese… ou je ne sais comment c'est dit… et puis, et c'est l'origine, de ce que j'ai compris, du Project Aquarius parce qu'on savait qu'ils venaient de cette direction. Et puis c'est, je crois, dans la constellation du Verseau. Mais…
KC : Parce qu'ils ne sont pas...
DB : Ils utilisent des vaisseaux, à ces occasions, pour se déplacer de là-bas à ici mais ils utilisent une technologie gravimétrique pour déformer l'espace-temps, donc je suppose que ça pourrait-être la même utilisation. Mais je ne crois pas que c'est une situation du genre, vous savez, vous allez dans la nature et vous trouvez toute une parade de personnes qui sort d'une porte des étoiles avec, vous savez, quatre têtes et 16 yeux, et des choses comme ça.
KC : Et si c'était une parade de vaisseaux ?
DB : Je ne sais pas. C'est la meilleure réponse que je puisse vous donner. C'est la plus honnête que je puisse donner : je ne sais pas. Je n'ai pas en 20 ans d'histoire... Histoire du Majestic, entendu parler de quoi que ce soit de leur part qui y ressemble, je veux dire ni dans le système des traités ni d'une opération. Par contre, j'ai aussi entendu des rapports sur des vaisseaux dans le ciel. J'ai vu des vaisseaux dans le ciel avec lesquels je n'étais pas directement impliqué comme l'incident du Parc Mae Boyar en '73. J'ai vu ce que je crois… Eh bien, j'ai vu des lumières dans le ciel, pas un vaisseau.
KC : Nous avons vu des lumières ....
DB : Elle [indiquant Marci] a vu un vaisseau, et, vous savez, elle ne me raconte pas d'histoires.
KC : Beaucoup de nuits vous pouvez fixer le ciel et voir des vaisseaux qui bougent à toute vitesse.
DB : Eh bien il y a des météores aussi, et puis des véhicules aériens expérimentaux de types différents. Et des véhicules aériens d'ingénierie inversée qui ont été repérés aussi.
KC : OK, mais selon ce que vous avez dit, il y a un traité dans lequel nous avons des portes des étoiles ou accès aux trous de ver que nous pouvons ouvrir et fermer de façon mécanique…
DB : Oui.
KC : ... Basé sur un système de traités nous avions le droit de pêcher des informations et d'envoyer des informations par ci, par là mais que nous n'utilisions pas pour passer mais qu'ils utilisaient pour venir ici…
DB : Substantiellement, oui.
KC : OK, mais nous les avons toutes démantelées, selon ce que vous nous avez dit…
DB : Oui.
KC : OK. Alors maintenant je pose la question…
DB : Où est le Livre Jaune ? [Rires]
KC : Non, non. Mais s'il y a des portes des étoiles naturelles là-dehors qu'ils peuvent utiliser quand ils veulent, pour qu'ils n'aient plus à utiliser nos portes des étoiles. Donc dans le sens d'un traité, ils ont accès n'importe où, n'importe quand…
DB : OK, s'ils le font, postulons un instant qu'ils le font. Ceux qui nous créerons des problèmes sont les P-45 car ils essayent de justifier leur propre histoire. Ils seraient heureux, à part d'être indemnisés en permanence, ils seraient très heureux de justifier leur propre histoire.
KC : Comment sont-ils indemnisés ?
DB : Ils sont indemnisés en technologies, en assistance. Dans le passé ils ont été indemnisés avec un certain nombre d'enlèvements par an.
KC : Qu'est-ce qu'ils font avec ces personnes ?
DB : À part une étude sur le décalage génétique longitudinal ? C'est assez. Vous savez, les gens étaient, quelques-uns leur ont été littéralement cédés, et je considère ça comme illégal, comme une violation de la loi internationale. Je considère ça comme un crime contre l'humanité et c'est pour ça que j'ai fait ce que j'ai fait pour les contrer de tout mon possible. Pour enlever ce crime des traités.
KC : Et à propos de l'idée que certains P-45 peuvent changer de forme, vous savez (excusez la terminologie) mais, en forme humaine et travaillent ici pour le gouvernement sous forme humaine pour avancer leur propre, vous savez…
DB : Il est d'une grande éventualité qu'ils possèdent cette capacité parce que j'ai interagi avec certains qui de toute apparence ressemble à des humains et je n'aime pas parler des soi-disant Hommes en noir, ou le phénomène des Hommes en noir.
KC : Mais quand vous parlez des Hommes en noir, ce sont ces personnes qui, ou êtres, qui… et vous êtes entré dans une, dans notre dernière discussion, une description plutôt détaillée de ce genre de chose. Mais je parle de quelqu'un comme vous et moi, qui nous ressemble, parfaitement indétectable…
DB : Non.
KC : ... et qui pourrait être en train d'avancer OU même en train de…
DB : S'ils le sont ce ne sont pas des J-rods. Les orions ? Possible. Possible. Ce sont des gens très, très brillants. Les courtes interactions que j'ai eu avec eux, de très courtes interactions que j'ai eu avec eux, j'ai été très impressionné…Alors que je n'aimerais pas du tout passer du temps avec les P-45. En fait, j'aurais été privilégié de parler plus en profondeur avec eux.
KC : Est-ce que vous parlez des… Quand vous dites les orions, est-ce que vous parlez des nordiques ?
DB : Je crois que c'est comme ça qu'ils sont habituellement… On les appelle les Grands. Ils sont essentiellement, vous savez, de très grands humains anthropomorphiques avec les cheveux blonds et de grands yeux, très bleus, très jolis yeux. Plus grands que les nôtres, en relation avec la taille du crâne. Des orbites plus larges, etc.
Ils sont brillants, tous simplement des gens brillants. Et ce que j'ai trouvé le plus intriguant avec eux c'est comment ils arrivent à moduler ce que je considère comme leur génie à travers leurs émotions. Les émotions qu'ils dégagent sont tellement moins rudimentaire, ils sont tellement plus compliqués que ce que j'avais ressenti même avec Chi'el'ah. J'aurais vraiment aimé passer plus de temps avec eux.
KC : OK, mais ils interagissent avec nous sur cette planète, n'est-ce pas ?
DB : Eh bien, ils interagissaient avec nous. Je ne suis pas certain qu'ils soient sur quelque Terre qui soit en ce moment. Je dirais que, vous savez, ils ont 50 000 années ou un peu plus d'avance sur nous, mais étant donné la similarité entre les structures corporelles, entre taille, même, et structure du corps, sauf pour la proportion thoracique… suffisamment similaire.
Je crois qu'ils pourraient, si leurs yeux n'étaient pas comme ils le sont, ils pourraient probablement se promener sans soucis. Mais leurs yeux sont beaucoup plus grands que les nôtres. Et ils ressembleraient aux poupées Bratz que les jeunes filles aiment ces jours-ci. Vous savez, les yeux sont beaucoup trop larges. Vous voyez ces yeux, ces yeux de supertaille. Je veux dire, c'est cool sur une poupée Bratz mais si vous promenez cette chose dans la rue, elle va être repérée très vite.
KC : OK.
DB : Je ne crois pas. Maintenant, en même temps je dois dire... est-ce qu'ils sont assez intelligents pour probablement réussir le coup, calculer comment le faire ? Peut-être. Peut-être. Je ne crois pas personnellement, vous savez, parce que... J'ai rencontré beaucoup de très intéressants… Mais beaucoup de… quelques personnes bizarres, ces derniers quatre ans et demi au cours de mes discours publics, qui croient qu'il y a des reptiliens qui se promènent littéralement dans la rue portant des masques et tout ça. Non.
Vous savez, je suis un peu plus ancré dans la réalité. Je déteste cette formule mais, non. Je blaguais avec elle [il indique Marci hors caméra] que je voulais faire quelque chose lors du premier compte rendu de mission. Je lui ai dit qu'à la fin du compte rendu je voulais faire, je voulais embaucher quelques personnes en effets spéciaux pour de vrai [Kerry rigole]. Nous finirions le compte rendu et ensuite nous commencerions à filmer avec une autre caméra. J'allais… c'était une blague, on ne l'a jamais fait. Quelqu'un [Marci dit, hors caméra : « Jamais ». Dan rigole.] Ce que j'allais faire c'est de demander aux techniciens en effets spéciaux de me faire… de créer mon visage par-dessus un visage reptilien. Et j'allais le retirer d'un grand coup et dire « Dieu je suis fatigué de ces masques humains ! » Et juste afficher cet extrait comme une blague. Mais elle m'a dit que les gens la prendraient sérieusement.
[Marci, hors-caméra]: Vous ne pouvez pas faire ça… Les gens croiraient que c'est réel !
KC : C'est vrai.
DB : Je ne sais pas. J'ai un drôle de sens de l'humour je crois.
KC : OK. Mais vous avez eu affaire avec les P-45 et les P-52 et ces êtres sont… Leur système des traités est respecté parce qu'ils sont ici dans des bases souterraines à nous surveiller à tout instant parce que sinon comment savent-ils que nous respectons le traité Tau ? Parce qu'apparemment nous avons violé des traités. Ce n'est pas correct ?
DB : Eh bien, nous avons, euh, poussé les limites… Oh-ho, je dois faire… Nous avons poussé les limites du système plus d'une fois. Ainsi que les P-45.
KC : D'accord, alors...
DB : Nous avons été en conflit avec l'un et l'autre à certains moments. Ces conflits ont été résolus de façon amicale et nous sommes en ce moment en bonnes relations. Nous ne sommes pas les seuls avec la technologie du miroir qui peuvent voir dans d'autres chronologies. Autrement dit, ils ont l'équipement aussi. Alors ce n'est pas difficile pour ceux qui voudraient voir le traité appliqué par leurs arrières-arrières-ancêtres de regarder dans le présent comme une expression d'eux qui regardent leur propre passé pour voir l'évolution.
KC : OK, alors vous dites, dans un sens, qu'ils savent ce que nous allons faire avant que nous le fassions.
DB : Ils connaissent les éventualités et ils sont substantiellement capables d'interagir avec nous s'ils ont l'impression que ces éventualités bougent dans le bon sens pour finir avec leur propre histoire comme ils le voient écrit.
KC : OK.
DB : Les P-52 définissent ça comme un résultat inacceptable.
KC : Alors ils poussent leur avantage quand ils le peuvent ?
DB : Ils poussent l'avantage de ne pas avoir à justifier leur propre passé pour qu'ils puissent diverger de leur propre chronologie, et que leur histoire ne crée pas de catastrophe. Maintenant, si vous considérez ça comme pousser leur propre avantage, certes. Maintenant les P-45… La caractérisation que vous placez - pousser leur propre avantage - je dirais que c'est une caractérisation approprié.
KC : Eh bien j'étais…
DB : Oui. Oui, les P-52 sont beaucoup plus amicaux et un peu plus évolués. Je dirais qu'ils sont un peu plus spirituellement adeptes, les P-52 orions, certainement, plus que les P-45 J-rods. Ils sont très mécaniques, très, très logiques, et pourtant sans merci. Extrêmement…
KC : Vous parlez des P-45 ?
DB : Oui, ils n'ont aucune hésitation à prendre quelqu'un comme moi du milieu d'un parc et de brancher une sonde dans sa 'quequette' pour faire des examens, oui. Et ils n'ont aucun problème avec ça. Par contre, moi j'ai un gros problème avec ça et je crois qu'un grand nombre de personnes qui ont été enlevées, pas tout le monde, mais, vous savez, un grand nombre ont aussi un problème avec ça.
KC : OK. Que dites-vous de l'idée que… Nous avons quelqu'un, Jim Sparks, je ne sais pas si vous savez qui c'est. Il a écrit un livre intitulé « The Keepers » (Les Gardiens).
DB : Je connais Jim Sparks, c'est un ami personnel de quelques personnes avec qui nous sommes de proches connaissances, et... OK
KC : OK. Alors il nous raconte qu'il a des mémoires conscientes de ses expériences d'enlèvements.
DB : Uh huh.
KC : Et qu'un groupe de personnes a été enlevé par les P-45 parce qu'ils ont de vrais problèmes d'autorité, et mis devant…
DB : Dis donc, bien tourné.
KC : [Rires]... Et mis devant des moniteurs et montré des scènes de la terre… premièrement une belle terre, et éventuellement des futurs merveilleux, puis montré l'opposé, pour que soit créé en ces personnes un amour pour la planète et un désir d'être meilleures.
DB : Uh huh. Et il y a aussi un but à ceci. Ils sont conscients que nos émotions changent notre état, notre état physique. Que notre orientation aux énergies qui sont disponibles dans le cosmos, si vous voulez, change l'état de notre ADN, change notre état de santé et ils appliquent ça comme un protocole expérimental, une rubrique si vous voulez, pour changer l'état des personnes à bord pour pouvoir leur prélever des échantillons de matière biologique.
Le fait que nous ramenions quelque expérience que ce soit de ça n'a rien à voir. C'est juste ce que nous ramenons et c'est notre opinion et une personne, celle qui a eu l'expérience, si vous voulez, va dans le monde et dit comment il ou elle se sent à propos de l'expérience ou ce à quoi ils ont été soumis, ou ce qu'ils ont vu. Mais il y a une terrible et froide réalité impliquée ici qu'ils peuvent nous ramasser pour du matériau biologique dans le cadre d'un protocole d'expérimentation.
KC : OK, ce qui veut dire que, ce que font ces personnes enlevées, en fournissant l'ADN, les œufs et le sperme pour qu'ils puissent… Quoi ? Expérimenter ou créer leurs propres humains du futur ?
DB : Ce qu'ils essayent de faire, ils essayent d'améliorer leur propre neuropathologie qui devient un problème dans la population de leur chronologie concernant la reproduction.
KC : Mais ils ont besoin de combien de personnes pour résoudre ça ?
DB : Eh bien, autant qu'il le faudra jusqu'à ce qu'ils trouvent la réponse, et ils s'en moquent parce que c'est la vieille proposition de la fourmilière le long de la route en Afrique. Vous savez, nous sommes pour eux, de leur point de vue, les fourmis de la fourmilière, et vous savez comment nous le ressentons quand on marche sur une ou deux ou quelques millions de fourmis d'une fourmilière ? Il y a peut-être quelques personnes avec ce que je considère comme une intelligence supérieure qui auraient un problème moral de leur marcher dessus, mais vous savez, est-ce que ça nous créerait vraiment du remords ? Ils ont la même attitude envers nous. Ils veulent nous utiliser pour des échantillons biologiques, nous voir détruits pour justifier leurs antécédents, leur histoire, et en même temps nous prendre de la matière biologique et résoudre leur propre problème personnel courant.
KC : OK, mais comment est-ce qu'on les combat ?
DB : Qu'est-ce que vous voulez dire ?
KC : En d'autres mots, vous venez juste de me dire qu'ils ont un incroyable contrôle, qu'ils enlèvent énormément de personnes et qu'ils continuent leurs expériences.
DB : Eh bien, ils l'ont fait. Le nombre enlevé ces jours-ci n'est pas lié aux traités. En d'autres termes, il n'y a personne aujourd'hui qui est enlevé… Zéro… Autorisé dans les traités, Je ne peux pas les empêcher de tirer des gens de leurs lits la nuit mais j'ai influencé l'autre cas.
À Kerry: Ça tourne ?
KC : Je tourne… [Voix basses]
DB : H.G. Wells ... L'épilogue de sa Machine à explorer le temps… La machine à explorer les temps, par H.G. Wells… Je le garde sur mon bureau.
KC : OK.
DB : Il écrit [Il lit] : « On ne peut que se demander s'il reviendra un jour ? Il se peut qu'il a été emporté dans le passé et s'est retrouvé en compagnie de sauvages hirsutes, buveurs de sang, de l'âge des pierres rudes, dans l'abîme de la mer crétacée, où parmi les grotesques sauriens, les énormes brutes reptiliennes des temps jurassiques, il est encore maintenant, si je peux utiliser la phrase, en train de se promener sur un récif oolitique de corail hanté par les plésiosaures ou sur les abords des lacs salins solitaires de l'âge triasique. Ou est-ce qu'il est allé vers le futur dans un des âges plus proches dans lesquels les hommes sont encore des hommes, mais les énigmes de notre époque ont des réponses et leurs problèmes résolus, dans l'âge adulte de la race ? Car moi, de ma part, je ne peux croire que ces jours de faible expérimentation, théorie fragmentaire et désaccord mutuel sont en effet l'homme à son apogée. Je dis de ma part. Lui, je sais, car la question fut discutée entre nous bien avant la construction de la machine à explorer le temps, n'avait que des pensées malveillantes sur l'avancée de l'humanité et voyait dans la pile croissante de la civilisation qu'un bête entassement qui ne peut qu'inévitablement retomber et enfin détruire son créateur. Si c'est le cas, il ne reste pour nous de vivre que comme si ce ne le sera pas. Mais pour moi le futur est toujours noir et vierge comme une vaste ignorance, illuminée dans quelques parties superficielles de cette histoire. Et j'ai à mes cotés pour mon confort deux étranges fleurs blanches, flétries maintenant, et beiges et aplaties et fragiles, témoins que même lorsque la raison et la force ne sont plus, la gratitude et la tendresse mutuelle existent toujours dans le cœur de l'homme. »
C'est important pour moi. J'y tiens beaucoup. J'y tiens comme une pensée préconisatrice au point que j'y garde les fleurs du tombeau de mon arrière grand-mère.
Vous savez, je ne sais pas ce qui va se passer dans le futur, et tout ce que je peux faire c'est espérer comme tous les autres, et prier comme tous les autres.
KC : OK. Eh bien merci Dan. Je comprends que nous vous avons surtaxé et demandé, vous savez, une incroyable quantité de renseignements ici et vous avez été très généreux. J'aimerais vous remercier de tout cœur pour…
DB : Eh bien, c'est ma responsabilité de raconter la vérité.
KC : OK. C'est sûr que vous faites ça et j'aimerais dire aussi… Comment les combattons-nous ? Pour les gens qui nous écoutent, et ce que nous savons c'est que, l'union entre les hommes est une façon par laquelle nous progressons d'une chronologie vers une autre. C'est cela ?
DB : Oui.
KC : OK, mais si vous avez quelque chose que vous aimeriez rajouter pour ces personnes…
[Marci, hors-écran]: J'aimerais rajouter quelque chose.
DB : Pour moi, c'est l'union...
[Marci, hors-écran]: Une vigilance constante.
DB : Oui, c'est bien, très bien ça. Une vigilance constante. Aussi, il y a beaucoup d'acteurs, pas que moi et Marci, mais beaucoup d'opérateurs qui sortent du Majestic, qui ont des expériences comme celles-ci. La plupart ne veulent rien dire, Par contre, ça ne veut pas dire qu'ils ne sont pas en train de faire quelque chose. Nous agissons de concert avec quelques-uns de ces opérateurs et d'autres groupes pour essayer de motiver les renseignements privilégiés qui pourraient être utilisés de façon salutaire pour l'humanité. Nous faisons de notre mieux pour promouvoir ces renseignements et il y a des résultats, des fragments… dans les projets que nous proposons qui vont voir le jour dans le futur, comme AARGO et ISIS.
Je crois que la seule chose que je peux vraiment dire, à part la vigilance constante, c'est d'agir pour le bien. Quand un tord doit être corrigé ou qu'une position doit être prise entre le bien et le mal, que l'époque que nous vivons ne veut pas dire que nous… Que nous sommes si modernes que nous devons rejeter l'idéal pour le réel. Nous créons notre propre réalité, et donc nous devrions, de mon point de vue, viser l'idéal pour créer une meilleure réalité pour nous-mêmes.
(Pour la 1ère partie - veuillez cliquer ici )
Pour le texte en anglais - veuillez cliquer ici
Photo collage du graphique du trou de ver reproduite avec l'aimable autorisation de William Henry.
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