Dan Burisch : Oui, je suis de nature solitaire. Les gens s’en apercevront bien vite… Hé bien, vous savez, durant les 20 dernières années j’ai eu beaucoup de cameras braquées sur moi.
Marci McDowell : Pas seulement des caméras …
DB : J’en suis à un point où tout est OK !
Kerry Cassidy : C’est bien. On voit que vous êtes à l’aise avec la caméra. C’est bien.
DB : Nous avons … J’ai été filmé par des caméras de façon très envahissante … Ça ne peut plus m’atteindre. C’est exactement de quoi je parlais (Rire).
KC : Vraiment ?
DB : Nightshade présente : « Dr. Burisch: responsable de l'incendie à LaQuinta. »
KC : [Rire]
DB : Génial, « Georges Knapp est ici … ». Ohhh, génial.
MM: « … En direct de LaQuinta. »
KC : Oui. De toute beauté…
Début de l'entretien
Kerry : OK… Aujourd’hui je suis très heureuse d’être avec Dan Burisch et …
Dan : Je me suis déja présenté…
KC : Oui, et bien, je voudrais juste que vous me donniez une brève introduction de qui vous êtes et ce pour quoi vous êtes connu. (Humour) Ou ce pour quoi vous aimeriez être connu.
DB : Mis à part mes activités un peu acrimonieuses …
KC : Hu huh.
DB : Et, pour avoir, peut être, désobéi à certaines infrastructures autoritaires. Hé bien… Je suis un microbiologiste… retraité maintenant, mais continuant en quelque sorte à travailler dans un projet très inhabituel nommé Projet Lotus. J’ai été employé par Majestic pendant une vingtaine d’années, après avoir été introduit en 1986 par les auspices du Comité de la Majorité, en travaillant spécifiquement pour Majestic-12 assigné au projet Aquarius. Je suppose que je dois être plus connu pour avoir rencontré un J-Rod ? Hmm et pour avoir travaillé au S-4. À part cela je ne sais pas vraiment pourquoi je suis connu mis à part d’énerver certaines personnes sur internet qui ne veulent pas entendre parler de moi.
KC : Bien. Donc vous avez travaillé pour Majestic et vous étiez essentiellement, je veux dire, brièvement... et je sais qu’il y a essentiellement une longue histoire suite à la raison pour laquelle vous avez cessé votre collaboration.
DB : Exact, le Lotus était un projet accessoire. Ce n'était pas, vous savez... il a été financé, parce que tout ce que je faisais en ce temps là était financé en fin de compte, par eux. Mais bon c’était un projet accessoire. Ce n’était pas quelque chose de critique pour… pour Majestic ou comme je l'ai cru pendant une longue période. Cependant le principe de Lotus s'est en fin de compte avéré comme étant plutôt, hmm, une sujet stupéfiant pour les participants de la conférence T-9 il y a deux ou trois ans.
La Conférence T9
KC : Qu’est-ce que la conférence T-9 ?
DB : C’est…durant nos entretiens avec les extraterrestres, et nos interactions avec ceux-ci pendant les années 50 jusqu’à maintenant, qu’il y a eu une série de traités établis entre nous et eux… eux étant l’intelligence humaine du futur. Les voyageurs du temps. Et il y a eu… Suite aux relations avec ces derniers, il y a eu plus d’un système de traités mis en place. Durant la signature de ces derniers traités signés, j’ai eu le privilège d’être en présence des négociateurs à la conférence qui a eu lieu au Nouveau-Mexique.
KC : Et combien d’extraterrestres étaient présents ?
DB : Il y en avait deux… Quatre... Six. Et quelques uns dans des « poussettes » derrières les rideaux. Donc il y en avait… hmm…
KC : Quelques uns dans des poussettes ? Désolé de quoi parlez vous ?
DB : Cette race ne peut rester très longtemps dans notre atmosphère.
KC : Je vois.
DB : Notre atmosphère présente. Ils se sont adaptés, si on peut dire, à l’atmosphère de leur…leur ligne de temps future particulière. Par conséquent, ils ont du mal à supporter notre température ambiante et notre pression atmosphérique. Donc, on leur a procurés des systèmes uniques, étanches et pressurisés, avec lesquels ils peuvent être déplacés facilement par leurs assistants, fondamentalement par un système de transport de type Segway. Vous n’avez qu’à le pousser et il avancera, très facile à manœuvrer.
KC : Je vois. C’est donc pour cette raison que vous utilisez le terme 'poussette' ?
DB : Oui, exactement.
Donc ils étaient fermé hermétiquement dans leurs poussettes pendant la durée an tant que négociateurs de… de leur temps. Et …
KC : Es-tu en train de dire que ces extraterrestres étaient présents à la conférence de… cette année ? L’année dernière ?
DB : Il y a de cela quelques années.
KC : Il y a de cela quelques années, au cours de laquelle ils ont discuté... J’imagine, Lotus.
DB : Entre 2003 et quatre.
KC : Pardon ?
DB : Entre 2003 et 2004.
KC : Et ils ont discuté le projet Lotus ?
DB : Il a été évoqué et en fait, ah... Dans les négociations, le groupe de P+45,000 de J-Rods voulait inclure les codes pour le principe de Lotus dans les négociations du traité pour qu'ils puissent l'utiliser dans leurs propres tentatives d’améliorer leurs neuropathies particulières.
KC : Wow. Alors ils ont vu le potentiel…
DB : Ils voulaient l’utiliser.
KC : Alors ils ont vu l’utilité immédiatement.
DB : Ils ont vu la valeur potentielle …
KC : Uh huh.
DB : … Et ils ont voulu l'utiliser dans ce but. Mon argument était que le projet Lotus ne devait pas être utilisé dans un but particulier, que leurs problèmes neurologiques font partie d'un système naturel qui a été mis en place par le dieu qu'ils daignent reconnaître comme étant le créateur de l'univers, comme partie d'un système naturel et ne pas être contrôlable par l'humanité. Ainsi...
KC : Ni par des extraterrestres, par inférence ?
DB : Hé bien ce sont des humains. Ils sont humains.
KC : Vous les considérez humains.
DB : Ils sont humains.
KC : OK, alors…
DB : Ils sont des êtres humains, quoique un peu différents de ce que nous considèrerions des êtres humains. Mais là encore, si l’on regarde l’histoire actuellement accepté de l’évolution de la race humaine… Si quelqu’un devais entrer dans une conférence donné par un néandertalien, je crois qu’il serait surpris. De même le serions-nous si l'on devait entrer dans une conférence avec ces messieurs.
KC : OK. Donc vous avez deux sortes d’extraterrestres. Et les gens qui observent ce… Certaines personnes n’ont probablement aucune idée à propos des… Des T-2… Des deux chronologies…
DB : Probablement pas. Et nous avions en réalité trois sortes d'extraterrestres présents, extraterrestres d’origine humaine. Deux sortes de P+45,000 années d’ici si nous devions trasnposer sur la chronologie 2 (sujet difficile à comprendre, eh?) (Sourire) Heu… Deux représentants de cette chronologie Deux représentants de P+52,000 années en avant, des J-Rods…Tous deux ont des ressemblances anatomiques qui seraient classé par le monde des ufologues comme étant des « gris ».
KC : OK
DB : Extraterrestres gris (Gray aliens). Et deux représentants d'Orion de P+52,000 qui seraient, j’imagine, dans le monde des ufologues, appelés Nordiques ou Grands Êtres.
KC : Ok. Et… il y avait-il…
DB : En réalité ils ressemblent plus à des humains (les Nordiques), mais ils ont des yeux plus grands et très bleus, les cheveux blonds etc.…
KC : Je vois. Et… OK, bien sûr j’ai beaucoup de questions à ce sujet…
DB : Et moi donc…
KC : (Rires) Mais, aussi pour les gens qui nous écoutent, nous aimerions aussi savoir, s’il y avait des « reptiliens » présents ?
DB : … Non… Non pas en soi
KC : D’accord, pouvez vous…
DB : D’après ce que j’ai compris ... Et il est généralement admis … Je pense que je peux dire qu’il est généralement admis dans notre société… que la notion de reptilien n'est pas approprié. Et je ne dis pas cela pour donner une connotation négative aux histoires rapportées par des individues, probablement pour la plupart, franchement.
Portails = micro-trous de ver ?
… Par contre quand vous voyez ou observez un, hmm, ce qu’on appelle un Gris, ce que j’appelle un J-Rod…hmm… Leur type de peau particulièrement rugueuse, les changements de la structure sudoripare glandulaire, peuvent les faire paraître un peu reptiliens de temps à autres. Ils sont aussi parfois atteints d’une maladie qui les font se recroqueviller, leur donnant une apparence de mante religieuse. Je crois donc que beaucoup de témoignages ont étés rapportés par des individus qui ont effectivement été enlevés par des P-45, et ils les ont interprété comme étant reptiliens en apparence à cause de la structure de leur peau. Mais ils ne sont pas vraiment des reptiles.
KC : OK
DB : Maintenant, je ne dit pas que… qu’il y a des choses en… de… dans l’univers de Dieu et dans la tête des gens, que je ne connais pas. Il y a quand même une possibilité que… que des individus ont rencontré des races extraterrestres que je n’ai jamais vus. Si on s’appuie sur des faits… je veux dire, vous savez… mon Dieu, j’ai dû accepter le fait qu’il y a des êtres humains venant de tant d'années dans le futur d’une autre ligne de temps, qui coexistent dans la même réalité. Serais-ce alors difficile pour moi d’accepter qu’il pourrait y avoir d’autres races extraterrestres qui seraient d’origine non humaine? On m'a mis au courant de juste une autre espèce qui serait une race extra dimensionnelle et qui, elle, a fait référence à d'autres espèces extraterrestres que je ne connais pas.
KC : Mm hm
DB : Est-ce vraiment difficile pour moi d’accepter que j’ai été en présence d’extraterrestres de descendance humaine ? Je n’ai aucun problème avec ça, mais en même temps je n’ai aucune preuve pour confirmer cela. « Reptiliens » dans un sens, si on était sous stress et on aurait aucune référence antérieure à propos de leur biologie, leur pathophysiologie, leurs problèmes particuliers, on pourrait raisonnablement s'attendre, d'un groupe de personnes les expérimentant, que plus de cinquante pour cent du groupe pourraient probablement dire qu'ils étaient reptiliens en apparence.
KC : Hmm. OK intéressant.
DB : C’est la meilleure explication que je peux donner…
KC : Donc leur apparence se transforme à un certain degré à celle d’un reptile ?
DB : Eh bien …
KC : … Quand ils sont stressés…
DB : Eh bien …
KC : … Est-ce ce que vous dites ? Je veux dire, peut être n’aimez vous pas le mot transformation ?
DB : Je dis que les gens pourraient l'interpréter ainsi.
KC : OK
DB : Avec raison…
KC : Visuellement…
DB : … Il serait normal de les interpréter de cette façon si nous ne les regardons pas avec un bagage scientifique.
KC : D’accord.
DB : Vous savez, je n’essaye pas de... J'essaye de tenir compte des d’individus qui n'avaient aucune raison de se manifester mais ont voulus rapporter l'expérience qu'ils ont vécu. J'essaie de comprendre, ou peut-être ... aider les gens à comprendre pourquoi ils peuvent l'avoir interprété ainsi...
KC : Bien sûr.
DB : … Il est possible que ces gens aient été en contact avec quelque chose qui avait une apparence complètement reptilienne.
KC : [Rires]
DB : Je ne sais pas. Je n’ai pas…
KC : Exactement
DB : J’essaye d’être honnête et à la fois dire au gens… parce qu'apparemment ça m’est arrivé aussi… Que c’est admissible... Qu’ils ont bien été enlevé, et …
Enlevé (Abducté)
KC : OK. Apparemment qu’est-ce qui est arrivé ?
DB : … Et, heu, que c’est arrivé.
KC : OK. Apparemment qu'est-ce qui vous est arrivé ?
DB : Hé bien ... en 1973 je jouais dans un parc en Californie du sud, le Parc de Mae Boyar. Ceci va probablement sortir en une ou plusieurs versions de mon compte rendu. Je jouais au baseball avec mon grand-père dans le parc. Et il m’envoyait une balle de façon à ce que je puisse l’attraper par dessus mon épaule. Je courrais en arrière en même temps et il me lançait la balle pour que je puisse l'attraper comme les fameuses prises de Willie Mays. Pendant une de ces lancées de balle, je me souviens d’avoir regardé dans la direction du soleil… Il était haut dans le ciel, c’était pendant l’été… et… J'ai détourné mon regard, car le soleil m’éblouissait; j'ai regardé l’herbe qui était à ce moment là d’un vert très brillant; il y a eut un flash et l’herbe est devenue comme noire… C’était comme si j’étais couvert d'une ombre. L'ombre m'a faisait penser à un cerf-volant triangulaire genre chauve-souris…
KC : Hmm
DB : … Avec lequel j’avais joué avec mon grand-père près de la rivière. C'est l'explication que j'ai pu donner pour la décrire à l'époque. J’avais… quoi, neuf ans à cette époque. Et… ensuite je me souviens d’un flash de lumière. Aussitôt, ma mémoire devient décousue à ce sujet...ce n'est pas continue... J’ai vu mon grand-père assis près d’un arbre, à quelques mètres de moi. Le soleil n’était plus au même endroit donc du temps s’était nettement écoulé depuis le flash de lumière. Quelques heures s’étaient déjà écoulées. Il avait l’air vraiment secoué. J’ai couru vers lui en lui demandant ce qui s’était passé, mais il ne voulait pas en parler. Il disait tout simplement «tu es OK maintenant. Tu es OK maintenant.» Et il voulait rentrer à la maison. Il m’a immédiatement ramené à la maison en passant par dessus le viaduc du boulevard Del Amo et nous sommes rentrés. Cet évènement à provoqué des problèmes familiaux majeurs entre mes grands-parents et ma mère et mon père. Finalement, mes grands-parents ont déménagé leurs affaires de la maison.
A cette époque j’avais aussi souvent des rêves étranges. Dans les rêves je me réveillais… Est-ce que je crois toujours que c'étaient des rêves ? Non... Mais je me réveillais et je marchais de ma chambre à coucher aux toilettes qui étaient adjacentes à ma chambre à coucher et connectés avec une petite buanderie. Et vers la droite de cette buanderie je me rendais vers une penderie. C’est la penderie où mon grand-père avait l’habitude de mettre sa veste de travail et ses bottes. Il a travaillé chez Gaffer’s & Sattler’s comme un plongeur d'émail, plongeant des pièces dans l'émail pour ... manuellement ... pour des choses comme des appareils, des fourneaux, etc… Et il rentrait chaque jour à la maison la veste et les bottes couverts d’éclats d’émail. Et j’ouvrais la porte de cette penderie et c’est tout ce dont je me rappelle du rêve.
KC : Uh huh.
DB : Mais je sais que je rencontrais quelqu’un qui s’appelait Harry. Il était un petit ami. Et je sais cela comme étant vrai, que je rencontrais un ami pendant ces moments, par contre je n’ai plus de souvenir à quoi ressemblait Harry.
C’était finalement… parce que j’en ai finalement parlé à mes parents… et cela a été finalement rationalisé…que j’étais… car à cette époque je regardais encore Sésame Street… que c’était Oscar le Grincheux. Et c’est de cette façon que ma mère m’a dit : « Tu penses à Oscar le Grincheux car il semble poilu et velu ». Et à partir de ce moment là, au fur et à mesure que les rêves continuaient, je me rappelle avoir vu Oscar le Grincheux dans mes rêves. Non pas dans la penderie, mais dans les toilettes ou au-delà. Mais je me souviens d’avoir vu juste une image d’Oscar le Grincheux. Donc, par la suite, je me sentais très calme ... Je l’avais accepté ainsi, en tant que jeune garçon.
KC : Donc comment…OK. Donc vous étiez…Vous avez été enlevé dans un... dans… quelque chose dont vous avez oublié les détails. Est-ce une expérience…
DB : Oui, je vous ai raconté…
KC : …le temps manquant …
DB : …La mémoire actuelle de cela, de mon enfance… Maintenant je me souviens, probablement, et je ne suis pas sûr, après tant d’années, si tout cela à été un discours intérieur ou pas, étant donné que j’étais un enfant à l’époque. Je pense me rappeler avoir vu une personne de grande taille… comme dans un film…comme un cadre… ou le flash d’une image fixe…
KC : Uh huh…
DB : … Presque comme une mémoire d’icône… d’une grande personne debout auprès de lui près de l’arbre.
KC : Près de votre grand-père.
DB : Mon grand-père. Oui.
KC : OK.
DB : Et il a refusé jusqu’à sa mort de parler de ce qui est arrivé ce jour là. Il devenait très agité. C'est certain que John Doty a eu plusieurs nombre de conversations à ce sujet avec lui. Et peut être même que John aurait…
KC : C’est votre père et votre mère … ?
DB : Oui… Ils sont le père et la mère avec qui j’ai grandi. Depuis j’ai appris certaines choses à propos de ma famille, à savoir si mon père et ma mère étaient mes vrais parents biologiques. Mais bon… ils étaient mes parents. Ils sont mes parents. Je veux dire, ce sont les parents avec qui je me souviens d'avoir grandit et, je…
KC : Mais ils ne sont pas MJ-1…
DB : Non.
KC : OK…
DB : Non, non.
KC : OK. Mais MJ-1 est… En quelque sorte… lié à l’enlèvement qui est arrivé… et cette expérience a eue comme résultat, vous devenant ou du moins de vous avoir considéré comme l’enfant de MJ-1. Est-ce exact ?
DB : Exact, exact. Il m'est arrivé la choses suivante. J’ai aussi appris ce qui m’est arrivé par Chi’el’ah, le J-rod que j’ai rencontré à S-4.
KC : Hm.
DB : Il m’a montré, de son point de vue, ce qui m’est arrivé en 1973.
KC : Wow…
DB : Je me suis vu soulevé du sol par ma poitrine, vers le haut, loin de la surface du parc où j’étais. J’ai vu mon grand-père agir ainsi (mime son grand père se tenant la tête a deux mains) et paniquer et pleurer car il ne pouvait pas… Mon grand-père était très protecteur à mon égard… Il n’a pas pu me protéger. Et maintenant je comprends, que Dieu le bénisse, pourquoi il était si en colère. La seule personne de toute sa vie qu’il … savait qu’il protégerait, qu’il aimait tant qu'il voulait le protéger… mais qu’il n’a pas pu protéger à ce moment là. Et je comprends …
KC : Alors…
DB : … Pourquoi il était si en colère. Mais le J-Rod ma montré ce qui m’est arrivé, j'ai été ramassé et ensuite couché sur une table dans un type de vaisseau, ah… et ce vaisseau était de forme générale, ah… En forme de chevron, presque triangulaire. Et j’étais allongé aux cotés d’une série de jeunes gens, dont un était en fait le fils de l'ancien MJ-1. Quelque chose à mal tourné pendant que j'étais à bord, pendant qu’ils prélevaient des échantillons sur moi pour leurs études. Et le fils de l'ancien MJ-1 est mort.
Pendant cet évènement, ils ont branché un genre d’équipement sur moi. Cela ressemblait quasiment à un EEG… heu, un filet neuronal, si on veut… les récepteurs, probes…électrodes, si on veut… posés sur moi. Et ils essayaient de le sauver, désespérément de le sauver… Et je pouvais voir les… les mouvements des J-Rods autour du garçon. Et je sais de quoi il avait l'air et tout car je l’ai vu au travers des yeux de Chi’el’ah. Ils essayaient de le sauver, et finalement il a succombé. Pendant ce temps, apparemment ils essayaient de le sauver en utilisant toute leur technologie possible en le maintenant artificiellement en vie. Heu… Ce Chi’el’ah était à l’époque avec les P-45. S’était des J-Rods P-45,000. Et ils nous considéraient… Ils nous considèrent juste comme des, heu… récipients, des cylindres presque. Presque comme des gobelets pleins de matière, matière électromagnétique.
Ils essayaient de sauver, de « garder » son énergie en quelque sorte… (Voie off, non filmé)… vrai. Marci à suggéré le mot récipients. Vrai. Heu, J’imagine qu’ils essayaient de le « stocker » en moi pour quelques temps.
Maintenant, les souvenirs que j'ai de moi à l’époque sont d’un garçon morne qui aimait jouer au baseball et avec des GI-Joes (figurines de soldats), des choses de ce genre. Les rapports de classe témoignent d'une bonne connaissance en science. C’est ce que les professeurs de mon école élémentaire disaient. Je ne me rappelle pas avoir eu de la facilité en science. Et il y a une perturbation de mon histoire personnelle à cause de cela. Parce qu’après avoir été ramené… au parc, il y a eu des changements en moi durant les années qui ont suivis. Mais bon, il devait y en avoir car je grandissais. Mais il y a eu certains changements substantiels car je n’étais plus intéressé par les mêmes choses qui m’avaient intéressé auparavant. Était-ce grandir ? Probablement un peu. Était-ce un changement suite aux événements qui me sont arrivés à bord du vaisseau ? Ceux de Majestic le pensent, ils pensent que cela a un rapport avec l’autre garçon. Parce que l’autre garçon était connu comme étant très doué en sciences. Et tout à coup, c’est vrai, j’ai eu un intérêt pour les fioles d’Erlenmeyer, les fioles bouillantes et les microscopes, qui n'existait pas auparavant.
K; OK, mais…
DB : Et je possède toujours cet intérêt.
KC : À un certain niveau, le fils du MJ-1 qui était sur le vaisseau, à côté de vous, duquel ... vous avez probablement reçu, heu ... un transfert d'âme ... Le groupe de Majestic (MJ) devait sûrement être au courant de ce qui se passait. Autrement dit...
DB : Ils savaient ce qui s’était passé.
KC : Et ils savaient à l’époque…
DB : Il m’a avoué qu'ils savaient ce qui s'est passé à l'époque…
KC : Mais en d’autres mots, était-ce…heu… Donc vous avez été choisi, en un sens.
DB : Je crois que je l’ai été… La seule preuve… Je ne sais pas.
KC : D’accord…
DB : Je ne sais pas. La preuve que j'ai, est que j'étais ... en ayant entendu parler du programme d'échantillonnage… est que j’ai été pris en tant qu’échantillon aléatoire de la population… le fils d’un ouvrier… et seulement le fils d’un ouvrier. Ma famille entière était des ouvriers. Mais il y a beaucoup de coïncidences qui suggèrent que certaines personnes on été mis en place pour m’enseigner. C’est arrivé avant 1973. Est-ce que je peux mettre ma main au feu et dire, « Hé oui, ils savaient que ça allait m’arriver et que j’allais être enlevé ? » Je ne peux dire cela car je ne serais pas honnête, mais j’ai le sentiment que… (Regarde hors caméra) Marci a écrit deux lettres pour moi : LG – pour Looking Glass.
KC : Oh, je vois.
DB : Elle en sait plus…
KC : Je vois, je vois.
DB : Je suis assis ici en présence d’un individu qui en sais plus sur la vérité, mais qui ne peut m’en dire plus, pour quelque raison que ce soit… plus sur la vérité de ce qui m’est arrivé que je n’en sais.
KC : OK.
DB : Elle m’a seulement montrée le mot, les lettres LG pour Looking Glass (Miroir). Elle m’indiquait qu’ils savaient.
KC : En d’autres termes… et « looking glass » est l’habilité de voir dans le future, donc vous sous entendez que…
DB : C’est une machine qui est utilisée pour cela. Ouais.
KC : … MJ-12 utilisait le looking glass, il a peut être vu que le fils de MJ-1 allait mourir et il a été planifié de vous préparer pour continuer…
DB : C’est possible.
KC : … à sa place.
DB : C’est possible.
KC : Uh huh.
DB : Mais cela, ils ne me l’ont jamais dit.
KC : Est-ce que le J-Rod…
DB : Excusez moi… mais les humains m’ont dit, que c’est la réalité, parce que, je veux dire, même… et je ne suis pas certain qu’il a été mis au courant du programme, que Dieu le bénisse… Jim, mon mentor… Dr Jim Reynolds. Il à été placé dans des endroits qui l’ont parfaitement positionné pour recevoir l’appel de Doty, l’appel de ma mère ce jour là, pour qu’elle lui parle à l’hôpital mémorial de Longbeach. Et elle a admis récemment à Marci qu’elle avait acceptée une somme d’argent. Il y a du mauvais là dedans, et je les aime quand même tous deux pour tout ce qu’ils ont fait pour moi, mais malgré cela, il y a une incompatibilité car je suis toujours à leurs yeux, comme l’enfant de huit ou neuf ans, à qui ils essaient d’enlever cette liberté, cette souveraineté. Cela produit une incompatibilité dans la relation.
La rencontre avec MJ-1
KC : Ce que nous essayons de comprendre, par contre, c’est comment êtes vous entré en contact avec MJ-1 par la suite? Je veux dire…
DB : Hé bien, la première fois que je l’ai vu c’était à l’arrière d’une salle de conférence au musée George C. Page, lorsque j’étais membre de la Société Microscopique de Los Angeles.
KC : Quel âge aviez-vous ?
DB : 13, 14, dans ces environs.
KC : OK, donc s’était quelques années après…
DB : C’était quelques années après avoir commencé à être intéressé par les gobelets et les microscopes et des choses comme ça, lorsque j’ai été présenté à Mr. Jim Reynolds au centre médical mémorial de Long Beach. Jim Reynolds nous a présenté ensuite, ma mère et moi , à John deHaas, qui était alors Membre Professeur de Protozoologie, d’après ce que j’ai compris, à l’université de la Caroline du sud.
Il était aussi à la tête de la compagnie deHaas Optical, un vendeur de microscopes, et il m’a mis en contact avec la Société Microscopique du Musée George C. Page, de laquelle, en fait, à l’époque, il était membre associé et membre senior. Pendant un des cours donné par l’association de la Société Microscopique de Los Angeles, j’ai vu l’ancien MJ-1 entrer par une des portes au fond de la salle. J’étais assis à l’arrière droit de la salle, ou j’avais ma place préférée. J’ai remarqué qu’il se tenait debout juste à l’arrière, il se confondait dans la foule, qui allait et venait, et il m'a regardé. Et je l’ai regardé car j’avais remarqué qu’il m’observait un peu trop longuement. J’étais déjà assez paranoïaque. J’avais une peur bleue d’être en compagnie de tous ces gens brillant. Heu…
C’était des scientifiques accomplis. Zane Price était l’un d’eux, il était à la tête d’Electron Microlab à l’UCLA. Et c’était tous des gens accomplis. Et j’avais remarqué qu’il me jetait ce regard du fond de la salle. Et il a pris son briquet et l’a allumé… l’a ouvert. C’était un Zippo et dessus il y avait le symbole des Navy Seals américains. Et il l’a tout simplement ouvert, allumé, et l'a refermé et est sorti de la salle par la porte de derrière. J’avais aucune idée qui était ce mec… j’avais trop peur de demander à quiconque car je ne voulais pas avoir l’air stupide. Vous savez, je n’étais qu’un adolescent. J’ai appris plus tard qu’il ne voulait que se présenter. Il voulait simplement voir ou j’en étais à l’époque dans ma vie. Maintenant, bien sûr, l’association était déjà établie grâce à son fils Michael et toutes ces choses, depuis 1973, et là, nous étions en 1975…76…
KC : Uh huh.
DB : …en plein dans ces années.
KC : Donc… Ok…
DB : C’était notre première rencontre. Et je ne l’ai pas vraiment rencontré à l’époque; il s’est montré à moi.
KC : Je comprends. Et vous avez depuis développé ensemble une relation où maintenant il y a de l’affection et il vous considère un peu comme son garçon…
DB : Il me traite beaucoup comme son fils, oui.
KC : OK. Mais est-ce que vous diriez aussi que c’est son… vous savez… il vous voit comme son fils littéralement. Ou est-ce que… je veux dire, il devait être conscient du changement, ou du transfert…
DB : Il…
KC : … qui a eu lieu.
DB : Il sait ce qui s’est passé à bord du vaisseau…
KC : OK.
DB : Nous avons eux de longues discussions à ce sujet.
KC : Ok
DB : En fait, pendant une courte… Et bien, un soir, nous avons eu une discussion pendant la nuit entière. Vous savez, j’essaye de prendre la meilleure voie pour tout le monde et c’est la seule raison pour laquelle…. Pour être honnête, je veux dire, vous savez… mon compte-rendu doit être rendu public dans la mesure que le message authentique, le véritable message, de ce que j’ai vu… ce que j’ai perçu… soit rendu… heu…. Et cela concerne l’issue des extraterrestres. Mais le reste… « Perdre mes genoux » dans le parc de Mae Boyar et tomber au pied d’un arbre où se trouvait mon grand-père, n’est pas nécessaire. Mais pour que les gens sachent que ce ne sont pas des conneries.
Suite dans la 2ème partie.
Veuillez cliquer ici pour la version originale en anglais.
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