_____________________________
Bill Ryan et Kerry Cassidy
Vilcabamba, Équateur, janvier, 2009
Présentation
[Rires, brouhaha]
Brian O’Leary (BO’L): Tout ce bazar
technique, c'est drôle, n'est-ce pas? On en est encore à l'âge
mécanique, à mon avis, mais un de ces jours, nous aurons de la vidéo
holographique d'une autre dimension et nous n'aurons plus besoin de
tous ces câbles et de tout ce brol.
Pour les plus jeunes d'entre vous, marquez ce moment! Pensez à toute la
préparation, les caméras vidéo et tout le nécessaire et imaginez un
monde meilleur, un monde d'énergie libre, avec des hologrammes. Un
monde de conscience, d'intention positive, un monde où les choses
fonctionnent, un monde qui fonctionne !
Avant de passer la parole à Projet Camelot... je n'avais, au départ,
que peu conscience de Projet Camelot. Je connais Steve Greer depuis
très, très longtemps, étant moi-même l'un de ceux qui l'ont poussé dans
son domaine de recherche.
Brian O’Leary (BO’L): Toute ce bazar
technique, c'est drôle, n'est-ce pas? On en est encore à
l'âge mécanique, à mon avis, mais un de ces jours, nous aurons de la
vidéo
holographique
d'une autre dimension et nous n'aurons plus besoin de tous ces câbles
et de tout ce
brol.
Pour les plus jeunes d'entre vous, marquez
ce moment! Pensez à toute la préparation, les caméras
vidéo et tout le nécessaire et imaginez un monde meilleur, un monde
d'énergie libre, avec
des hologrammes. Un monde de conscience, d'intention positive,
un monde où les choses fonctionnent, un monde qui fonctionne !
Avant de passer la parole à Projet
Camelot... je n'avais, au départ, que peu conscience de Projet
Camelot. Je connais
Steve Greer depuis très, très longtemps, étant moi-même l'un de ceux
qui l'ont poussé dans son domaine de recherche.
Donc, voilà que s'amènent les nommés "
Projet
Camelot."
Et
je me dis : Hum,
je me
demande de quoi il s'agit. J'ai peu à peu navigué
leur site web et réalisé que leur travail doit se faire.
Ce genre de contribution est une réelle
nécessité. Leurs interviews amicales vont bien au-delà de celles, par
exemple, de George Noory ou Art Bell dans l'émission " Coast
to
Coast." Camelot va en profondeur. Ces deux-ci, font
bien leurs
devoirs, ils se documentent. C'est important ! Quant aux livres de
ceux
qu'ils
interviewent, ils les lisent ! (Rires)
Il existe une foule de visionnaires,
surtout
d'aînés qui pourraient mourir à tout moment... [Voix
qui l'interrompt / bruit de fond]
Il y avait-il...? Ouais.
Kerry Cassidy (KC): C'est parti
maintenant.
BO’L: Bien. Donc, ce
qu'ils font, je l'apprécie de plus en plus.
J'ai eu une bonne conversation avec Bill ce matin - Bill Ryan,
Angleterre, antécédents éclectiques, tout comme Kerry...
Ils se
sont jetés à fond dans ce Projet, en volontaires. C'est toujours
un signe de
dévouement. Ceux qui cherchent immédiatement les fonds, sans
même avoir commencé, sont d'habitude, nés dans le beurre, et sans
efficacité réelle. Mais ce que ces deux-ci réalisent est vraiment
majeur.
Et donc, pendant notre conversation de ce
matin, j'ai soudain réalisé que, non seulement, ils rassemblent
des
informations avec vidéos etc., mais ils se sont de plus
accommodés des desiderata de leurs interviewés,
quant à ce qui sera ou non enregistré. Un accomplissement pas
toujours évident pour le raccord son !
Nous avons maintenant l'occasion
de les entendre pour les
trois heures qui suivent. Pendant trois heures et demie, vous pourrez
les entendre partager leurs histoires.
Je suis vraiment heureux que vous ayez
décidé de venir, Kerry et Bill, et Kay également. C'est à vous ! Bill
Ryan, Kerry
Cassidy, Projet Camelot ! [Applaudissements]
Bill Ryan (BR): Un petit moment. Nous
allons nous raccorder.
KC: Ouais. Prends le micro
(à fil) en
direct.
BR: Merci. OK.
KC: OK. Nous sommes tous les deux
en
laisse ! [Rires]
BR: Ce qui n'est pas notre style !
KC: Surtout pas moi. Je suis un
peu trop libre pour être au bout d'un laisse, mais... (rires). OK.
Donc, [à
Bill]
tu commences parce que tu te débrouilles toujours bien pour proposer
une
vue d'ensemble.
BR: Bien, je commence. OK. Nous avons
plein d'histoires à raconter, dont certaines sont inédites parce
qu'elles sont comiques et
qu'elles sont contre nous... mais nous en sommes au point
de trouver amusant de vous les raconter.[Rires]
Une anecdote que j'aime particulièrement -
que
j'adore - est cet e-mail, reçu il y a quelques mois, qui disait ceci : Vous
savez
quoi, [rires] j'étais certains que vous deviez être une
opération de la CIA et que vous étiez sponsorisés par ces types. Mais
j'ai réalisé que vous étiez tellement amateurs que vous ne pouviez pas
être
CIA. [Rires].
KC: OK. Et moi, je m'en sens
offensée.
C'est son anecdote à lui. [Rires]
BR: Ma première rencontre avec Kerry
Cassidy eut lieu lors de la Conférence ufologique de Laughlin, fin
février
2006, au cours de laquelle je parlais d'un
programme de divulgation, dans lequel je m'étais par inadvertance
engagé. Je
m'étais empêtré dans une histoire vraiment bizarre, que j'aborderai
brièvement, mais sans plus.
J'étais interviewé par plusieurs personnes
et c'était la toute première fois que je me faisais interviewé. Il
était à peu près 5 heures de l'après-midi.
J'étais interviewé par un gars qui avait dû
vidé sa tirelire dans ses caméras. Il y avait une caméra
avec un grand trépied par-ci, une autre par-là, des micros
partout, il a mis quinze minutes pour tout installer. C'était un
quelconque accord TV et je n'ai jamais même pris note de quoi ou de qui
il s'agissait.
C'était à 5 heures et à 6 heures, je
rencontrais Kerry.
Arrive Kerry avec sa petite caméra, qu'elle installe sur un mini
trépied
et moi, je me dis : Ou est le reste ? [Rires] Kerry commence
à me parler. Et voilà, c'était fait !
Ce que je veux dire, c'est que
cela représente l'esprit dans lequel Camelot a débuté - que
tous deux, nous recommanderions d'ailleurs à tous : prenez ce que vous
avez de disponible à portée de main, même si ce
n'est que votre courage, vos mains et rien d'autre, et commencez !
L'important, c'est de garder votre vision.
Je veux par ailleurs, mentionner Kerry ici,
parce que comme pour toute chose, on peut retracer les origines et
remonter dans le passé jusqu'au commencement. C'est Kerry
qui, bien avant octobre 2005, a développé la vision de Camelot.
Suite à sa
propre expérience hollywoodienne,
frustrée de tout ce business, elle s'est dit: Vous savez quoi,
je
fais faire mon propre truc.
KC: [Rires] Merci. En réalité,
revenons un peu en arrière, parce qu'autant j'aime que le mérite me
revienne, il faut que je dise que Camelot a commencé avec
Camelot, le
Camelot du Moyen Âge. Nous avons tous les deux été fort
inspirés par cette
histoire.
Il s'est fait que j'ai interviewé Bill à
Laughlin. En réalité, au début, je pensais... il représente le Projet
Serpo, est-ce que ça va être intéressant? Il n'est pas le
dénonciateur. Ce n'est pas lui qui raconte l'histoire. Je
n'étais pas plus enthousiaste que ça pour cette interview.
Quand je me suis présentée pour
l'interviewer, il était plutôt évasif : Peut-être que j'aurai du
temps
ce soir. Puis il a dit que non. Puis que oui. Mais initialement,
il avait accepté d'être interviewé par e-mail.
L'interview eut lieu et je fus très
impressionnée par son équilibre, son objectivité. Il était le
porte-parole du Projet
Serpo dans un sens, parce qu'il avait construit leur site web,
mais
il n'avait rien d'autre à voir avec ce projet... C'était
un programme d'échange aliène dans lequel notre gouvernement aurait été
impliqué au début des années soixante, supposément du moins. C'est en
ligne, au cas où vous seriez intéressés.
Il avait une manière très équilibrée de
répondre aux questions, je lui ai envoyé quelques directs gauches,
ou peu importe comment vous les nommez...
BR: Crochets droits, plutôt. [Rires]
KC: ... pour voir à quel point cela
le troublerait mais aussi pour aller droit à la racine de l'histoire,
ce qui
est ma
façon de
faire, au cas où vous auriez regardé les vidéos. Il l'a très bien géré,
il l'a pris calmement avec humour sans prendre la défensive. Et ça,
ça compte beaucoup pour moi.
Nous sommes allés dîner. Nous avons
commencé à parler, à comparer nos notes. Nous avions tous deux
examiné une somme de matériel considérable - conspirations, OVNI,
métaphysique, disciplines spirituelles,... - toute notre vie jusqu'à ce
point. Nous avions pas mal à nous dire. Et nous avions pas mal en
commun.
Puis, je suis partie en voyage en Égypte.
Ma
mère m'avait laissé un petit héritage qui a permis de financer Camelot pendant presque deux ans.
Je
suis allée en Égypte avec Jordan Maxwell et William Henry.
Voix: Eh bien!
KC: C'est là que j'ai interviewé
Jordan très brièvement. C'était encore... Camelot n'avait pas
encore commencé. Au retour d'Égypte, nous avons repris contact.
Nous sommes restés en contact par e-mails et nous nous sommes arrangés
pour que je
vienne lui rendre visite en Angleterre.
Ce que j'ai fait. Nous sommes allés à
Stonehenge et à plusieurs endroits d'Angleterre qui sont de puissants
centres d'énergie (power place). Nous nous sommes rendus à
Tintagel, où l'on suppose que le Roi Arthur ait vécu. Je ne sais pas si
vous êtes jamais allés à Tintagel :
c'est un endroit étonnant, sur la côte, entouré d'une puissance
mystique intéressante. Cet endroit nous a vraiment marqués.
Et nous avons commencé à parler de ce que
nous pourrions faire. Nous avions tous deux des antécédents
incroyables, Bill comme web master, moi comme réalisatrice de films ;
nous écrivions
tous les deux ; nous avions tous deux vécu des expériences
spirituelles. Et
nous nous sommes posé la question: Que pouvons-nous faire pour
changer le paradigme actuel et pour éventuellement, forcer
la divulgation?
C'est là, en lieu et place, que nous avons
créé Camelot. Nous étions tous deux très inspirés par le
concept de la Table Ronde du Roi Arthur, qui n'a ni leaders
ni disciples per se. Dans l'esprit arthurien, chacun
pouvait venir à la Table Ronde, tout était en équilibre, sans
hiérarchie. C'était un travail commun pour un meilleur futur.
C'était la vision arthurienne et je crois
personnellement, que nous avons, tous les deux, vécu à cette
époque et que c'est ça, qui nous a connectés. Cela
n'a pas changé. J'ai d'ailleurs remarqué les ravissantes visions
arthurienne, avec l'épée et les autres symboles de Mere [Meredith,
l'épouse,
artiste, de Brian O’Leary.]
Que John
F. Kennedy ait eu, au moins théoriquement, des visions d'un monde
meilleur, lorsqu'il était président, est un synchronisme également, une
sorte d'écho.
Nous avons choisi d'appeler Projet
Camelot ainsi, car le mot " Projet " devance la plupart des
projets
vraiment secrets.
J'ai travaillé brièvement à JPL pour NASA,
pour aider dans les média. J'ai écrit un scénario nommé " Project
Moondust " (Projet Poussière de Lune). J'ai travaillé à Hollywood
pendant environ 20
ans, en essayant de lancer des projets de
science-fiction, pour ouvrir les esprits et changer le paradigme, mais
je
ne suis arrivée à rien.
C'est pourquoi j'ai pris un caméscope
amateur et je me suis dit: Flûte ! Je vais réaliser un
documentaire. Je vais faire des interviews dans les
conférences ufologiques parce que ces gens ont quelque chose à dire, et
je veux
que
le monde les entende.
Donc, ça a démarré. Et, par synchronisme,
Bill était en contact avec M. X.
BR: Oui. Juste quelques mots, pour en
dire un peu
plus sur la façon dont nous avons imaginé et actualisé ce Projet.
L'idée de Camelot nous est venue
quand
nous étions à Tintagel, dans le comté de Cornouailles. Certains d'entre
vous ont peut-être eu la même expérience.
Il n'a pas fallu des heures et des heures
d'agonie pour établir un plan
stratégique. Tout le concept fut envisagé et accepté, avec une synergie
évidente et spontanée entre nous, en probablement deux minutes tout au
plus.
Nous avons simplement articulé notre vision
en termes généraux et littéralement, en quelques
minutes, nous nous étions mis d'accord sur ce que nous allions faire.
Il n'y avait pas le moindre doute.
Si nous nous étions arrêtés pour y
réfléchir, (rires), nous aurions pensé aux " Oui, mais..."
et "Attends un peu...” et, " Comment allons-nous
financer ce projet ?” etc. Mais cela ne nous a jamais
traversé la tête.
C'était amusant. Cette capacité
de s'amuser et de dire M...e, faisons-le!, est intrinsèque à
ce projet depuis deux ans et demi.
A cette époque, nous n'avions rien envisagé
d'aussi important. Nous n'aurions jamais envisagé qu'ici à Vilcabamba,
nous serions à
quelques mètres d'un visionnaire, physicien et astronaute,
respecté internationalement, qui, dans une
probabilité
temporelle différente, aurait pu être la première personne à avoir posé
officiellement le pied sur Mars.
C'est devenu tellement énorme. Ce projet
s'est développé sous nos yeux, comme sur des roues bien
huilées, avec direction assistée et marche automatique. Nous en
reparlerons quand l'opportunité s'en
présentera durant la journée. Nous ne nous attribuons que peu de
mérite.
Rétrospectivement parlant, je pense que
nous présentons un show de qualité. Du genre Mulder et
Scully.
[Rires] Nous avons les deux types de personnalités. Un homme, une
femme,
l'Américaine et l'Anglais.
Nous avons le sceptique... du moins, l'un, légèrement plus sceptique et
l'autre, légèrement plus ésotérique. Nous faisons bonne équipe. (Rires)
KC: Je ne sais pas si tu devrais
nous jeter des fleurs. C'est embarrassant ! (Rires)
OK. Il faut que je mentionne, parce que je
sais
qu'il s'agit d'une question courante : Pourquoi un guépard ?
La raison en est... ce qui s'est passé,
c'est
que
nous nous sommes rendus en Afrique parce que Bill y est né. Il m'a
emmené
en safari. C'est une des raisons qui m'a poussée à lui rendre visite
en
Angleterre. Je savais qu'il connaissait l'Afrique, or
je suis une fan passionnée d'Afrique et d'Égypte.
Nous avons entrepris ce safari au début de
nos voyages, pour faire une pause. Lors d'une de nos escapades, j'ai
réussi à filmer un guépard, un vrai
guépard, c'était un jeune. Un très, très bel animal. Nous avons passé
des heures à le filmer.
Puis quand nous songions à créer un
logo pour Camelot, j'étais... Comme je viens
d'Hollywood, c'était un clin d'œil snob à MGM [rires], au lion MGM, le
célèbre symbole hollywoodien. J'ai toujours voulu réaliser des films,
et donc, le choix de ce logo au début de nos vidéos est une sorte
d'affirmation.
Si vous connaissez
notre logo, vous avez vu le focus sur l'œil. Je n'ai pas mon t-shirt
avec le logo sur moi. L'œil veut dire: Nous vous observons, tout
comme vous nous observez
– en clin d'œil au gouvernement.
C'est ainsi que le guépard est devenu notre
logo. Les guépards sont plus rapides, l'Internet est plus rapide, nous
sommes plus légers que le lion MGM.
Voix: C'est vrai. [Applaudissements /rires]
BR: Au début, Camelot
n'était
pas
qu'une
feuille
blanche. Nous
avions de quoi
faire.
Brian vient de mentionner le Disclosure
Project (Projet Divulgation), mais nous ne connaissons pas Steven
Greer, ne l'ayant jamais rencontré. Nous n'avons jamais
correspondu avec lui, nous ne l'avons jamais croisé lors d'une
conférence ou d'un voyage. Nous aimerions bien pourtant. Nous n'avons
aucune idée
de la façon dont il nous considère. Nous ne savons même pas s'il a eu
vent de notre existence.
Mais comme la plupart d'entre vous,
probablement, j'ai été personnellement encouragé par la
conférence de presse de Washington en mai 2001, je pense. Steven Greer
a présenté un exposé impressionnant devant les
organes de presse grand public invités. Il a de plus introduit,
plusieurs heures durant, toute une série de gens dont certains sont
devenus par la suite nos témoins Camelot.
Je m'en souviens clairement parce qu'au
même moment, tard dans la nuit, je me trouvais au volant en Écosse.
Il était à peu près deux heures du matin, la retransmission de cette
conférence passait en direct à la radio. J'étais tellement fasciné par
ce qui se passait, que je pouvais à peine le croire. J'ai stoppé la
voiture pour pouvoir l'écouter.
KC: [interrompant] Désolée. Mais,
c'est typique. Nous avons des effets de son anormaux. Ça y est, ils
sont coupés. Il faudrait peut-être que tu tiennes ton micro autrement.
Tiens-le plus haut.
BR: OK. Merci. Comme la plupart
d'entre vous probablement, je me suis demandé: Mais qu'est-il
arrivé au " Disclosure Project"? Que sont devenues ces vidéos
qu'ils avaient promis de publier ? Cette promesse publique
semblait tellement énorme, mais qu'en a-t-il résulté ?
Je n'essaye pas de répondre à cette
question et aucune critique n'est sous-entendue, mais,
pour utiliser le jargon de mon poste de conseiller en gestion
d'entreprise pré-Camelot : il semble qu'il existe
un réel besoin sur le marché. [Rires]
Pour utiliser un autre
jargon professionnel de spécialiste/ consultant en
"team-building" (construction d'équipe) que j'ai occupé : il y a de la
place dans
l'équipe.
Nous avons besoin de l'effort concentré du plus de gens possible pour
faire passer cette information.
Je me suis donc dit ceci: Nous ne
sommes
pas en train de supplanter ce gars. Nous ne sommes pas en train
d'interférer avec ses intentions, mais les gens attendent cette
information. Kerry a sa petite caméra de
poche, alors, allons-y !
Selon mon expérience du
Projet Serpo... laissez-moi en parler brièvement.
Certains d'entre
vous n'en ont probablement jamais entendu parler, d'autres ont
peut-être
lu quelque chose à ce sujet, peut-être des critiques d'ailleurs.
C'est très étrange. Il s'agit de la
présumée revendication d'un programme d'échange USA/aliens, qui
aurait pris place dans les années soixante et septante. Je m'y suis
trouvé empêtré parce que, tout comme vous, je faisais partie d'un
groupe virtuel d'utilisateurs e-mail, auquel
des infos sur le programme d'échange USA/aliens étaient communiquées
par une source anonyme.
Quelqu'un dans le groupe a fait la
proposition suivante : Ces
informations
sont
intéressantes.
Nous
devrions
les
archiver
sur
un site web. Et je fus assez bête pour me porter volontaire : Je
peux
faire
ça.
J'ai
du
temps
libre. [Rires]
C'est ainsi que je devins le web master du
site Serpo, qui
publiait les informations provenant de sources internes de la
DIA - Defense Intelligence Agency
(Agence du renseignement pour la Défense).
C'est une très, très longue histoire que nous n'inclurons pas... mais
il
y avait anguille sous roche.
Je me suis trouvé en contact avec la
communauté du Renseignement. Il y avait de l'interférence
derrière le rideau noir.
Nous avons eu l'occasion de rencontrer l'un
des
astronautes de réserve, pensionné, n'ayant pas fait partie du
programme. L'histoire est d'ailleurs fascinante à raconter et ces
rencontres sont bien réelles.
Le programme a bel et bien existé mais
certainement pas comme le site web le décrit.
Pour en venir à l'un de nos dénonciateurs,
que nous appelons “Jake Simpson” dont nous aborderons le témoignage cet
après-midi... Certains d'entre vous
ont peut-être déjà eu l'occasion de lire le rapport de son témoignage,
en ligne depuis les dernières 48 heures.
Nous lui avions demandé, devant l'une des
tasses de thé ou de café que nous buvions à l'affilée : Ce
programme
d'échange,
a-t-il
vraiment
eu
lieu ? Une petite remarque
sans
conséquence que je n'avais même pas incluse dans le rapport car je
l'avais oubliée.
Ce à quoi il avait répondu: Bien sûr
que ce programme eut lieu. Et puis: Et il y en a beaucoup.
Voix: Mince!
BR: Mon point
de vue a toujours été le suivant. Si vous partez du principe que les
Visiteurs existent, que les communications sont établies avec eux, ce
qui s'ensuit éventuellement est
de se rendre chez eux, avec leur aide. Et c'est, bien sûr, ce qui s'est
passé. Nous ne pouvons pas le prouver. Mais c'était la réalité de
l'histoire Serpo.
Je fus impliqué en tant que web master et,
comme j'étais le seul contact possible, c'est ainsi que Kerry m'a
interviewé. Elle n'avait en effet pas
accès à ceux qui,
des coulisses du Pentagone, communiquaient cette information au goutte
à goutte. C'était probablement un test, pour voir comment l'info
serait reçue
et ce qui allait en découler.
L'histoire Serpo fut démolie. Nous
pensons qu'elle fut bousillée de l'intérieur à cause d'autres
"insiders".
Les "black hats/white hats" (NdT: "chapeaux
noirs/chapeaux blancs", ceux qui n'agissent pas
dans le meilleur intérêt du public versus ceux qui agissent dans le
meilleur
intérêt du public) s'activent dans les coulisses, poussant par-ci,
tirant par-là, ce qui sera ou ne sera pas communiqué.
Ils se sabotent et se désinforment entre eux tout autant
qu'ils le font avec nous.
[Rires] Ce qui est assez intéressant et tout à fait véridique...
Voix: Comment épelez-vous Serpo?
BR: S-E-R-P-O. Le nom présumé
de la planète, ce qui n'est probablement pas vrai. Par la suite, nous
avons établi contact avec un autre lanceur d'alerte, un gars très
important dans l'histoire de Camelot, quelqu'un que
nous connaissons très, très bien, à qui nous avons attribué le
pseudonyme d' “Henry Deacon”, un clin d'œil à l'un des caractères de
la série TV, Eurêka.
Une des toutes premières critiques qu'Henry
ait émises à propos du Projet Serpo - un groupe de
douze astronautes américains qui auraient mis
neuf mois pour visiter une planète de Zeta Reticuli 2 - fut que Cela
n'aurait
pas
pris
neuf
mois.
Il a ensuite commencé à parler des êtres
qui vivent sur les deuxième, troisième et cinquième planètes d'Alpha
Centauri, etc...
KC: OK. Mais ne dérapons pas!
BR: Ne dérapons pas. D'accord !
Pendant que j'étais web master, les gens m'écrivaient.
Les
gens m'écrivaient parce que dans ma naïveté, je m'étais présenté comme
un homme ordinaire, honnête, faisant ce qu'il pouvait pour aider.
Je n'avais pas de pseudonyme. J'avais même mis en ligne une photo de
moi
pour qu'on puisse voir que j'existais réellement.
Je faisais simplement savoir : Regardez,
je
ne
sais
pas
ce
qui
se
passe
ici. J'essayais d'être le plus
intellectuellement honnête que je le pouvais... c'est ce dont Kerry
parlait dans la petite interview que j'avais faite avec elle, et qui
avait
duré 10 minutes.
Les gens commençaient à m'écrire en disant
: Écoutez, j'ai une histoire incroyable à vous raconter et
vous
me paraissez être quelqu'un qui pourrait me croire. Je
n'en ai parlé à personne.
J'ai reçu un nombre de messages
considérable, que je n'ai, pour la plupart, jamais
publiés parce que malgré leur intérêt, ils ne menaient à rien - il
s'agissait d'étranges rencontres, d'expériences bizarres, d'histoires
drôles au sujet des Black Ops
(opérations secrètes). Il
y en
avait beaucoup.
Un des messages était le suivant : J'ai
eu
une
mission
intéressante. Quand j'étais jeune homme, je
travaillais pour une compagnie aérospatiale dans le sud de la
Californie...
Il racontait qu'il avait travaillé en tant
que graphiste pour une compagnie aérospatiale que le gouvernement US
avait
contractée. On lui avait demandé s'il voulait être volontaire
pour une mission spéciale. Ce à quoi, il avait répondu : Bien sûr,
de quoi
s'agit-il ?
Après avoir signé son NDA (Accord de
non-divulgation) et après avoir
reçu une habilitation
secrète, il avait pris connaissance de sa mission.
Cette mission, dont il n'avait jamais, mis
à part son épouse, parlé à
personne pendant près de vingt ans,
serait considéré, par la plupart de vous, comme un job de rêve. Pendant
six mois, huit heures par jour, il allait travailler dans
une chambre forte, un garde posté à l'extérieur de la porte.
Il recevait un grand sac
postal bien cadenassé, raconte-t-il. Le garde
entrait, ouvrait les gros cadenas et s'en allait en fermant la porte.
Son
job était de classer, d'archiver et d'étiqueter le contenu du
sac.
S'y trouvaient
des documents ufologiques, des films, des artéfacts et des vidéos
datant de
1947 jusqu'au début des années quatre-vingt. Il raconte qu'il était
comme un gosse dans une échoppe de
bonbons. Il n'arrivait pas à y croire. Ce job a duré six mois.
Tant de choses lui sont passées entre les
mains. Il n'a jamais rien dit à personne. Une grande partie était
sous scellé, mais il parcourait tout ce qu'il lui était possible de
lire. Il m'a écrit en disant : Telle
fut
mon
expérience.
J'ai examiné ces propos et
lentement, très
graduellement, j'ai obtenu de lui des informations, car je peux...
nous savons reconnaître un vrai lanceur
d'alerte. Ce n'est jamais quelqu'un qui débarque en clamant sur tous
les toits : Eh!
J'ai une histoire incroyable. Laissez-moi
tout vous raconter.
Un vrai lanceur d'alerte
vous écrit deux lignes énigmatiques pour voir si vous êtes assez malin
pour deviner qui il est. C'est de cette façon qu'ils opèrent.
Nous en avons raté d'ailleurs un ou deux.
Nous
le savons parce qu'ils nous ont ré-écrit. Nous
n'avions pas remarqué le premier e-mail car c'est en général un message
d'une ligne qui vous parvient : Bonjour, j'aimerais vous parler.
J'ai
quelque
chose d'intéressant à vous raconter.
Et vous vous demandez : Bien,
qu'est-ce que ça
veut dire ?
Maintenant, nous prêtons attention à ce genre d'e-mail.
Donc, ce gars attendait Camelot dans
les
coulisses.
Il
fut
notre
premier
interviewé.
Il
n'avait
jamais
parlé
à
personne,
n'avait
jamais
été
enregistré.
Voilà
que
nous
avions notre propre version de Projet Divulgation !
K: OK. Ce qui s'est passé, c'est
qu'au début, il ne voulait pas passer devant la caméra. Nous avons fini
par le rencontrer, lui et sa femme, et nous avons passé du temps
avec eux.
C'était un individu brillant, et nous
étions bien déterminés à l'interviewer. Il nous a fait comprendre qu'il
voulait
que sa voix soit déguisée et rester dos à la caméra. Par la suite,
"Henry
Deacon" refuserait également, de passer devant la caméra ou
d'enregistrer
sa
voix.
Donc, dans le cas de M. X, nous avons fait
la vidéo et si vous visitez notre site, vous avez dû la voir.
C'était notre première vidéo ensemble, même si auparavant, j'avais déjà
interviewé, non seulement Bill, mais aussi Rich Dolan, Stephen Basset,
Jim Marrs...
BR: Bill Hamilton.
KC: ... et Bill Hamilton dans un
documentaire OVNI que j'étais en train de réaliser. Bill Hamilton est
un
témoin absolument fascinant. Il est l'un des premiers... dans
nos interviews Camelot. Il a une foule d'histoires
à raconter. Si vous êtes familier du milieu, vous savez que c'est un
chercheur respecté depuis longtemps.
Je vous conseille, si vous n'avez pas
encore visionné cette interview, de le faire. Il raconte des tentatives
d'appel aux Ovnis avant que Steven Greer n'y ait même pensé ; des
épisodes avec, je pense qu'on peut dire, des "Hommes en Noir"
(Men-in-Black), dont il a reçu
la visite, etc. Il a rencontré quelques
uns des chercheurs et des personnalités les plus incroyables du milieu
ufologique et cela remonte de plus, à pas mal de temps.
BR: Raconte leur ce qui est arrivé à M. X.
KC: M. X, malheureusement, est
décédé très récemment. De façon inattendue.
Nous ne connaissons pas la cause de sa mort. Nous
avons reçu un appel de sa femme. Elle était dans un état...
A propos, M. X avait fait une interview
audio récente. Il devenait plus
courageux.
Nous venons de parler à la "Crash
Retrieval Conference" à Las Vegas, il y a à peu près un mois. Il
avait,
pour cette
conférence, fait une courte interview audio avec moi, avec
nous
deux plutôt, mais c'est ma voix que vous entendez sur l'audio. Il avait
parlé de sa propre voix. Il prenait de l'assurance et s'extériorisait
lentement mais sûrement.
Il tenait sa femme et sa famille en dehors
de
tout ça. Sa femme est une belle personne, assez consciente
spirituellement. Mais à cause de ses peurs, il ne l'a
jamais impliquée dans ce qu'il faisait sur le web, où il partageait ses
expériences avec d'autres. Il devenait plus courageux avec le temps.
En tout cas, il est mort d'une crise
cardiaque soudaine. Subitement, au milieu de la nuit, il... C'était aux
alentours de Noël, juste avant Noël, je crois. Il devait faire du
shopping. Il avait mal de tête. Il a avalé quelques aspirines et est
parti faire ses courses malgré tout.
A trois heures du matin, il s'est réveillé,
se sentant très mal. Elle l'a amené à l'hôpital. A 12h45, le jour
suivant, il avait passé le cap.
Nous ne savons pas si c'était un coup
ciblé. Nous n'avons pas voulu bouleverser sa femme en sondant
ouvertement l'affaire.
Mais nous avons cependant quelques suspicions à cet égard, sachant que
les
Pouvoirs en Place excellent en ce genre de choses.
A l'insu de la plupart des gens, il pensait
passer sur "Coast" (NdT: "Coast to Coast", émission alternative
célèbre de George Noory). Personne ne le savait, nous excepté,
et probablement quelques amis proches. Il est évident que nous ne
savons
pas si c'eût un effet.
Nous ne savons pas si ses intentions ont irrité quelqu'un.
Nous pensions, tout comme lui, que son job
pour une compagnie
aérospatiale, il y a plus de vingt ans, même s'il avait pu voir
certains
documents, était de l'histoire ancienne... qu'il ne pouvait d'ailleurs
confirmer, n'ayant pas de preuve. Nous avons donc toujours
pensé qu'il n'était que "du petit gibier" sous de la ligne de
tir et qu'il ne serait pas une cible.
Mais la vie se poursuit. Il est
là, quelque part. Il va communiquer, j'en suis sûre, avec nous en tant
que groupe parce que nous nous incarnons en groupes, comme beaucoup
d'entre vous le savent.
Chacun de nous a une mission et
lui, l'a certainement remplie. C'était une âme merveilleusement aimante
et nous voulons lui rendre hommage ici, à cette conférence, avec ces
quelques mots.
Une chose que je voudrais dire, pour ceux
qui n'ont pas été sur notre site - je suppose que la plupart d'entre
vous
l'ont fait, mais on ne sait jamais - notre mission est d'établir un
contact avec ceux qui révèlent la vérité, les dénonciateurs, les
investigateurs...
A tous les niveaux... nous sommes ouverts à
tout ce qui
convertit l'ancien paradigme au nouveau paradigme, ce qui inclut
l'énergie libre...
Nous couvrons le domaine de la santé avec
des professionnels, l'ufologie, les conspirations, le
gouvernement.
Nous avons interviewé des gens des "black"
projets (projets secrets) bien évidemment.
Nous interviewons également des médiums. Il
est évident que George est un "canal" ouvert au channeling. Le channeling est un aspect majeur des
témoins que nous
avons interviewé. Nous n'en avons pas parlé beaucoup,
mais nous allons explorer cela dans l'avenir. C'est un aspect
important.
Il y a aussi la vision à distance. Nous couvrons
une gamme très
étendue.
BR: Ouais. On nous a appelés “Le 7 jour sur 7 de la conspiration
sur Internet”. [Rires] Nous sommes un magasin tout en un, où vous
trouvez
tout ce dont vous
avez besoin, tout ce que vous voulez, sans devoir aller
ailleurs.
Et juste pour rire - cela
pourrait même s'appliquer à certains d'entre vous ici présents. Nous
avons reçu des e-mails qui nous reprochent un certain nombre de
weekends perdus parce qu'ils se sont si
profondément "enlisés" dans notre matériel qu'ils ne pouvaient plus en
sortir.
[Rires]
C'est devenu énorme. Nous avons
approximativement 150 heures de
vidéos. Tout est transcrit. Les transcriptions sont traduites en
d'autres
langues. Nous avons des versions audio, des rapports, et toute
une série de choses dont nous n'avons pas encore parlé.
Donc ça a poussé, comme on dit, et les gens
nous écrivent. Veuillez pardonner cette apparente auto
promotion,
mais c'est réellement pour le bénéfice de tous ceux qui
arrivent à niveau, avec ce dont nous parlons, ce qui se trouve sur
notre site : des informations, que nous, ainsi que d'autres, pensons
capables de catalyser un changement de paradigme.
Comme je le disais plus tôt, jamais nous
n'avons décidé d'atteindre délibérément ce stade, mais il semble que Camelot
ait grandi de cette manière, exactement pour les raisons que Kerry
vient
de citer, c'est-à-dire que nous rapportons des informations provenant
d'une telle variété de
sources différentes que, paradoxalement, et de manière intéressante,
seuls les gars des opérations secrètes pourraient recouper ces
données.
En d'autres mots, quel rapport existe-t-il
entre
conscience et énergie ? Le voyage multidimensionnel ? Les contacts
E.T. ? Des bénéfices possibles pour la santé qui nous sont cachés ?
Tout se recoupe et les Pouvoirs en Place le savent.
C'est nos efforts pour vous
libérer en vous révélant ce qui vous est caché, qui
sous-tend tout ce que nous avons fait jusqu'ici.
Il y a des gens qui ne veulent pas que vous soyez libres,
c'est la raison pour laquelle certaines choses ne
sont pas divulguées. C'est l'autre face. Nous, nous essayons de
l'inverser.
J'aime beaucoup l'avertissement sur les
autocollants dont Brian parlait hier matin : La
vérité vous libère, mais d'abord elle vous fait ch..er. [Rires]
Moi, j'écrirais sur un autocollant encore
plus
grand : D'abord ça va vous faire flipper, et puis vous
faire ch..er, et puis vous libérer. [Rires] D'ailleurs, je vais
le mettre sur le site, avec la permission de Brian, parce
que c'est si vrai.
Nous recevons constamment des
communications qui laissent transparaître à quel stade se trouvent
les gens : s'ils flippent, s'ils sont en
colère, s'ils se sentent libérés.
[Rires]
Nous entendons régulièrement ceci : Vous savez quoi ? J'ai piqué
une
crise la semaine passée mais maintenant que j'ai lu davantage de votre
matériel, je me sens cool. Alors, qu'est-ce que je peux faire ?
Et c'est, bien sûr, le point suivant dont
nous allons parler cette après-midi : Que pouvons-nous faire ?
Cela ressortait bien, je crois,
du dialogue avec George Green hier : OK,
maintenant,
je
flippe. Qu'est ce que je peux faire à ce sujet ?
Sauver
ma peau ? De quoi s'agit-il ? Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?
Qu'est-ce
qu'on fait de ces informations ?
Nous
en reparlerons un peu plus tard, parce que notre orientation est de
chercher des
solutions. Nous n'essayons pas de faire peur aux gens. Mais la vérité
est l'endroit où commencer.
Si vous êtes perdu, dans la jungle ou dans
les rues de New York, et que vous voulez vous rendre à un autre
endroit, vous
devez
d'abord savoir où vous êtes
avant de commencer le voyage.
Vous devez savoir où vous êtes, même si ce
n'est pas agréable, et vous dire: Bon, en réalité, c'est
que c'est là que je suis.
Si vous rencontrez une
situation difficile dans vos relations, dans vos affaires ou votre
famille, ou ailleurs dans votre vie, d'abord, dites la vérité
et ensuite : OK. C'est ce qui se passe. Et maintenant, que
puis-je
faire ? Voyez-vous, c'est là que ça commence.
KC: Donc, essentiellement, nous
voulons vous révéler la vérité de ce qui se passe. Nous
comprenons que les gens ont des tolérances différentes. Nous le
comprenons bien. Par ailleurs, on nous a collé l'étiquette "négatifs"
ainsi que d'autres
adjectifs, parce que nous disons la vérité.
Ce qui se passe autour de nous - que le
film The Matrix représenté
de façon excellente à mon avis
- c'est que nous sommes tous dans une matrice. La plupart des gens ne
veulent pas s'éveiller de cette matrice. Quant à nous, c'est notre
préoccupation et notre mission
d'éveiller les gens.
Une fois que vous vous éveillez, il est
évident que vous voulez faire quelque chose. Nous sommes partisans
d'encourager une élévation du niveau de conscience ainsi qu'une action
pratique.
Nous avons créé un nouveau site web, nommé Projet
Avalon, projectavalon.net.
Pour ceux d'entre vous qui ne l'ont jamais visité, c'est un forum où
les
gens peuvent établir des contacts. En même
temps que nous parlons ici, les gens y créent des connexions, et en
fonction des informations qu'ils y apprennent, certains abonnés
vont par exemple, décider de construire des endroits sûrs.
D'autres créeront des communautés là où ils
vivent. Des connexions se font et notre intention est
que les liens se tissent tout autour du globe. C'est très, très
encourageant à voir.
Project Avalon est un réservoir
d'informations. Nous sommes en train de cataloguer
et de rassembler des données,à l’heure où je vous parle : comment
construire une
maison sécurisée ; où aller dans le monde ; qu'est-ce qui offre la
sécurité. Nous
comparons nos notes sur les différentes méthodes
de conservation du sol, de l'eau etc. OK?
C'est juste un bref rappel pour vous
dire que nous avons fait des plans et que nous aidons les autres à
faire de même pour créer quelque chose de nouveau suite à la
destruction du vieux paradigme.
Nous désirons vous
encourager et vous faire savoir que tout ce qui se passe ici, à cette
conférence, toute compétence, toute information que vous voulez
partager, vous pouvez l'amener à notre forum. Et vous pouvez également
soumettre votre
matériel de
recherche si vous êtes experts en certains domaines.
Nous allons rendre toutes ces données
accessibles sur
le site. Nous pourrions d'ailleurs créer une section pour
Vilcabamba, si tel est le désir.
A ce stade, nous allons parler plus en
profondeur de nos témoins, mais je veux d'abord savoir où nous en
sommes par
rapport au temps. [Brève discussion en aparté]
OK. Ce que nous allons vous proposer
maintenant,
c'est une vue d'ensemble du "grand dessein" (The
Big
Picture) comme nous l'appelons.
Autre point sur lequel nous
insisterons, c'est que chaque témoin possède une pièce du puzzle et
que,
contrairement à d'autres intervieweurs - et il
existe bien sûr d'autres
sites - nous n'accumulons pas simplement les interviews au
hasard.
Nous sommes en quelque sorte,
sur une piste, à la poursuite d'un mystère. Nous recueillons des
témoignages spécifiques
qui provoquent un certain degré de compréhension. Nous avons
l'intention de
révéler
"le grand dessein", en un seul endroit.
Connaître une seule pièce du puzzle n'est
pas suffisant, mais comprendre "le grand dessein", avoir une vision
globale, c'est là que réside le pouvoir.
Je dois dire que le voyage n'est pas
terminé, nous avons couvert une certaine partie du "grand dessein",
parfois très superficiellement. Plus nous irons
en profondeur,
plus nous en serons contents, mais nous avons été stoppés à différentes
intervalles.
Il nous est arrivé un certain nombre
d'incidents
"anormaux". Je ne dirai pas qu'il s'agissait de menaces manifestes. Pas
exactement [rires]. Nous les décrirons. Pour terminer, nous
aurons une longue session de questions-réponses.
Je voudrais dire qu'un de nos témoins, qui
n'est pas George Green, se trouve ici, dans la salle. Son nom, comme
vous le
savez tous, est Miriam Delicado et
nous sommes très, très heureux qu'elle ait pu venir.
Et nous voulons remercier particulièrement
- pourquoi pas maintenant ? - Kay Shepard et Perry Shepard qui ont
rendu
tout ceci possible.
Kay est une personne qui secoue et fait bouger les choses, et si ce
n'était grâce à elle, nous ne serions pas ici aujourd'hui, parce que
nous
nous sommes retrouvés à court de fonds [rires] pour financer Camelot
qui, excepté
quelques donations, a été financé l'année passée. C'est donc grâce à
Kay que
nous sommes ici. Nous voulons lui offrir tous nos remerciements.
[Applaudissements]
Ce que nous aimerions faire
maintenant... Bill étant le meilleur pour tout ce qui touche aux faits
et
aux nombres - il a
fait des études
de physique. [Rires] Bill
va vous donner une idée du "grand dessein", et puis nous prendrons
une pause
pour déjeuner et nous continuerons, ensuite, plus en profondeur.
BR: [Rires] Ouais. Je suis le gars des maths et de la physique.
Une de mes premières expériences avec Kerry fut un
dîner après notre interview à Laughlin. Kerry eut la gentillesse de
m'inviter pour un merveilleux dîner mexicain.
Quand elle a reçu l'addition, je l'ai vue,
sourcils froncés, qui cherchait à
comprendre. Elle allait donner $200 de pourboire au gars avec sa carte
de crédit et je lui ai dit: Attends un peu, il me semble qu'il y a
deux zéro en trop.
[Rires]
Depuis lors, nous blaguons continuellement
que Kerry ne fait pas dans les zéros. [Rires] Du genre: Est-ce que
Quito
fait 100
milles ? 1000 milles ? Tu ne sais pas ? OK, pas grave, je peux gérer ça.
[Rires]
Une autre anecdote amusante s'est passée à
Nairobi au Kenya, où nous étions juste avant de filmer
le guépard. Nous avions envie d'une tasse de café. [A Kerry] Ça ne
t'ennuie pas que je raconte cette histoire?
KC: Non. C'est OK. [Rires]
BR: Nous avions besoin d'une tasse de
café. C'était dans le courant de l'après-midi, avant de nous rendre à
l'aéroport de Nairobi pour prendre l'avion. Je lui ai dit : Tu
sais, nous
devons aller là... Nous avons besoin de ceci et de ça. Nous aurons
probablement besoin de plus ou moins 3.000 Shillings kenyans.
Et Kerry [rires] revient à la voiture dans
un état de détresse profonde. Elle avait retiré 300.000 Shillings
kenyans de ce distributeur.
KC: Oui, du distributeur. [Rires]
BR: [Rires] C'est
quoi tous ces zéros?
KC: Je dois dire que les billets ont
commencé à jaillir [rires] et j'ai pensé que j'allais vider
la banque parce qu'ils continuaient à sortir... [rires] Je
ne pouvais pas le croire.
BR: Moi non plus, je ne pouvais pas
le croire.
[Les rires continuent] Mais ça n'avait aucune importance parce qu'un
Shilling kenyan, comme vous l'avez probablement compris, n'a pas de
grande valeur et nous avons réussi à les échanger.
Donc, je suis le gars qui gère les
zéros. Je veux dire que je suis le gars qui s'occupe des nombres, des
maths et de la physique et je pense que Brian... Ça fait probablement
rire Brian.
BO’L: C'est vrai pour nous également.
BR: Ça ne me surprend pas. Et c'est super. Ça fait partie de la
dynamique qui fait une bonne équipe. Parce que quand
Kerry a sa tête là-bas très haut, à des endroits que je ne peux même
pas percevoir, moi, j'ai les pieds plus proches de la terre.
KC: C'est vrai.
BR: Nous sommes, en quelque sorte, connectés comme par une corde
la
plupart du temps et ça permet de garder les choses en équilibre.
Voilà, ceci étant dit, je vais
vous transmettre des informations qui sont étonnantes. Elles ont
commencé à venir à nous, assez solidement et rapidement, très peu
de temps après l'interview de Kerry avec Bill
Hamilton, dont elle parlait précédemment, qui eut lieu en 2006.
Bill Hamilton, comme certains d'entre vous
le savent peut-être, est l'un de ceux qui, tout à son mérite, fut
responsable d'avoir attiré l'attention du public sur l'histoire de Dan
Burisch.
Voix: Eh bien!
BR: Avant ça, en 2002, j'étais, comme
vous, occupé à rassembler, tranquillement en privé, un maximum
d'informations sur tout ce que je pouvais – auparavant,
j'avais lu Above Top Secret de Timothy Good.
J'étais en train de le lire, en
1988, et je me disais : Supposons que tout cela soit vrai.
J'avais
par ailleurs déjà vécu
mes propres expériences E.T., comme probablement
beaucoup d'entre vous le savent.
Mais quand Bill Hamilton publia son
interview de Dan Burisch sur Internet en 2002, j'en fus profondément
marqué: C'est incroyable. Cet homme raconte une histoire
détaillée et complexe de futurs humains voyageant dans le temps,
pour tenter de résoudre des problèmes probables. Tout ça, en secret
dans les
coulisses. Et cet homme essaye de raconter cette histoire
invraisemblable.
J'ai visionné la vidéo filmée par Bill
Hamilton ainsi qu'une interview qu'il avait faite avec Dan Burisch en
2002, et j'en fus impressionné
au plus haut point.
Je lui ai envoyé un e-mail disant : Vous savez, vous devriez regarder ceci
(Serpo)
parce qu'il y a quelque chose de spécial qui se passe ici. Je
ne
pouvais
pas
le
sortir
de
ma
tête.
Et comme pour un certain nombre de ceux qui
lui ont
parlé par la suite et qui ont eu le privilège d'être comptés parmi ses
amis, je me
suis dit : J'aimerais aller droit vers ce gars
dans une conférence et simplement lui dire hello, mais cela n'arrivera
jamais. Ces gens sont trop différents de nous.
Bien sûr, depuis lors, les choses ont bougé
pas mal et nous sommes fiers de considérer Dan comme un ami personnel
et
nous
pourrions parler longuement de tout ce qu'il a partagé avec nous.
Quand nous l'avons interviewé...Ce qui
s'est passé en premier lieu, c'est que nous avons tous les deux
immédiatement
réalisé que ce gars, qui était dénigré partout sur Internet, était
gentil,
brillant, sensible, plein d'esprit, très
humble, et clairement en possession d'un profond réservoir de
connaissances concernant ses expériences, dont certaines furent pour
lui
très difficiles à intégrer.
Nous avons pigé très vite que son
témoignage était solide comme un roc. Nous avons été très, très
privilégiés, et ce, à un stade précoce, de publier une vidéo en trois
parties avec Dan Burisch. Je pense que c'était en août
... août 2006 ? Quelque part par là.
Son histoire, pour ceux qui ne la
connaissent pas... Nous allons l'explorer un peu plus en détails
par la suite, parce que c'est un des fils conducteurs, un des fils
principaux de toute cette tapisserie que nous nommons le "grand
dessein". Mais, de quoi s'agit-il en fait ? Qu'est-ce qui rend cette
époque spéciale ? Que se
passe-t-il ? Quelle est la connexion E.T. ? Pourquoi est-ce si
compliqué
et
si secret ?
Ceux d'entre vous qui étaient présents
hier,
se
souviendront qu'en fin de journée, nous étions
tous les quatre, assis à discuter de Bill Birnes et de sa conversation
avec l'Amiral George Hoover, du
Service des Renseignements de l'US Navy (ONI), avant la mort de
ce dernier.
George Hoover, que Bill Birnes décrit
comme "le Philip Corso de la Marine", avait affirmé qu'un des
plus grands secrets
était que
les visiteurs de Roswell en 1947, n'étaient pas de petits aliens aux
yeux d'insectes, venant d'une autre planète - mais "nous-mêmes" en
provenance du
futur : de futurs humains qui voyageaient dans le temps.
C'est là, le point de départ d'un réseau
complexe, d'un enchevêtrement de problèmes, avec
lesquels le gouvernement américain, ainsi que d'autres gouvernements,
luttent
depuis lors et qu'ils ont choisi, quelle qu'en soit la raison, de ne
pas
nous
divulguer parce qu'ils pensent que nous ne sommes pas prêts pour la
vérité.
KC: Il faut que je dise que la raison
d'être du "grand dessein", et donc de notre direction actuelle, pointe
manifestement vers 2012, et les quelques années dans
lesquelles nous nous trouvons, jusqu'à, selon notre compréhension
actuelle, 2017 ou plus.
Nous sommes conscients que le "grand
dessein" pointe quelque part, et que les aliens sont
venus ici avec une mission.
Ils étaient ici sur Terre, pour éviter une
catastrophe - une catastrophe qui s'était produite dans
leur
passé, avec pour résultat, selon Dan Burisch, la scission
de la race humaine en diverses factions. Ces factions auraient alors
décampé,
certaines en sous-sol, certaines à destination d'autres planètes.
[A Bill] Tu continues ?
BR: Ouais. L'essence de l'info de Dan Burisch est que, comme
Kerry vient de le dire, différents groupes de futurs
humains, de
différentes lignées futures, auraient subi une catastrophe dans leur
histoire. Un de ces groupes, dit Dan, probablement
incité par des intentions altruistes, provenait de 52.000 années dans
le
futur - ce qu'il appelle en
sténo P52Ks : P52s se référant à "Présent plus 52.000
années".
Certains d'entre eux faisaient partie du
groupe initiateur de la tentative d'intervention rétrospective
dans le temps. Ces derniers semblables à des humains, étaient
très évolués
spirituellement. Leurs intentions vis-à-vis de nous étaient bonnes mais
ils restaient très
prudents dans leur approche. Dan considérait qu'ils étaient, selon ses
informations qui sont, avoue-t-il, limitées, des Nordiques.
Cependant, il pourrait y avoir de
nombreuses races Nordiques,
et tout ceci, est d'une complexité extrême. Par la
suite, des témoins, tels que Clifford Stone et d'autres, nous ont dit
qu'il existe de
très, très nombreuses races différentes. Je pense que George, hier, l'a
mentionné également. Tout ça est incroyablement
compliqué.
Donc, Dan
Burisch a rapporté une expérience vécue de première main : en tant que
microbiologiste dans le département S-4 de la Zone 51, il a eu des
rencontres
personnelles avec un de ces êtres - pas un Nordique,
mais l'un de ceux dont le génome était dégénéré.
Que le génome dégénère ou pas dans une
probabilité future, dépendait du fait d'avoir fuit en sous-sol
pour éviter la catastrophe, ou d'avoir quitté la planète.
Ceux qui avaient quitté la planète
directement
s'en sont bien sortis. Ceux qui restèrent en sous-sol un certain temps,
beaucoup moins. C'est assez intéressant.
Ce qu'on peut remarquer... on peut observer
ce que j'appelerais un vecteur... Il semble qu'un scénario semblable
soit en train de se passer. Il semble que les Pouvoirs en Place aient
l'instinct de creuser sous terre dès qu'ils perçoivent un danger.
D'après le témoignage des futurs humains,
ce n'est peut-être pas très malin. Nous avons le témoignage
vraiment intéressant à ce sujet d'un de nos plus récents témoins que
nous appelons “Jake
Simpson”. Nous en parlerons plus tard cet
après-midi.
Nous allons terminer dans une ou deux
minutes... l'information venant de Dan Burisch était tellement
fantastique
qu'elle nous a laissé cette question conflictuelle : Serait-ce
réellement
vrai ?
Et pourtant ce gars était absolument
sérieux. Nous avons passé pas mal de temps avec lui, devant la caméra
et
hors champ. Nous avions tendance à croire ses informations même si
elles paraissaient impossibles à croire. Nous percevions également que
ce gars
était absolument digne de foi en termes de sincérité.
Un peu plus tard, quelques
semaines
après, nous avons rencontré un autre gars, qui eut une influence
centrale sur la direction de Camelot. Nous l'appelions "Henry
Deacon", d'après le brillant polymathe de la série TV, Eurêka.
Henry Deacon est ingénieur en
électronique, hautement qualifié, multidisciplinaire, un homme
brillant, très spirituel, très angoissé. Les
expériences que ces gens traversent sont très difficiles à vivre - que
vous soyez un initié des
"Black Ops" comme Henry, ou
Dan côtoyant un alien
dans la Zone 51, ou encore George face aux
banquiers, ou même vous, Brian, avec les expériences que vous avez
vécues.
Il est difficile d'émerger de tout ça sans
cicatrice et sans ressasser ses pensées tard dans la nuit. Nous devons
comprendre
ces gars, avec la compassion dont ils ont besoin pour comprendre leurs
expériences. Nous mortels, ne sommes pas nécessairement bien équipés
pour comprendre ce par quoi ils sont passés.
Henry a eu le courage de nous parler
- dans une Pizza Hut bruyante, après avoir pris soin d'enlever les
piles de son
GSM. Nous savons depuis lors que c'est une chose
intelligente à faire.
Il savait un tas de choses du même ordre
que Dan. Il
a parlé de voyage dans le temps, d'une catastrophe potentielle, de
ce qu'il en savait. Nous nous sommes exclamés : Ça ressemble à
l'histoire
de
Dan Burisch, mais il n'avait jamais entendu parler de Dan Burisch.
Nous parlerons d'Henry après le lunch. Il y
a beaucoup à dire. Il s'est rendu sur Mars, la base sur Mars. Nous en
parlerons.
Nous lui avons demandé : S'il te
plait, écoute ou regarde la vidéo de Dan, et fais-nous savoir ce que tu
en penses.
Trois semaines plus tard, il nous a rappelé
: Ce que Dan Burisch raconte est véridique, probabilités
temporelles
et Cie.
OK ?
Pour nous, c'était une corroboration
indépendante, de l'existence d'un secret très
important : qu'il existe un enchevêtrement complexe
de futurs possibles ; que les Pouvoirs en Place essayent
d'obtenir des
informations sur ces futurs alternatifs et qu'ils essayent de les
manipuler.
Il y a la présence de factions du genre
pousses-toi que
je m'y mette. Quelques-unes essayent de nous diriger droit vers
l'épave. D'autres de
l'éviter.
Il y a la présence d'un tas d'E.T., en
standby, certains pour aider, certains pour observer,
d'autres pour tirer avantage de la
situation en raflant les ressources à la fin.
Henry nous à raconté beaucoup de choses à
ce
sujet, nous continuerons après le lunch. [A Kerry] Ça me
paraît conclure la matinée. Qu'en penses-tu?
KC: OK. Ouais. Absolument. Je voulais
juste dire que, selon Dan Burisch, la catastrophe a pu être évitée. Il
existe un dispositif appelé le "Looking Glass" (Miroir) dont
nous
allons parler.
Nous avons eu d'autres entrevues avec lui,
d'autres réunions privées avec lui et Marci
McDowell, qui est un peu son faire-valoir, son assistante. C'est une
agent connue de MJ12 - qui ne s'appelle plus MJ12,
malgré qu'il n'y ait aucun doute que
l'organisation existe. Dan travaillait également pour
MJ12. C'est important à noter.
L'histoire est complexe. Des éléments
de
désinformation s'y sont certainement glissés. Savoir où ceux-ci se trouvent est
une autre affaire et, comme je l'ai dit, il s'agit
d'un
grand puzzle. Ce qui est important, c'est l'avertissement de la
catastrophe potentielle - telle qu'elle fut
visionnée
dans le "Looking
Glass" - et de comprendre que certains éléments semblent s'être
atténués
depuis lors.
[PAUSE LUNCH – PAUSE VIDÉO]
BR: Avant la
pause, nous sommes tombés à court de bande caméra, juste
avant que je n'aboutisse à la conclusion. Je vais donc me répéter car
c'est une source de réflexion importante.
Pour récapituler, nous parlions de
la
complexité des trames temporelles futures, alternatives, incertaines,
non prédéterminée, potentielles, et des inquiétudes humaines à ce
sujet ; des préoccupations gouvernementales et militaires en ce sens,
depuis qu'ils ont pris conscience des problèmes potentiels,
probablement
depuis la seconde guerre mondiale, nous a-t-on dit.
Pour illustrer ce point, j'ai mentionné que
notre plus récent témoin, Jake Simpson (sur notre site
depuis 48 heures) nous a fait part de tant de choses,
que constamment, nous nous rappelons d'informations que nous n'avons
pas
inclus dans notre rapport.
Par exemple, cette petite remarque : Un
satellite
de
la
NASA
vient
d'être
récemment lancé avec
un équipement d'un billion de dollars.
C'est beaucoup d'argent pour un satellite.
Demandez à quelqu'un de Wall Street. Même Kerry sait que c'est beaucoup
de zéros. [A Kerry] C'était pour la caméra, je plaisante...
[Rires]
Ce gars sait ce que représente un billion
de dollars. Il n'a pas lancé cette remarque en l'air. Un billion est
un billion; un million est un million. Ici, c'est d'un billion dont il
s'agit.
Les Pouvoirs en Place ne
mettent pas un billion de dollars dans l'espace pour l'anéantir en
réentrant dans l'atmosphère, s'ils sont certains de ce qui va arriver.
Vous dépensez un billion de dollars sur un équipement là-haut, si vous ignorez ce qui
va se
produire.
Et s'ils ne savent pas ce qui va se passer,
nous ne le savons pas non plus. Cela signifie que le
jeu est
incertain, non prédéterminé, et donc, sensible à notre influence, si
nous le voulons.
Toute personne, qui possède une notion de
base du
principe d'incertitude quantique, sait que la conscience est reine et
que c'est là, que le monde réel de la physique rencontre le monde de
l'ésotérique.
Je pense que Brian serait l'un des premiers
dans cette salle à convenir qu'on ne peut pas, si on est
intellectuellement honnête, s'embarquer dans cette exploration,
ces recherches et ces découvertes - même comme physicien - sans aboutir
aux mondes spirituels. Il n'y a pas
d'échappatoire à cela. Tu es d'accord, Brian?
BO’L: C'est certainement correct.
BR: Oui.
BO’L: Peut-être devrais-tu tenir le
micro un peu plus haut. Voyons. C'est mieux?
[BR, B’OL, KC: discussion sur la façon de
tenir le
microphone / rires de l'audience]
BR: C'est un doctorat de
Princeton
Ph.D. qu'il faudrait pour pouvoir arranger ça. [Rires] Voici
l'essentiel
dont
nous allons parler cet après-midi : que peut-il arriver?
Nous n'avons pas d'information définitive
de la part d'insiders qui
soient de même nature que celles de George
Green.
Personne, de ce monde ou d'ailleurs, personne n'est venu nous prédire: Vous
savez
quoi?
La
Troisième
Guerre
va
commencer
le
1er avril.
Personne ne nous a dit non plus que la
Troisième
Guerre ne va pas commencer le
1er avril. C'est librement que nous allons discuter du fait que les
choses
semblent réellement changer ; que le futur ne semble pas connu ; que la
lutte sans merci des "pousses-toi que je m'y mette" entre les
différentes
influences de la planète ou hors planète, rend ce jeu
incertain,
intéressant, et influençable.
KC: Nous allons
continuer à approfondir les différents témoignages que nous avons
reçus. Notre force
réside dans le fait que nous avons des témoignages de
dénonciateurs, de chercheurs et même des informations reçues
par médiums. Et comme nous mettons toutes les informations,
ensemble, au même endroit, tout
cela s'additionne ! Tout comme deux plus deux font cinq. C'est là que
se
trouve la force de Camelot et c'est ce que nous faisons ici,
pour vous aujourd'hui.
A ce titre, je voudrais vous dire,
qu'il y a environ un an, nous nous trouvions en réunion avec Dan et
Marci à
Las
Vegas. Était également présent, et je ne vais pas
le nommer, un producteur de télévision, dont l'objectif était de mettre
Projet
Camelot à l'écran pour un show télévisé. Il y travaillait depuis
une année.
Nous avions au départ un accord avec History
Channel. Mais ils en ont décidé autrement depuis en haut. Une
semaine
plus
tard, on
nous a fait savoir, que juste quand ils s'apprêtaient à signer pour
une émission pilote de deux heures, ils ont finalement refusé, sous
prétexte que nous serions une menace pour leur émission, UFO
Hunters
(Chasseurs
d'Ovnis), comme s'ils n'avaient pas pu y penser
avant de nous soumettre la proposition.
Donc, rien ne s'est passé par rapport à ça.
Dan,
Marci, le producteur et nous-mêmes, nous nous étions réunis en privé.
Dan
revenait
alors d'une période de travail intensive avec Majestic - ou quel que
soit son
nom actuel - et avec le "Looking Glass". Ce qui est intéressant, c'est
que tous les paris étaient ouverts, tout pouvait changer. C'était il y
a plus d'un an.
Leur technologie (a)temporelle capable de
vision future - un dispositif de rétro-conception aliène - leur
permettait de voir les probabilités qui se produiraient. Nous avions
obtenu tout un rapport du déroulement éventuel
d'évènements potentiels. Dan nous en faisait part.
Une probabilité montrait Hillary
Clinton à la présidence, assassinée dans l'exercice de
ses fonctions. Comme vous
le savez, ce n'est pas arrivé. Cette probabilité temporelle ne
s'est pas jouée dans la réalité.
D'autres évènements, annoncés dans le
"Looking Glass", ne se sont pas présentés non plus.
[Faisant signe à Bill Ryan] Tu veux ajouter quelque chose ?
C'était une réunion essentielle. Et il est
très important que vous en ayez connaissance, parce que ce qu'on a ici,
c'est des
scientifiques et des projets secrets - des gens qui sont en position de
pouvoir sur la
planète,
qui utilisent une technologie spéciale pour voir dans le futur. Et
leurs suppositions se révèlent fausses. OK ?
Cela signifie qu'il y a autre chose en jeu
sur la planète, dont nous faisons partie, qui fait que les choses se
déroulent d'une
manière différente.
Voix: Youppie ! [Applaudissements]
BR: Laissez-moi approfondir un peu
plus ce
que Kerry a dit, juste pour résumer. Elle a raison d'insister sur le
fait que c'est très important.
Pour comprendre la manière
dont les Pouvoirs en Place ont utilisé le pouvoir qu'ils ont obtenu,
probablement depuis 1947...
Nous avons appris de certaines sources,
qu'ils ont récupéré du crash de Roswell
une sorte de... euh... Même Henry Deacon n'arrivait pas à l'énoncer.
C'était comme... euh... C'était un gadget
très ingénieux, hautement avancé, en connexion à leur capacité de
naviguer
le Temps, de contrôler et de connaître leur position dans le Temps.
Et qui s'utilise pour voir ce qui va se passer ou ce qui s'est
passé.
C'est comme une sorte de, euh... j'emploie
mes propres mots... une sorte d'interface interdimensionnelle entre le
lieu où l'on se trouve, le temps où l'on se trouve, et l'ensemble du
flux
Temporel
qui permet de contrôler et de percevoir. Quelque chose comme ça.
Évidemment, imaginez ce qui s'est passé en
1947, lorsque ce gadget fut récupéré par une bande de physiciens
intéressés de l'Air Force. Ils ont commencé à jouer avec.
Si vous donner un jouet dangereux à un être
humain... je ne veux offenser personne, mais je suppose que ça fait
partie de la condition humaine, il va commencer à jouer avec et à
causer
des dégâts, comme un enfant.
Ce qui semble s'être passé, pour autant que
nous
puissions en conclure, c'est qu'ils provoquèrent un enchevêtrement
majeur des trames temporelles.
Même si de futurs humains tentèrent de
revenir pour éviter cette catastrophe, ce qu'ils n'avaient pas
planifié, et qui n'a fait qu'empirer l'enchevêtrement temporel,
c'est que leur tentative d'intervention a immédiatement mal tourné,
puisque le vaisseau s'est écrasé à cause du nouveau radar de grande
puissance qu'ils avaient, je
pense, à White Sands,... les disques ont commencé à
s'écraser : ils ne pouvaient pas interfacer avec le radar.
Le problème des trames temporelles ne fit
que se compliquer encore plus du fait que le gouvernement avait obtenu
la
capacité de voir ce qui adviendrait dans le futur, d'observer les
possibilités, les
probabilités qui pourraient arriver. L'enchevêtrement existant ne fit
qu'empirer.
Il est extrêmement difficile d'exposer tout
ceci de façon explicite, mais vous en avez probablement une
idée maintenant. C'est l'un des secrets non dévoilés.
La référence au projet qui eut lieu dans
la deuxième moitié de 2007... Dan avait pris un congé sabbatique de six
mois. Je veux dire par
là qu'il était hors communication, injoignable. Nous ne savions
pas où il était.
Le 10 décembre, nous l'avons rencontré à
Las Vegas. Le fait que l'autre gars était producteur de TV était
secondaire. Il était juste là par hasard, c'était un ami, assis là,
bouche ouverte pendant cinq heures, écoutant Dan nous informer de ce
qui transparaissait.
Le but du projet qui eut lieu en 2007
était... Ce qui fut communiqué au gouvernent américain par les futurs
humains était que les portails spatio-temporels construits par l'homme
et la
technologie "Looking Glass", qui est du même ordre, impliquent...
Un portail spatio-temporel est une "stargate",
comme tout téléspectateur le sait. C'est quelque chose au travers
de quoi on passe pour se retrouver dans un lieu ou dans un temps
différent.
Cela permet de voyager. Nous en reparlerons un peu plus tard parce que
cette technologie existe.
Un "Looking Glass" est le nom
familier du même dispositif, mais on l'utilise alors simplement
pour voir, pour observer ce qui se trouve de l'autre
côté. Pas
besoin de voyager, vous jetez simplement un coup d'œil.
C'est la version high-tech de la boule de
cristal, dans laquelle on regarde ce qui se passe. Sauf que
ce n'est pas si simple, car ce qu'on y voit, et les
infos qu'on en extrait, sont des ébauches de probabilités et de
possibilités. Les détails de ce processus, ne nous sont pas connus.
Laissez-moi revenir en arrière parce que
c'est complexe.
Les futurs humains ont averti le
gouvernement américain de la catastrophe qui s'est déroulée dans
leur
histoire. Et c'est là, l'interface avec toute la mythologie 2012
et les inquiétudes et préoccupations croissantes de ces dernières
années. Il semble en effet qu'une catastrophe se soit produite dans
cette
ligne de temps-ci. Selon Dan: "Aux alentours de cette période".
OK
?
Il n'a pas donné de date. Nous ne savons
pas si elle va se déclencher demain matin, en 2012, en 2020,
ou bien, si elle n'existe tout simplement pas sur cette ligne de
temps-ci.
Donc, quelque chose s'est produit "aux
alentours de maintenant" dans l'histoire des futurs humains. Il semble,
selon leurs analyses, que la raison en est que la Terre
traverse une zone d'énergie spatialeparticulière.
De mémoire, je crois qu'il a dit que cette
zone d'énergie spatiale comprend des micro-trous de ver (micro-vortex
multidimensionnels). Les portails spatio-temporels, de construction
humaine, et les "Looking Glass" n'auraient
fait qu'amplifier l'énergie de cette région spatiale, et c'est ça qui aurait fait trembler
la
Terre. D'où, un basculement des pôles.
Tout ça est précieux à savoir.
KC: Tu devrais...
[Bill et Kerry se bagarrent pour le micro!] [rires de l'audience]
BR: Ceci est extrêmement important.
Attends trente secondes.
KC: J'aimerais que tu leur expliques
la différence entre basculement magnétique et basculement des
pôles. Explique !
BR: Ouais. Attends. [Rires] Une
référence à la laisse...
L'essentiel à comprendre, d'après
les conseils des futurs humains, est le suivant: Pour
éviter que ça n'arrive, vous devez démanteler ces dispositifs, les
désactiver.
Tout ce que vous avez à faire, c'est de
les débrancher, de les éteindre, et pour être vraiment sûr, de les
diviser en trois en les conservant dans des organisations militaires à
différents endroits du globe.
OK. Apparemment, ce fut fait. Ils ont fait
le nécessaire, ils ont "décommissioné" les appareils. Et par la suite,
ce
qui a provoqué un retour à ce projet fin 2007, est le raisonnement
suivant : Et
maintenant ? Est-ce que ça a bien marché ? On ne sait pas.
Nous devrions aller jeter un coup d'œil... [Rires]
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Ce qu'ils trouvèrent, grâce à une autre forme de technologie capable
d'appréhender le futur qu'ils avaient en leur possession, c'est ce
qu'ils évaluent comme la ligne de temps
la plus probable : la Ligne de Temps 1, Variante 83. Très
intéressant !
KC: OK, mais tu ne leur as pas dit...
je ne suis pas bonne en physique, c'est pourquoi j'aurais voulu
que tu leur expliques...
BR: OK.
KC: ... Ce qui se passe, c'est qu'il
y a différents niveaux de catastrophe. Un basculement des pôles ou un
basculement du pôle magnétique, auraient des répercussions entièrement
différentes
pour la planète. Et sur le nombre d'êtres humains éliminés dans le
processus.
BR: OK. Ouais, exact. [Rires] Mes
excuses. Ça m'arrive tout le temps d'ailleurs, quand je suis
hors-champ. Parce qu'il ne s'agit pas d'une histoire linéaire, comme
par exemple un
récit de vacances: OK, voici ce qui s'est passé pendant mes
vacances. Le premier jour. Le deuxième. Etc.
Ce genre d'information mène partout, va
dans
tous les sens. Elle
n'est pas linéaire car tout est en connexion à tout le reste. C'est le
même problème qu'a rencontré George Green en nous racontant son
histoire hier. Il ne s'agit pas d'une ligne droite.
OK. Retenons ceci, car nous y reviendrons
dans un moment. Ce à quoi Kerry fait référence, c'est la différence
entre un basculement des pôles physiques et une inversion des pôles
magnétiques. Ce sont deux choses complètement différentes.
J'illustrerai cette différence en me
référant au témoignage de quelqu'un, qui est en position de savoir.
Nous
ne l'avons jamais rendu public.
Nous en avons parlé, mais pas
sur le site, parce que nous n'avions pas assez d'infos pour présenter
un
document conséquent. Mais c'est une autre pièce du puzzle qui
s'assemble au reste.
Vous vous souvenez de ce que j'ai dit avant
le lunch ? Que les e-mails les plus intéressants sont ceux d'une seule
ligne. Nous avons reçu l'e-mail suivant : Super
site.
J'adore votre travail. Continuez comme ça !, signé de son nom.
Et j'ai pensé ceci : Attends un peu.
Je
connais ce nom. C'était un nom très courant. Pas
un nom compliqué qui aurait permis de reconnaître une personne en
particulier. Il
y a probablement plusieurs personnes qui s'appellent Brian
O’Leary, par exemple. Ce n'est pas peu courant.
Et si cette personne était bien Brian
O’Leary ? - ce
n'était pas Brian, c'est juste un exemple. Ma question était
donc celle-ci : Êtes-vous
bien tel Brian
O’Leary? Êtes-vous la personne que je pense que vous êtes?
Il a répondu : Oui. C'est moi.
N'importe
qui aurait pu écrire ces mots, mais nous avons pu vérifié son adresse
e-mail, son adresse IP etc., et il s'agissait bien de notre homme.
Ce gars est un scientifique brillant, dont
la moitié d'entre vous reconnaîtrait le nom. C'est probablement
quelqu'un que
Brian connaît également et nous le lui révélerons en
privé.
Nous pensons qu'il vaut mieux ne pas
divulguer publiquement qui il est, parce que ce n'est pas ce qu'il
essayait de
faire. Il voulait juste dire : Hello, j'aime bien votre site.
Il est sur Internet, et j'y prête attention depuis.
Par impulsion, je lui ai dit: Vous
savez probablement quelque chose qui pourrait être dans le meilleur
intérêt de Camelot et de ses visiteurs. Y a-t-il quelque chose
qui risque de se passer dans les prochaines années que vous voudriez
nous
faire savoir?
Oui, a-t-il dit : Ce que je
peux dire est limité... je n'aime pas être porteur de mauvaises
nouvelles, mais nous allons traverser des temps très difficiles.
C'est assez significatif parce qu'il
n'essayait pas de nous refiler de la désinformation. C'était simplement
quelqu'un qui faisait savoir qu'il appréciait notre site. Nous
aurions pu facilement ne pas saisir l'occasion. Mais il s'est fait que
j'ai remarqué son nom et que j'ai réalisé qu'il s'agissait bien de
l'homme
en question.
Il a dit ceci: J'ai horreur d'être
porteur de mauvaises nouvelles. Mais il y a trois choses qui vont
arriver dans les prochaines années.
La première sera une éjection de masse
coronale. Il a d'ailleurs fait référence à l'évènement de 1859 - voilà
quelques
recherches à faire pour vous, allez voir ! C'est assez intéressant.
De fortes tempêtes solaires partout dans le
monde. Si un réseau électromagnétique avait existé en 1859, il aurait
été gommé. OK ? Mais il n'existait pas. Il y eut des phénomènes
auroraux
exceptionnels car l'arc auroral s'étendit jusqu'à l'équateur, les
couchers de soleil
furent spectaculaires pendant deux ou trois jours, et tout le monde
s'exclamait : Regardez
les
couleurs
dans
le
ciel !
C'est
incroyable !
Les éjections de masse coronale
sont liées aux éruptions solaires qui interagissent avec la
magnétosphère terrestre, des particules ionisées se heurtent à
l'atmosphère et toutes sortes de phénomènes se passent là-haut. Si ça
arrivait de nos jours,
ce serait une catastrophe. Il n'a pas expliqué
comment il le savait.
C'est intéressant pour les physiciens
parmi vous, parce que vous savez que le soleil éjecte de façon
aléatoire
toutes sortes de choses en directions imprévisibles. C'est un peu
comme un
cowboy muni d'un revolver, qui tournoierait sauvagement sur lui-même en
tirant au hasard autour de lui.
Si la Terre est dans le chemin, c'est
mal barré ! Mais elle ne le sera probablement pas. Lui pense
que oui. Nous ne savons pas comment il a obtenu cette information. OK ?
Ça c'est l'évènement numéro un. Qui d'après
lui, débuterait en 2009. OK, nous y sommes, nous sommes le 11 janvier
- à propos, c'est l'anniversaire de Boriska. J'ai oublié de le
mentionner.
Voix: Qui donc?
BR: Boriska.
KC: Nous verrons ça plus tard.
BR: Boriska Kipriyanovich, l'enfant
indigo. OK.
Il y aurait ensuite une inversion des pôles
magnétiques, qui serait déjà en cours. Il l'a affirmé de telle façon
qu'il était important pour nous de
comprendre pourquoi.
Par la suite - juste une petite annotation
- Henry Deacon, notre physicien, insider
des Black Ops, nous a fait
comprendre que
pour autant qu'il en ait lui-même conscience, les
variations du champ magnétique terrestre affecteraient la
conscience.
Nous sommes des êtres électriques. Nous
sommes des âmes dans des corps électriques qui dépendent de l'activité
neurologique bio-électrique du cerveau et du corps pour bien
fonctionner.
Si quelque chose d'aussi essentiel que le
champ magnétique terrestre commence à se comporter étrangement, les
êtres humains vont se comporter de façon étrange également,
ainsi que les dauphins, les baleines, et toutes les espèces d'animaux
du globe.
Henry a dit ceci: Avez-vous remarqué
l'accroissement des conflits ces 10, 15 dernières années? La plupart
des gens se comprennent mal les uns les autres. De plus en plus de gens
deviennent
fous. De plus en plus de gens semblent se comporter de façon
irrationnelle, bizarre, sans connexion avec les autres.
Il prétend que tout ça est en rapport avec
les
changements du champ magnétique terrestre. Et, ce fut
un véritable déclic pour moi : OK, maintenant je comprends.
Mais une inversion magnétique terrestre...
ne va pas nécessairement tout gâcher. Elle est déjà
en cours, si je comprends bien. Et Brian pourra probablement nous aider
à
mieux comprendre demain.
Le troisième évènement, selon notre source,
est "L'évènement" majeur. Troisièmement, et finalement, il y aurait un
basculement des pôles.
Voix: Un basculement des pôles?
BR: Oui. Un basculement physique
des pôles. Quand la Terre se positionne ainsi
[sa main indique une position droite] et s'incline, boum, comme ça
[pivote sa main]. Elle s'incline exagérément.
Tout géologue vous dira que cela s'est
déjà produit de nombreuses fois. La plupart d'entre vous en ont
conscience.
C'est une variation physique de l'inclinaison de l'axe de rotation
de la Terre.
KC: ... Qui provoque des
tsunamis, des déplacements continentaux, des engloutissements.
L'Atlantide, par
exemple - basculement des pôles. Et ce qui le provoque, je ne suis pas
sûre qu'ils le sachent.
Ce qui est intéressant c'est qu'il s'agit
d'un scientifique hautement respecté. OK ? A qui on a
soudainement
demandé - ils nous en a dit autant - de travailler pour le département
de la Sécurité intérieure (Homeland
Security) !
Voix: Oh.
KC: C'est un homme qui s'affiche sur
le web, qui se positionne clairement comme anti-gouvernement, une sorte
de
rebelle à sa façon, mais qui a réussi à maintenir sa
respectabilité parce qu'il est un scientifique de haut niveau.
Sa réponse à notre e-mail et ses révélations sont donc de valeur
certaine.
Ce qu'il nous a transmis, c'est cette
liste d'évènements qui selon lui, vont avoir lieu, le fait qu'il
travaille pour la Homeland Security, et qu'il ne pouvait en dire plus.
C'est la dernière fois, je crois... Nous lui avons bien sûr répondu,
mais nous n'avons plus rien entendu de lui.
Tout ceci se passe en même temps que
les informations de la part de Dan Burisch et d'Henry Deacon nous
parviennent. En reliant
les points, ces gens, de directions complètement
différentes, avec des motivations complètement différentes, viennent
essentiellement
nous dire la même chose.
BR: Juste.
KC: Dis leur ce que Dan nous a
raconté.
BR: Notre source s'est
excusée de ne pouvoir en dire plus. Nous étions les
premiers, avec qui il communiquait, en dehors de la communauté de
sécurité nationale, depuis quelques années. Nous l'avons perçu comme un
compliment. C'était un risque qu'il prenait de lui-même. Il nous en a
dit autant qu'il pouvait.
Pour en revenir à Dan. Ce gars communiquait
avec nous de mémoire, c'était au milieu de son projet, mi-2007.
Les informateurs qui viennent à
nous, ne sont pas toujours munis des toutes dernières
informations. Ils ont leur téléphone arabe, leur machine
à rumeurs. Leurs informations ne proviennent pas
directement du briefing matinal.
OK ? Ce n'est donc pas nécessairement les toutes dernières nouvelles.
Pour en revenir à Dan
et aux portails spatio-temporels de construction humaine et aux
"Looking Glass". Ils furent donc désactivés pour éviter qu'ils ne
provoquent la catastrophe. A la suite de quoi, ils se dirent : Mais
attendez
un
peu,
nous
devons
vérifier si oui ou non
ça a marché et hop, ils jetèrent à nouveau un coup d'œil dans le
futur grâce à des dispositifs extraterrestres.
Ce qu'ils y observèrent, c'est que la ligne
temporelle la plus probable était la suivante... En termes de
désignation, la ligne temporelle, ou l'avenir alternatif catastrophique
que les futurs humains
reportèrent avoir vécu, est la Ligne Temporelle (Timeline 2). Je ne
sais pas pourquoi on
ne l'a pas appelée
Ligne Temporelle 1 (Timeline 1),
mais
elle
fut
nommée Ligne Temporelle
2. OK ?
La Ligne Temporelle 1 est celle où la
catastrophe ne se produit pas. OK ? Se situer sur la Ligne
Temporelle 1 ou
sur la Ligne Temporelle 2 est une distinction aussi fondamentale
que
de savoir si vous vous dirigez
vers le nord ou le sud.
La première chose qu'a établie
le Time Portal Intelligence Probe
(enquête du service des
renseignements concernant les Portails Temporels), je pense que Dan
l'a appelé
ainsi, c'est que nous sommes sur la Ligne
Temporelle 1. C'est une
bonne nouvelle. OK ? La catastrophe signalée a été évitée. Nous sommes
sur la Ligne Temporelle 1.
Et donc, ayant réalisé que la catastrophe
ne se produirait pas, tout scientifique curieux se poserait la question
suivante : Bien, OK. Que va-t-il se passer alors ? Et c'est
là qu'apparaît la Variante 83, car ils ont commencé à
explorer
les détails du déroulement hypothétique des années à venir.
KC: La plupart de ces informations se
trouvent sur notre
site. Il n'est pas nécessaire de prendre des notes. De plus, nous
enregistrons cette présentation pour la publier par la suite.
Notre réaction à cette nouvelle, c'était en
plein milieu d'une entrevue avec Dan, était : OK. C'est
fantastique. Ce à quoi Dan nous a
immédiatement répondu : Mais tout se paie ! Et il nous a
expliqué ce
qu'il voulait dire par là.
A la base, la Ligne Temporelle 1, Variante
83, comporte
une suite d'évènements tels qu'une guerre nucléaire et d'autres
pronostics assez
terribles, parmi lesquels, comme je l'ai dit, Hillary était élue à la
présidence et allait mourir en fonction. Dan faisait preuve de
respect
pour elle.
Mais il faut que j'étaye mon propos, car il
y a autre
chose dont vous devez avoir connaissance, c'est le Yellow Book
(Livre Jaune) ; une technologie qui permet aux dirigeants de ce
monde de voir leur propre futur et de modifier leur vie en
conséquence afin d'obtenir la meilleure version de ce futur. C'est en
partie pourquoi leur vie reste couronnée de succès. En réalité,
ils trichent.
En ce qui concerne Hillary, ce que Dan nous
a
dit, c'est qu'elle avait accès à cette technologie. Elle avait vu dans
son futur, par le Yellow Book,
qu'elle
serait
assassinée
dans
l'office
de
ses fonctions. D'après Dan - car c'est son récit - elle était
disposée
à devenir Président, tout en sachant qu'elle serait assassinée. C'est
pourquoi il la respectait. C'était il y a un an environ.
BR: Mais nous sommes aujourd'hui le
11 janvier
(2009) et la prestation de serment d'Obama a lieu dans 9 jours. On
peut donc conclure, qu'où que nous soyons en ce moment, nous ne sommes
pas sur la
Variante 83. Ça ne c'est pas manifesté et c'est une bonne nouvelle. OK
?
Et il
y en a d'autres.
C'est d'autant mieux, que cet ensemble
d'informations qu'est la Variante 83, qui fut évaluée comme le futur
alternatif le plus plausible... contenait de mauvaises
nouvelles, dont une guerre contre l'Iran, prévue pour octobre 2008. Ça
ne s'est pas produit.
La Variante 83 pronostiquait un échange
nucléaire entre
l'Inde et le Pakistan. Cela reste à voir.
Il y aurait également eu dans ce futur
alternatif un krach financier déclenché par la guerre en
Iran. L'effondrement
financier est probablement planifié et déclenché de toute façon. C'est
une sorte de démolition contrôlée de l'économie, mise en place bien
avant que la plupart d'entre vous n'en ait conscience. George en a
beaucoup parlé hier.
Dan disait que la guerre qui avait été
observée dans le "Looking Glass",
aurait duré jusqu'en 2010, la Russie et la Chine seraient
impliquées. Rien que des mauvaises nouvelles... Par rapport à cette
probabilité,
Vilcabamba semble être un bon endroit, et nous rejoignons les propos de
George.
Mais ! Hillary n'est pas
Président. La guerre en Iran ne s'est pas déclenchée en octobre. Nous
ne sommes
pas sur cette ligne temporelle ! Si nous ne sommes pas sur cette ligne
temporelle, cela
signifie que nous ne savons pas ce qui se passe ensuite. Nous n'en
savons rien, c'est l'inconnu. Nous ne connaissons personne qui le sache.
Si j'aimais parier, j'aurais placé beaucoup
d'argent, en noir, sur... Mais c'est contraire à la
morale...
Nous avions tant d'informations
parallèles, tant de données qui se recoupaient, toutes pointant vers
octobre dernier. Rien ne
s'est
passé mais nous étions tous là, à surveiller de près la situation.
Ce dont nous avons parlé
publiquement, c'est que notre gars, Henry Deacon... fin septembre, nous
a
dit avoir reçu un appel téléphonique. Jamais il n'avait reçu un
tel appel de sa vie. On lui avait demandé de se présenter au travail au
Moyen Orient le lendemain matin.
C'était presque un ordre, excepté qu'ils
n'étaient pas en position de lui donner des ordres. Mais c'était
demandé d'une façon
qu'il ne pouvait pratiquement pas refuser.
Le taux de rémunération était de $800
l'heure, sans heures supplémentaires. Une belle somme
d'argent ! Même dans ce milieu, c'est beaucoup d'argent. Il a refusé,
tout à son honneur, en disant : Je ne veux rien avoir à faire avec
ça.
Il n'a jamais su pourquoi on avait voulu le recruter au
Moyen
Orient.
Pourquoi ? Nous n'en avons aucune idée.
Rien ne
s'est passé au Moyen Orient, excepté ce qui semble être une
escalade. Que le feu s'éteigne de lui-même, ou qu'il prenne
plus de force, nous n'en savons rien.
KC: OK. Nous avons le témoignage
d'un dénonciateur, qui n'est pas publié dans son entièreté. Ce témoin,
prétendument en étroite
communication avec les Illuminati, affirme que leur agenda se déroule
comme prévu. Il allait en sous-sol
et ne pourrait plus communiquer. Notre communication avec cet
homme avait duré plus d'un an.
Je dois également vous dire qu'il parlait
d'un agenda désespéré, monstrueux, incluant la réduction de la
population comme George
le disait...
L'exposé de George hier
abonde dans le même sens, en affirmant que tout allait certainement,
peut-être avec
retard, mais que tout allait bientôt se déclencher.
En plus de ça, d'autres insiders sont
venus
nous dire que tout se déroule comme prévu.
Un ami proche
d'Alex Collier, avec qui nous communiquons depuis près de deux ans,
nous a fait part d'informations qu'il obtenait de sources intérieures
de la NSA, qui l'avaient poussé à construire une base souterraine dans
un lieu non
divulgué.
Il nous a raconté que la Reine d'Angleterre
fait en ce moment construire une base souterraine au Colorado.
BR: [sotto voce à
Kerry]
KC: C'est un homme très riche.
Je ne peux pas vous dire comment il a construit sa fortune parce que
c'est une affaire très controversée. Mais, en essence, il a dit savoir
quand les banques allaient fermer leurs portes, comme
George. Il était en contact constant avec nous.
Ce qui est intéressant dans tout ceci,
c'est que la plupart de ceux qui viennent nous présenter leurs infos
semblent tous
être d'accord sur une chose au moins : l'agenda.
Nous n'avons pas encore parlé de Bill
Deagle. Bill
Deagle est très controversé, un docteur en médecine,
il est sur le web. Vous le connaissez peut-être. Vous avez peut-être eu
l'occasion de voir
notre interview avec lui.
Les gens ont tempêté à cause de
ces interviews, l'accusant d'être trop "négatif" et préférant ne pas
l'écouter ; ils pensent qu'il serait peut-être
programmé.
Il a reçu des témoignages de dénonciateurs
différents des nôtres - en tant que médecin et dans les opérations
secrètes - qui exposent une liste de leurs plans et de leur agenda,
comme George l'a fait, impliquant une réduction de la population
par la dispersion de virus, et où, quand et comment, cela se
produirait.
Il est également très intuitif et reçoit,
psychiquement, des informations, notamment qu'octobre était le moment
où tout allait
se déclencher.
Donc, il semble et j'insiste sur
le fait qu'il semble
qu'il se soit trompé, du moins jusqu'ici.
Nous avons David Wilcock, qui combine des
capacités psychiques et intuitives avec une analyse très scientifique.
Son site web renommé, divinecosmos.com
, offre une analyse scientifique de ce qui se passe. Selon
lui, il s'agit du réchauffement des planètes. Il travaille avec Richard
Hoagland, que je suis sûre beaucoup d'entre vous connaissent.
Nous recevons tous ces témoignages et
certains sont corroboratifs, d'autres pas. Certains sont
carrément contradictoires.
C'est presque comme... c'est semblable à un
jeu et les pronostics qui se font sur le vainqueur. Et derrière, il y a
des calculateurs qui décident du jeu et du vainqueur.
Il faut savoir que quand
quelque chose semble ne pas se produire, comme en octobre, de
multiples
raisons peuvent entrer en jeu. Cela ne
veut pas nécessairement dire que rien ne s'est passé.
Cela pourrait signifier que ces virus ont
été mis en place. Cela pourrait signifier qu'ils ont été activés. Cella
pourrait signifier qu'on ne les voit pas encore, qu'il faudra six
mois avant de les voir surgir. C'est probablement
ce que Bill Deagle dirait.
D'autre part, cela pourrait signifier que
les" White Hats"
(NdT: référence aux héros altruistes des Westerns) dans le
gouvernent - et ceci a une grande importance
- ont eu du succès.
Il y a eu, d'après ce que je comprends,
même l'année passée, une sorte de coup d'État dans le gouvernement des
États-Unis... Obama n'est qu'un homme de
paille ; il fut depuis longtemps planifié, voire prophétisé, qu'il
serait dirigeant à cette époque.
Cependant, il y a des raisons de croire,
qu'il existe des "White Hats",
notamment
dans
Majestic
12
-
d'après ce que nous disent Dan et Marci - qui luttent contre ce plan de
réduction de la population.
D'autres membres de Majestic 12 font par
contre, sans le moindre doute,
partie des Illuminati pour qui, la réduction de la population est un
but.
Il y a donc de la bagarre dans les rangs.
Que nous soyons ici à vous parler,
témoigne du fait - selon Jake Simpson et
Dan Burisch - que nous avons du support et des amis en haut lieu, qui
nous permettent de le faire parce qu'ils sont des "White Hats". C'est un
ingrédient important.
BR: Je pense que... Je suis en
train de me demander quelle direction prendre.
Jake Simpson ?
KC: Ça me paraît bien.
BR: OK. Nous avons rencontré
Jake Simpson lors d'un long voyage d'un mois,
aller-retour en Australie. Nous étions invités au colloque NEXUS
à Brisbane, en octobre. Au cours du
voyage, nous avons rencontré une multitude de gens, notamment
à Koh
Samui. Koh Samui est une île magnifique en Thaïlande. Quelqu'un y a
été ?
C'est un endroit fabuleux, un peu
comme Vilcabamba dans la mesure où un grand nombre de personnes
qui sont passées par là, se sont dit: Quel
merveilleux
endroit pour vivre !
On y trouve de nombreux expatriés et une
communauté alternative. Malheureusement, ils ont l'équivalent
d'autoroutes qui traversent les vallées, et le site est fort abîmé.
L'une des raisons de ce saccage, c'est bien entendu, la
construction d'un aéroport. Ça, c'est la fin.
B’OL: Nous ne voulons pas de ça ici.
BR: Je veux bien le croire. Ceci dit,
nous étions à Koh Samui. Nous avons rencontré Jake Simpson. Avant tout,
il faut que je vous dise que tout se trouve sur notre site. Nous
avons transcrit autant que possible, ou du moins, autant que
nous nous en souvenions.
Nous avons passé trois jours, peut-être
même quatre, avec cet homme, sa famille et ses enfants. C'est un homme
charmant et courageux.
Une des premières choses qu'il nous ait
dite, c'est que quand il a pris connaissance de l'information que nous
exposons, il s'est demandé si nous étions bien "réels". (Rires) Il a
utilisé ses propres sources de renseignements pour enquêter à notre
sujet.
Il m'a regardé dans les yeux en disant: Je
me
suis
renseigné
à
votre
sujet
et
je
sais
tout
de
votre vie. Vous n'avez
pas à vous inquiéter. Il a ajouté: Tout est OK. Je
sais
que
vous
dites
la
vérité.
Il a ajouté : Tous ceux qui ont tenté de faire ce
que vous faites, se sont fait tués. J'admire votre courage.
Ce gars est un guerrier, de la
tradition
Jedi. C'est un homme remarquable. Qu'il respecte notre courage, était
un beau compliment de sa part !
Pour en revenir à notre sujet de discussion
avant le déjeuner, nous n'essayons pas d'être courageux.
Nous faisons ce que nous aimons et poursuivons ce qui se fait
naturellement : Voilà qui nous sommes. Nous n'avons
rien à cacher. C'est nous, Bill et Kerry. [Rires]
Un tas de gens nous disent : Vous êtes
incroyables. En réalité, je pense qu'une des choses qui me lie à
Kerry, c'est que nous n'avons pas peur.
[A
Kerry] As-tu la moindre peur ?
KC: Non, vraiment pas. Et j'ajouterai
brièvement que nous sommes
tous deux du genre de personnalité qui va de l'avant de manière très
optimiste, sans se
retourner. C'est ainsi que nous nous sommes engagés dans ce projet.
Notre tendance naturelle est de faire
simplement ce
que
nous avons à faire et qu'advienne que pourra. Nous ne sommes pas
paranoïaques. Je n'ai pas peur et je suis rebelle dans
l'âme, c'est
donc facile. Et puis, manifestement, Bill n'avait pas peur.
Ce que nous faisons est assez fou, mais ce
n'est pas une source de peur. Pour nous, c'est une
aventure excitante.
Par contre, je ne serais pas à ma place
dans
le ronron d'une vie monotone, [rires] avec répétition quotidienne et
prévisible des mêmes occupations.
BR: Kerry n'a pas peur de
Majestic, NSA, CIA, DIA, DoD, ou des Illuminati. Par
contre, les grosses araignées... [Rires]
KC: C'est vrai. [Rires]
BR: C'est très drôle. Plus
sérieusement parlant, je n'ai pas peur parce que je sais que je suis un
être
immortel. Ils ne peuvent pas me tuer. Ils ne peuvent pas vous tuer. En
réalité, ils
ne peuvent tuer aucun de vous.
C'est encore un mensonge qu'on nous a fait
gober depuis l'âge de comprendre ce que
les profs nous disaient.
Nous ne sommes pas des morceaux de viande en mouvement. Nous sommes
des êtres spirituels qui conduisent ces véhicules, ces corps, comme
George aime de le dire. C'est très vrai.
Et j'aime citer Obi Wan Kenobi
dans Star Wars, qui vous sera peut-être familier. C'est un
film fabuleux... tous ces mythes...: S'ils me tuent, je serai plus
puissant qu'ils ne l'ont jamais imaginé.
C'est peut-être pour ça qu'ils nous
laissent tranquilles. Car s'ils me tuent, je reviens. [Applaudissements]
KC: OK. Revenons à Jake Simpson.
BR: Revenons à Jake Simpson. [Rires]
Nous en étions là. Correct ? Jake est un homme remarquable. Il aime
s'amuser, comme Kerry et moi.
Tout comme George, Jake parle de
choses qui vous font littéralement sortir les yeux de la tête ... avec
le
grand sourire de celui qui vit ça depuis longtemps!
Voix: Comme quoi ?
BR: Comme quoi ? [Rires]
J'essaye de me souvenir des histoires qu'il nous a racontées car il y
en a
pour quatre jours d'histoires de ce genre, qui ne sont pas
nécessairement linéaires.
Avant tout, il a fait référence en passant,
à certaines des informations sur notre site qui concernent le programme
de super-soldats, comme l'ont décrit Duncan O’Finioan et
David
Corso, ainsi qu'un tas d'autres personnes impliquées dans ce programme,
qui nous ont contactés en privé.
Les Pouvoirs en Place - l'Intelligence et
les militaires de ce monde - sont très, très intéressés par les
technologies de contrôle
des capacités humaines, qu'ils appliquent d'un certain nombre de
façons...
Une des choses qu'ils ont faite à Jake,
c'est qu'ils ont réalisé, quelle qu'en soit la raison, qu'il leur
serait
profitable d'améliorer ses capacités cognitives. C'est ainsi que ce
gars est capable de toutes sortes de choses.
Il a une vitesse de lecture et de
compréhension de
80.000 à 100.000 mots par minute. Ça fait pas mal de zéros!
[Rires]
Pour son examen de passage à la fin du
programme d'entraînement, il fut interrogé sur La Ferme des
Animaux de George Orwell, qu'il avait dû lire, du début à la fin,
en trois minutes.
Les questions portaient sur des détails: Que
se
trouve-t-il
écrit
à
gauche,
en
haut
de
la
page
154
? Il obtint 90%.
Ce n'était pas le score le plus élevé, mais c'était
assez pour passer le test. Je suppose que c'est ainsi qu'il n'est pas
dans le FBI, 60% aurait alors été suffisant. Pas vrai ?
C'est une des premières choses qui a capté
mon attention. Nous avons eu l'occasion de voir certaines de ses
remarquables capacités en action, nous en avons été témoins. C'était
captivant.
Pendant que
nous lui parlions... nous lui posions, par exemple, une
question. Mais il
l'esquivait, sautait à un autre sujet, lançait une petite blague et
changeait de sujet. Dix minutes plus tard, il y répondait.
Nous avons petit à petit remarqué ce
schéma et lui avons demandé: Pourquoi attendre avant de
répondre aux questions ? Pourquoi attendez-vous parfois dix minutes,
parfois une demi-heure, parfois jusqu'au lendemain, alors que parfois
vous y
répondez immédiatement ? Que se passe-t-il ?
Il nous a permis de
comprendre que ce qui se passait était ceci – c'est fort
intéressant mais n'est que la pointe de l'iceberg de la multitude
d'informations
dont il nous a fait part :
Il prétend qu'il existe un système
d'intelligence artificielle qui opère dans l'hyperespace. C'est ainsi
qu'ils parviennent à suivre ce que les gens disent - s'ils le veulent
- et ce qu'ils pensent.
Non seulement ça, mais s'il voulait savoir
quelles furent les dernières paroles de Jules César, ils le pourraient
également.
Il s'agit d'un système que les humains ont
développé sur base de technologie aliène. Ce système est tellement
avancé que, selon lui, les E.T. regrettent que nous en disposions parce
que nous ne l'utilisons pas de façon correcte. C'est ce qu'il a dit.
Cette capacité de surveillance...
Et cela me fait penser à ce qu'Henry Deacon
m'a répondu, quand je lui ai raconté un toute autre épisode datant d'il
y a longtemps. C'est similaire.
J'ai eu l'occasion de rencontrer un nombre intéressant de
dénonciateurs...
En 2000, bien avant Camelot,
j'eus l'occasion de discuter avec un gars qui avait travaillé pour Bell
Labs. Pendant que nous nous promenions sur la plage, ce gars me
racontait une histoire incroyable, ou du moins, qu'à l'époque, je
pensais
incroyable.
Nous nous
promenions sur la plage parce qu'il préférait ne pas me parler dans
sa propre maison.
J'ai donc raconté cet épisode à Henry, qui
m'a fait savoir que : Le lieu où vous parlez ne fait aucune
différence. Que vous
soyez sur
la plage, dans la forêt, dans votre chambre, ou dans une cave renforcée
au plomb, n'a aucune importance. Cela ne fait
pas la moindre différence. S'ils veulent écouter ce que vous dites, ils
écouteront ce que vous dites.
Henry ne s'est pas étendu là-dessus, mais
quand Jake nous a parlé de cette technologie, j'ai
compris que c'est dans l'hyperespace qu'elle agit. C'est
hyperdimensionnel. Quant aux détails, je ne peux même pas les imaginer
!
Nous avons questionné Jake en ces termes : C'est
difficile
à
croire.
Je
n'arrive
pas
à croire que ces gens soient en possession de ce genre
de technologie. Je crois volontiers qu'ils aient des vaisseaux
futuristes
et je sais qu'ils sont capables de faire des choses étonnantes, mais
ceci
est vraiment trop loin de ce monde.
Il nous a révélé que : La
technologie
secrète - la technologie physique secrète, la physique
qu'utilisent les "Black
Ops"
- a probablement 10.000 ans d'avance sur la technologie de secteur
public – 10.000 ans d'avance ! - et elle s'en éloigne à un rythme
de mille années par année supplémentaire. On ne s'étonne plus dès
lors qu'ils
arrivent à ce genre d'exploit !
Vous n'avez aucune idée de
ce
qu'ils peuvent faire. Ils peuvent presque tout faire.
Cela rejoint par ailleurs la citation
d'Arthur C.
Clarke
dont Brian parlait hier : Toute technologie suffisamment avancée
serait
indiscernable de la
magie. D'après les dires de Jake, nous en sommes presque là.
KC: Ouais. Pour approfondir un
peu plus ce qui se passait quand il répondait ou pas à nos questions,
le dialogue était le suivant, lui : Attendez ! Et
nous : Attendez ? Attendez quoi ? [Rires] Et lui : OK.
Ça va, c'est OK maintenant.
Il est important de savoir qu'il a reçu un
entraînement d'observateur à distance et que son intuition
s'est hautement développée. Ces capacités accrues l'ont par ailleurs
aidé dans les différents postes
qu'il
a occupés autour du globe - pour le gouvernement secret, surtout.
Il disait ceci: Ça revient à nouveau.
C'est un peu, je suppose, comme un faisceau qui balaie ... qui converge
puis s'éloigne. Il était à même de ressentir quand nous étions
écoutés ou non, et savait donc si oui ou non, il pouvait nous
parler.
C'est ainsi que la conversation progressait.
Une des choses que nous n'avons pas
transmises, c'est qu'il a
également parlé de... Comme vous le savez peut-être, John Lear affirme
que,
sous la Zone
51 et sous le Nevada, il y aurait très probablement un train à grande
vitesse les reliant, en sous-sol, à des endroits comme Pine
Gap en Australie, et à d'autres bases comme, j'en suis sûre, le CERN à
Genève.
Fondamentalement, c'est ainsi qu'ils se
déplacent. Jake l'atteste, ainsi que les informations de John Lear à ce
sujet.
Nous avons donc, à nouveau, des
dénonciateurs de parcours complètement différents qui s'accordent.
Autre chose d'intéressant à propos des
dénonciateurs, c'est qu'étant humains comme nous tous, la quantité
d'informations qu'ils acceptent de révéler fluctue d'un moment à
l'autre.
Il y a donc une approche psychologique que
nous avons apprise au fur et à mesure de nos
interactions, car à certains moments, ils se sentent courageux et
rebelles et vous diront tout ce que vous voulez savoir.
Le jour suivant, ils ne
pourront rien vous dire. Ils ne peuvent pas parler de ceci, ils ne
peuvent pas parler de cela. Ils s'inquiètent pour la sécurité de leur
famille et de ceux qu'ils aiment. Il est important de savoir qu'ils
passent du chaud au froid.
Dans le cas d'Henry Deacon, ce fut un
témoin intéressant, nous avons appris à le connaître
presque mieux que quiconque.
Il travaillait pour Livermore Labs. Il
travaillait dans des endroits de la planète hautement sophistiqués,
technologiquement parlant, comme Bill en parlait. Il
s'occupait activement de ces technologies. Il fut impliqué dans
l'affaire du 11
septembre et a conscience de sa planification.
Mais son
niveau ne va que jusqu'à un
certain point.
Autre chose, à propos des
dénonciateurs - que nous gardons à
l'esprit quand nous analysons les témoignages -
c'est qu'ils ont tous différents niveaux d'accès, et que leur niveau
s'arrête à un certain stade.
Vous ne savez pas toujours si ce
qu'ils vous révèlent est la vérité puisque, comme le dirait Richard
Hoagland, l'oignon a différentes couches...
BR: Le mensonge est différent à tous
les niveaux.
KC: Oui. Le mensonge est différent à
tous les niveaux. C'est absolument vrai, et vous rencontrerez, par
exemple, des gens
qui
vous diront : Attendez un peu. Majestic
12 n'existe pas parce que je ne sais rien à ce sujet. C'était
d'ailleurs le
cas d'Henry Deacon qui n'avait jamais entendu parler de
Majestic 12.
Voix: Qu'est-ce que c'est ?
KC: OK. Majestic 12 ...
L'histoire remonte à l'administration Truman, il s'agit d'un groupe,
fondamentalement, d'Illuminati - scientifiques,
ingénieurs, surtout en Amérique. On suppose qu'ils étaient douze. Il
existe des
photographies de ces gens, des gens comme Werner von
Braun.
BR: Je ne suis pas sûr qu'il faisait
partie de Majestic
12.
BO’L: Il n'y était
pas.
KC: OK. Je n'en discuterai pas. Toute
une variété de gens... en théorie même quelqu'un comme
Einstein aurait pu faire partie de Majestic 12. Ces gens, qui
occupaient de hauts postes gouvernementaux et militaires, se sont
rassemblés pour s'occuper de ce qu'ils
considéraient “Le problème, la question E.T.”
Et depuis lors, leur influence s'est
accrue,
tant et si bien qu'ils n'ont plus laissé la possibilité aux présidents
américains d'avoir connaissance de ce
qui se passait. Sauf exception, quand c'était vraiment nécessaire, les
présidents n'avaient pas accès.
Cela rejoint le témoignage de Dan
Sherman, un communicant intuitif formé par le
gouvernement, qui fut manipulé génétiquement dans le ventre de sa mère
avant sa naissance, pour faire face - d'après les dires du gouvernement
- à une coupure du réseau électromagnétique qui se produirait autour de
la planète, à un
moment donné du futur. On ne lui a pas dit quand.
Il est toujours en vie. Nous avons une
interview avec lui. Il est l'auteur du livre "Above Black".
C'est un
homme fascinant, très réservé, qui ne veut pas trop révéler, mais a
bien quitté le programme et dénoncé ce qui s'y passait.
Il était en communication avec un alien,
d'abord en utilisant un ordinateur puis sans ordinateur - la
communication avec
cet alien se faisait directement.
Il fut entraîné dans l'éventualité d'une
situation où les
gouvernements, les Pouvoirs en Place, n'auraient plus la possibilité de
communiquer entre eux . Le plan était d'utiliser des êtres humains,
stationnés autour du globe pour communiquer, pour certaines raisons,
avec des intelligences extraterrestres, et ce, lors d'une période où
les
communications électromagnétiques seraient coupées.
BR: La phrase exacte de son livre, "Above
Black", est celle-ci : Il s'agit de préparatifs pour une
époque
future où toute communication électronique serait rendue inutilisable.
C'était il y a 20 ans. Mais comme Kerry le disait, on ne lui a pas dit
QUAND.
La raison pour laquelle nous venons de
faire ce petit détour intéressant, c'est parce que c'est une
corroboration de plus que les Pouvoirs en Place, d'une manière ou d'une
autre,
savaient ou suspectaient que quelque chose
allait arriver, et qu'ils ne voulaient manifestement pas que le grand
public en
ait connaissance parce
qu'il ne serait soi-disant pas capable de le gérer.
Pour en revenir à Jake Simpson...
laissez-moi
parler deux minutes à Alfonso. [l'assistant-caméraman de la
conférence] [A Alfonso: il reste quatre minutes de bande. Nous allons
nous interrompre quelques instants pour les changer, et cette vidéo
sera mise en ligne très prochainement.]
Au début, Jake a commencé à
parler de ce qui était connu, de ce qui pourrait se produire, de ce
qu'il
savait, ses préparatifs, etc... et nous n'étions pas certains...
Il nous a donné tellement de détails
qu'en octobre dernier, nous avions des doutes: Devrions-nous
publier ce matériel ou non ? Nous n'étions pas certains de
vouloir divulguer ces informations, nous nous demandions si notre
responsabilité
n'était pas plutôt de ne pas les faire connaître parce
qu'elles paraissaient négatives.
Quelques mois plus tard, nous pensions
ceci : Bien,
OK.
Nous en savons un petit peu plus.
Nous avons eu pas mal de conversations téléphoniques avec lui. Il
insiste sur le fait qu'on ne sait pas ce qui va se produire.
Mais fondamentalement, nous a-t-il dit, on
sait que quelque chose vient à nous, depuis la Deuxième Guerre - probablement
depuis
la
Deuxième
Guerre, a-t-il précisé - et il suppose que
c'est
la raison de la crise cardiaque d'Eisenhower en 1955, suite à
sa rencontre avec des aliens qui lui ont probablement révélé de
mauvaises nouvelles.
Or, relativement parlant, nous sommes comme
un vaisseau dans le système solaire, naviguant à travers la tempête en
nous déplaçant
autour de la Voie Lactée, dieu sait à quelle vitesse. Mais il est
certain que nous voguons
vers quelque chose.
Ceci rejoint à nouveau, ce que les humains
du futur nous auraient, selon Dan Burish, annoncé -
que nous allons entrer dans une zone spatiale d'énergie différente ;
dont l'effet
sur la terre est magnifié par les
Looking Glasses et par les portails spatio-temporels construits
par
l'homme.
Jake n'avait pas connaissance des Looking
Glasses et des portails spatio-temporels, mais il a dit... sa
métaphore était... les mots
qu'il a utilisé étaient : Une "vague" arrive.
Une "vague" s'annonce. Dans l'espace, peu
importe que ce soit vous qui alliez vers la vague ou que se soit la
vague
vienne vers vous. Quelle que soit la direction, il a affirmé qu'une
vague allait nous heurter.
Lorsque nous avons demandé: Quand ? Sa réponse fut que
pour autant qu'il le comprenne, ce ne serait pas en 2012 mais plus tard.
Nous lui avons fait part de la date
que Bob Dean a mentionnée – en connexion avec
Nibiru ou la Planète X. Bob Dean nous a donné la date de 2017. Notre
homme, Jake
Simpson, a ajouté : C'est probablement plus ou moins juste.
C'est une bonne nouvelle parce que nous
avons peut-être quelques années de plus. Dan Burisch n'a jamais pointé
2012. Dan Burisch disait seulement: "Environ maintenant".
Et Jake nous a dit ... [interruption /
discussion et changement des bandes de la caméra] Nous nous
interrompons à ce point dramatique pour faire une pause, après laquelle
nous continuerons.
KC: Donc, pour
ceux d'entre vous qui conversent ou qui vont et viennent, nous allons
prendre une demi-heure de pause. Il nous reste une heure,
dont une demi-heure pour les questions-réponses.
Nous laisserons également 15 minutes à Miriam, qui rejoindra le
panel d'invités tout à la fin.
Il nous reste donc 15 minutes pour
conclure...
pour continuer encore un peu avec Jake
Simpson, et pour ficeler le tout. Nous allons
parler des vaisseaux supraluminiques dont nous a parlé Jake Simpson.
Une chose que je voudrais dire, c'est
qu'en parlant avec Alfonso, j'ai réalisé que nous n'avions pas dit que
Jake Simpson travaille toujours pour les
Illuminati.
Il était dans une réunion, une réunion
secrète dont il nous a parlé... je suppose qu'il l'a mentionnée parce
qu'elle est en partie responsable de sa rébellion... qu'elle l'a
motivé à s'extirper de toute
cette affaire, car il y avait entendu que des gens qui avaient
été
éliminés... [à Bill] Quels étaient ces mots exacts ? Tu
t'en souviens ?
BR: Je ne m'en souviens pas.
KC: Ouais. C'était tellement
horrible, glacial, impitoyable, qu'il a réalisé qu'il fallait qu'il en
sorte.
Ils ont rendu sa vie très inconfortable et ont clôture certains des
projets
dans lesquels il avait été impliqué.
Il est sorti de cette situation, Mais il
est appelé de temps à autre pour leur faire une "faveur". Donc, il faut
dire que, comme beaucoup de dénonciateurs, il n'en est jamais sorti
complètement et qu'il est souvent, tout comme nous, sous haute
surveillance.
Je dois dire que malgré que rien de super
mauvais ne nous soit arrivé directement, certaines personnes
suite à leur association avec nous, ont eu des incidents, comme par
exemple, quelqu'un qui avait pris en charge notre site web, fut
cambriolé le lendemain.
Il nous a appelé le jour suivant en nous
disant qu'il ne voulait plus jamais rien avoir à faire avec nous.
(Rires) Nous ne sommes pas sûrs si ce n'était pas qu'une
coïncidence. Lui, manifestement, se sentait attaqué.
Donc, je dois dire que bien que nous soyons
protégés... Jake lui-même nous a fait rentrer en Thaïlande et
surveille nos pas. Il est assez ouvert à ce sujet. En fait, il aura
connaissance de
ce que nous faisons aujourd'hui. Il nous donne, en quelque sorte, sa
bénédiction.
Il nous a également permis de passer à
travers certains problèmes éventuels d'immigration.
Nous avons donc reçu de l'assistance dans ces domaines. Mais pour les
gens
qui s'associent à nous, cela peut être une autre affaire. Nous n'en
savons rien.
BR: OK. De retour à Jake. Une des
choses qu'il nous a relatée - et c'est amusant pour les mordus de
l'aérospatial - il nous a parlé du TR-3B, le grand Triangle.
Il relate que ces engins peuvent se
déplacer de
leur orbite géostationnaire, qui se trouve à 35.900 km d'altitude,
jusqu'au niveau des arbres en une... deux... trois... quatre... cinq [claque
des
doigts] secondes. Je me suis exclamé: Ça c'est fortiche !
Jake,
comment le sais-tu?
J'étais
en train de compter, a-t-il répondu.[Rires] Par la
suite, je me suis rendu compte que ça fait 26 millions de
kilomètres à l'heure.
Il a précisé : Ces engins ne se
déplacent pas dans l'espace. Ils ne voyagent pas dans le temps. Il
s'agit d'un saut dans l'espace-temps. Il ne pouvait en dire d'avantage.
Ces engins peuvent voyager au-delà de notre
système solaire s'ils le veulent, même de plus grands vaisseaux y
arrivent. C'est dans le contexte des 10.000 années d'avance par rapport
à la physique
normale. C'est juste une histoire amusante pour les fans de
l'aérospatiale, que je suis.
Au sujet de la "vague" qui
arrive, là où nous en étions avant la pause, je lui ai
demandé : Comment le sais-tu?
La réponse peut se faire à différents
niveaux. Une de ses réponses était qu'ils avaient été jeter un coup
d'œil. Ils étaient partis “dans leurs vaisseaux supraluminiques" pour
voir
les
choses
de
plus
près,
et
quoiqu'ils
aient
vu, ils étaient revenus pour rapporter
ce qu'ils
avaient mesuré.
Cela m'a impressionné. C'était une réponse
directe, terre-à-terre. Si vous êtes en Floride et qu'une tempête
s'annonce, qu'un ouragan approche, vous allez probablement sortir afin
d'estimer ce qui se passe et pouvoir rentrer prévenir que l'ouragan
sera
ici
dans
trois
jours.
Mais il ne sait pas - et je répète ce que
nous
avons déjà dit - il ne sait ni quand ça va se produire, ni quels
pourraient être les conséquences de cette vague.
Il est très, très important d'insister sur
le fait que personne ne sait ce qui va se passer. Pas même les E.T.
Cela ne pourrait être qu'un
simple souffle de vent, selon lui, ou... C'est la seule personne que
nous avons
rencontrée, qui ait fait mention de
vents de 400 milles à l'heure, exactement comme George.
Il disait que ce genre de choses pourrait
se passer. Mais que cela se passe
réellement ou pas, c'est une toute autre affaire.
Ce que Jake a dit des préparatifs à ce
sujet, n'était pas nouveau pour nous, et ne le sera pour personne
dans cette salle :
Depuis qu'ils ont pris
conscience de cela, aux alentours de la Seconde Guerre Mondiale, les
militaires ont fait ce qu'ils font de mieux, c'est-à-dire de creuser et
de se mettre sur la défensive. Ils ont commencé à creuser des tunnels
et à investir des billions de dollars dans des bases souterraines.
Il paraît qu'à
certains endroits, en creusant ces bases géantes, ils ont
découvert des bases existantes, plus anciennes, construites
profondément sous
le sol, mais pas par nous.
Voix: Oh !
BR: Oh oui. D'après lui - et nous
n'avions jamais entendu ça - ces bases datant de milliers d'années
auraient déjà été excavées par nos prédécesseurs, en réponse à la
situation similaire à laquelle ils ont été confrontés il y a
12.000 ans.
Faites une corrélation avec le mythe du
Déluge qu'on retrouve dans 88 cultures différentes, ou quel qu'en
soit le nombre actuel, et la narration de Platon sur l'engloutissement
de l'Atlantide - Platon était un bon historien. Il ne se trompait
jamais.
Quelque chose s'est passé à l'époque. Il y
a une somme considérable d'évidence circonstancielle, et certains
diraient même de preuves, suggérant qu'il y a longtemps nous...
Avant notre civilisation actuelle, existait
une civilisation précédente qui avait sa propre technologie,
probablement légèrement différente de la nôtre, mais ils se trouvèrent
exactement face
aux mêmes problèmes parce que ces problèmes sont cycliques.
Les problèmes cycliques sont liés au
parcours du système solaire dans la Voie Lactée, ses hauts et ses bas,
ses tours et retours, comme les chevaux d'un carrousel.
Chaque fois qu'il traverse le plan
galactique, il semble y avoir une problématique liée à cette zone de
l'espace.
D'autres
commentateurs, particulièrement David Wilcock et d'autres - David est
un de nos amis, nous le connaissons très bien - ont insisté
sur le fait que ce n'est pas nécessairement toujours une mauvaise
nouvelle.
Cette zone de l'espace et ses micro-vortex
multidimensionnels, que nous traversons
régulièrement, pourrait également provoquer des changements de notre
ADN,
des modifications de notre conscience et de la
façon dont nous accédons et traitons toute information.
Personnellement, je n'irais pas plus loin,
mais je crois qu'il existe une évidence suggérant que non seulement
il
y a des transformations terrestres mais aussi des modifications de
conscience. Et tout ça arrive en même temps.
Quand nous avons rencontré Henry Deacon
pour la première fois en septembre 2006, il nous a dit que le problème,
c'est que tout arrive en même temps. Tout converge.
Il n'a pas précisé ce que “tout”
signifiait, mais il a mis l'accent encore et encore, sur le fait que
les
problèmes sont multiples et que c'est pour cela qu'ils sont déroutants.
KC: Oui. Je voudrais ajouter
qu'Henry Deacon, depuis le début de nos rencontres, a été catégorique
par rapport aux informations sur les évènements à venir, que le
gouvernement leur avait fait connaître pendant qu'il
travaillait sur des projets secrets - c'est-à-dire de la face
négative de la ligne
temporelle - et qu'ils devaient s'y préparer.
Henry nous a par exemple conseillé
d'acheter une voiture suffisamment ancienne
pour ne pas avoir de...
BR: De système de contrôle moteur.
KC: ... afin d'éviter que les
Pouvoirs en
Place ne conduisent votre voiture à votre place et pour qu'elle
ne soit pas affectée par les éjections de masse coronale quand
l'activité
solaire s'amplifiera, ce qu'il dit être inévitable.
Il opère - comme de nombreuses personnes
des projets secrets - selon une sorte de programmation, selon le
déroulement pronostiqué qu'on lui a inculqué. Ce déroulement est
semblable à l'agenda que George Green vous a exposé. C'est ainsi
que beaucoup de rapports se ressemblent.
Nombreux sont les points de l'agenda qui ne
se sont
pas encore manifestés, mais comme vous pouvez le voir, la balle
commence à
rouler. L'effondrement de l'économie est certainement le sommet de
l'iceberg.
Ça fait deux ans, qu'il ne cesse de nous
avertir de
trouver un endroit sûr, de faire ceci, cela, d'effectuer tous les
préparatifs nécessaires pour ce qu'il croit, et ce dont il est
entièrement
convaincu, être inévitable.
Nous l'avons mis en contact avec David
Wilcock. Ceux d'entre vous qui connaissent David, savent qu'il serait
peut-être la
réincarnation d'Edgar Cayce, selon votre point de vue, bien sûr. David
est très
optimiste. David croit dans l'ascension de la conscience, il pense que
la
conscience
est en train de changer, que quelque chose de très positif va
résulter de cette période.
Henry et David se sont trouvés sur la même
longueur d'onde. Ils ont parlé pendant des heures et des heures. David
vient
de passer dans l'émission "Coast to Coast". Il a parlé
du témoignage d'Henry Deacon, de ce qu'Henry lui a raconté, notamment
des
aliens semblables aux humains qui travaillent dans le
gouvernement.
Nous avons également un témoignage
identique de
Bob Dean, un homme d'état plus âgé ainsi qu'un ex-militaire,
très au fait de ce qui se passe dans les coulisses du gouvernement.
Ce qui est intéressant, c'est de voir
que quelqu'un qui ressort de projets secrets, comme Henry
Deacon, prenne contact avec quelqu'un comme David Wilcock et qu'ils
puissent
s'accorder sur certains points, comme par exemple : La
situation
n'est
pas désespérée !
Nous faisons de notre mieux pour mettre nos
lanceurs d'alerte en contact avec d'autres. Des liens
d'amitié s'ensuivent, des rencontres d'esprit qui leur permettent
parfois de
tirer leurs propres conclusions.
Nous avons mis George en contact
avec Jake
Simpson, par exemple. Ceux-ci ont établi un dialogue. Jake
résonne fortement avec tout ce que dit George et souhaite suivre ses
conseils pratiques et faire des plans : Que
pouvons
nous
faire ? Si tout cela est sur le point de nous arriver, que
pouvons-nous faire ?
Voici donc la dernière étape avant de
passer aux
questions. Nous avons créé un
autre site web, projectavalon.net
, il y a quelques mois avec l'objectif de... Camelot fait
part des problèmes et les décrit, mais nous voulons en contrepartie,
également
offrir des solutions possibles et permettre aux gens d'établir des
contacts entre eux, pour qu'ils puissent être en sécurité, si
cela se révèle nécessaire.
Donc, je le répète, c'est la raison d'être
de Projet Avalon, comme je l'ai déjà mentionné. [A
Bill] Tu veux en parler dans les grandes lignes?
BR: Ouais. En réalité, c'est notre
interview avec George Green qui nous a inspiré à créer ce forum... Je
pense que c'était en avril. Ses messages ("Messages for the
Ground Crew", "Messages pour l'équipage au sol", le livre de
George, d'inspiration médiumnique) nous ont vraiment marqué et ont
trouvé écho en nous.
Ces messages - j'essaie d'en regrouper
l'essentiel en une phrase - sont en quelque sorte un message d'espoir
sur toile de fond faite de mauvaises nouvelles.
Autrement dit, nous pouvons agir, mais nous
devons commencer maintenant, et nous devons établir des contacts,
travailler ensemble, former des
communautés. Nous devons être intelligents. Nous devons être informés.
Alors nous aurons une chance.
C'est ce qu'un entraîneur dirait avant un
match important. C'est le genre de chose qui me motive à jouer
de mon mieux.
D'autres personnes diront : OK, je
m'en vais.
Certaines personnes vont en effet sortir du jeu. Et d'autres
s'attaqueront à la tâche en offrant le meilleur d'eux-mêmes.
"Starman" est l'un de mes films
favoris... vous le connaissez peut-être. Il remonte à un certain temps.
Avec Jeff Bridges dans le rôle principal. Vous avez vu "Starman"?
OK. J'adore ce film.
Le synopsis de Starman est
l'histoire d'un extraterrestre qui, ayant pris l'apparence d'un corps
humain, est en cavale pour échapper aux espions qui veulent de
l'attraper, etc.
A la toute fin du film, il résume ce qu'il
a appris de sa courte expérience d'humain : Ce qui est
merveilleux chez vous, c'est que quand les choses sont au pire, vous
êtes à votre mieux. Une réplique touchante, qui eut pas mal
d'impact
sur moi parce qu'elle est tellement vraie.
Nous avons la capacité d'avancer, de nous
élever pour l'occasion, de répondre au défi, et nous
pouvons le faire.
[A Kerry] Parle-leur d'Avalon.
KC: Non.
BR: Tu veux que j'en parle ? OK. Bien.
KC: Oui, rapidement. Ensuite, nous
passerons aux questions.
BR: Ouais. Il s'agit de se connecter
aux autres. Il s'agit de synergie. Car individuellement, nous pourrions
tomber, mais ensemble, nous tiendrons debout. Des groupes se forment
partout dans le monde. Comme George l'appelle dans son merveilleux
petit livre... Où est-t-il ? Nous ne
l'avons pas avec nous.
KC: Non.
BR: "Messages pour l'Équipe au
Sol". Nous sommes l'équipe au sol.
Tous ceux qui font attention à ce qui se passe sur cette planète font
partie de l'équipe.
L'essentiel du message porte sur la
nécessité de travailler ensemble et d'établir des liens d'équipe.
L'équipe au sol doit former des communautés.
Une communauté n'est pas nécessairement un
petit groupe de gens qui cultivent leurs légumes au bout d'un chemin
de terre, à mi-hauteur d'une montagne de Vilcabamba, avec l'espoir que
tout ira bien.
Ce n'est pas nécessairement ça une communauté.
Je ne critique pas ce type de communauté,
mais une communauté peut également être une rue par exemple ; elle peut
se composer d'habitants du même appartement ; de citoyens qui se
réunissent régulièrement en
ville. Il n'est pas nécessaire de déménager à
Vilcabamba pour être opérationnel.
La personne... je ne sais pas si elle
est
dans la salle... qui m'a raconté s'être vraiment inquiétée de savoir où
aller, que faire, quelle action prendre, dans quel pays aller ? Quelle
communauté rejoindre ?
Sur le forum Avalon, quand le
débat battait son plein, un message a complètement changé ses
perspectives : Ce n'est pas où vous
êtes, c'est qui vous êtes qui est essentiel.
OK ? La personne qui m'a raconté cette belle histoire est-elle ici?...
Oui ? C'est juste ?
Voix: Oui.
BR: OK. Et il y a d'autres
versions. Il n'est pas simplement question du nombre de pièces d'or que
vous avez dans la poche ou si oui ou non, vous cultivez un potager. Ce
n'est pas de ça qu'il s'agit.
Il s'agit de votre relation avec les autres
; si oui ou non vous pouvez faire fonctionner les choses ; si vous
pouvez faire équipe avec d'autres ; si votre réaction/réponse à une
crise est : Mon Dieu, qu'est-ce que je vais faire ? Ou
: Mon Dieu, que puis-je faire pour les autres ?
Une des histoires que j'aime et qui m'a
inspiré est... racontée, je pense, dans le merveilleux livre de Michael
Talbot "A Holographic Universe." Quelqu'un l'a-t-il lu ?
Beaucoup, sûrement.
Vous rappelez-vous du passage au sujet des
recherches menées sur les miracles de Lourdes ? Parce qu'il y a bien
des miracles à Lourdes.
Un groupe de psychologues ont interrogé
des gens qui avaient reçu ces guérisons ainsi que d'autres qui
n'avaient pas vu d'amélioration, pour comprendre pourquoi les miracles
se produisaient dans certains cas et pas dans d'autres.
Ce qu'ils ont trouvé, c'est que ceux
qui avaient guéri, avaient prié pour la guérison de quelqu'un d'autre.
Voix: Wow. [Rires]
BR: C'est magnifique, n'est-ce pas?
Voix: Oh oui !
BR: Ce qui est merveilleux, c'est que
c'est inextricable : vous ne pouvez pas faire semblant. Groucho Marx a
dit un jour : L'honnêteté et l'intégrité font tourner le monde.
Si vous pouvez les feindre, c'est que vous les avez fait faire.
[Rires]
Vous ne pouvez pas feindre une prière pour
la guérison de quelqu'un d'autre, dans l'espoir d'obtenir un bénéfice
personnel. Ça ne marche pas comme ça. L'intention doit être sincère.
C'est cette élévation au
meilleur de nous-mêmes, qui nous permettra de ne pas affronter l'avenir
en pensant : Comment puis-je sauver ma peau ?
Mais bien : Que puis-je faire pour
la race humaine ? Que puis-je faire de mieux pour tout mon entourage ? [Applaudissements]
Et si nous tous le faisons, si un nombre
suffisant
d'entre nous le faisons, en même temps autour du globe, c'est ce qui
sauvera la situation. Il ne s'agit pas de
s'asseoir sur des vortex d'énergie terrestre et de méditer, à mon avis.
Ce n'est pas une question d'activité
rituelle. C'est une question d'action suivant nos intentions les plus
élevées.
Et pour ceux d'entre vous qui se demandent :
Que puis-je faire ? Que puis-je faire ? Faites ce que nous avons
fait il y a longtemps dans notre naïveté, c'est-à-dire de commencer un
projet sans savoir où il mènerait : posez le premier pas !
Nous ne savions pas où ce projet nous
mènerait. En posant le premier pas, vous entrez dans l'action et ous
faites ce que vous pouvez. Quoique vous
puissiez faire, faites-le.
Parlez à quelqu'un dans le bus. Parlez à
quelqu'un dans l'avion. Écrivez des lettres. Créez un site web.
Contribuez au forum Avalon. Faites ce que vous pouvez.
Vous savez ce que c'est, nous pas.
C'est l'action avec l'intention de
contribuer de votre mieux. C'est ça qui nous sortira de ce m...er.
Les Avenirs Alternatifs peuvent être
changés. Ils ne sont pas fixes, ni prédéterminés. Personne ne sait ce
qui va se passer - c'est une bonne nouvelle!
Cliquez ici
pour la vidéo
en Anglais
__________________________